Abbaye : Différence entre versions

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Les [[phalangisme|phalangistes]] sont plus ou moins liés avec leur communauté selon les missions que se définit l'abbaye locale. Ils ont tendance à décourager leurs moines à gagner l'amitié de leurs ouailles selon leur bon plaisir. L'idée est que l'[[Ordre phalangiste|Ordre]] se doit de conserver une certaine image auprès de la population pour préserver la pureté du message et l'intégrité de sa mission. L'amitié avec la population est vue dans cette idée comme un danger pour la bonne marche du culte. Cependant, certains [[Abbus]] sont plus laxistes sur le sujet et les activités sociales que l'[[Ordre phalangiste]] met de plus en plus en place brisent ce mur de verre qui séparait autrefois l'élite religieuse de sa population. Globalement, cet effet se remarque surtout au fait que les [[phalangisme|phalangistes]] vont organiser la plupart de leurs actions soit au sein de l'abbaye avec convocation des fidèles locaux, soit dans des installations temporaires en bois et toile au sein de la ville.
 
Les [[phalangisme|phalangistes]] sont plus ou moins liés avec leur communauté selon les missions que se définit l'abbaye locale. Ils ont tendance à décourager leurs moines à gagner l'amitié de leurs ouailles selon leur bon plaisir. L'idée est que l'[[Ordre phalangiste|Ordre]] se doit de conserver une certaine image auprès de la population pour préserver la pureté du message et l'intégrité de sa mission. L'amitié avec la population est vue dans cette idée comme un danger pour la bonne marche du culte. Cependant, certains [[Abbus]] sont plus laxistes sur le sujet et les activités sociales que l'[[Ordre phalangiste]] met de plus en plus en place brisent ce mur de verre qui séparait autrefois l'élite religieuse de sa population. Globalement, cet effet se remarque surtout au fait que les [[phalangisme|phalangistes]] vont organiser la plupart de leurs actions soit au sein de l'abbaye avec convocation des fidèles locaux, soit dans des installations temporaires en bois et toile au sein de la ville.
  
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Version du 5 septembre 2015 à 01:32

L'Ordre phalangiste (tout comme le monastère adaarion) fonctionne de façon communautaire. C'est-à-dire que tous les services religieux, spirituels et autres que dispense l'ordre sont partout divisés au sein d'un groupe de moines, tous responsables de la bonne pratique de la religion.

Lorsque l'Ordre s'installe dans une ville, il bâtit une commanderie autour de laquelle il va articuler divers bâtiments communautaires qui vont constituer l'abbaye. Dans certains cas, comme Iona, l'Ordre va immédiatement construire une abbaye pour diverses raisons, notamment politiques.

L'abbaye, généralement fortifiée, remplit deux rôles. Elle constitue une place forte d'où les moines phalangistes peuvent effectuer leurs missions et un lieu d'accueil pour les croyants où il leur est possible de dispenser les services religieux. Les abbayes ne s'articulent pas selon le principe adaarion de décentralisation avec une ville égale un monastère. Les phalangistes, eux, suivent un système de hiérarchie : l'abbaye d'Odense, les abbayes particulières, les abbayes et les commanderies.

L'Ordre phalangiste s'organise donc en phalanges. Chacun de ces “régiments” est basé dans des abbayes où ils sont entraînés et formés ensemble. Ces phalanges s'organisent ainsi pour envoyer dans toute la région environnante des groupes de ses membres chargés d'une mission précise plus ou moins longue utilisant les commanderies comme bases. Ces missions sont, la plupart du temps, des missions spirituelles mais la formation militaire et intellectuelle des phalangistes leur permet d’accomplir correctement leurs missions futures. À ses origines, l'aspect militaire de l'Ordre était extrêmement dominant (prenant même le pas sur la mission spirituelle dans certains cas) mais la chute de l'Empire Central, la fin du conflit avec les adaarions et le Concordat de Roskilde ont profondément changé les orientations de l'Ordre.

Les abbayes sont généralement de grandes bâtisses relativement fortifiées articulées autour de deux points : les espaces d'entraînement et la salle de prière. Elles sont souvent plus grandes en taille que les monastères adaarions mais cet excès de taille est principalement occupé par des infrastructures d'entraînement militaire et intellectuel pour toute une phalange. En dehors des grandes périodes de formation de novices ou de grandes réunions de la phalange locale, une abbaye compte souvent trois lits pour un moine. L'abbaye comporte cependant, selon la région, diverses infrastructures : bibliothèques, archives, celliers, brasserie/distillerie/vignoble (toutes les abbayes produisent de l'alcool, c'est une tradition), etc. À noter que les abbayes possèdent des cachots disciplinaires.

À l'image de de l'Ordre phalangiste et de ses origines militaires, une abbaye est très hiérarchisée avec des rôles bien définis sous la direction d'un Abbus, l'autorité suprême au sein de l'abbaye. Chaque moine y remplit différentes tâches qui lui ont été confiées et les initiatives sont très peu encouragées pour éviter l'incohérence ou les divisions que l'Ordre a en horreur. Le bel avantage est que les abbayes sont la plupart du temps administrées de façon très efficace.

L'abbaye est le lieu de formation des moines phalangistes. Sélectionnés pour leur intelligence et leur force physique, les moines sont rudement formés à l'art de la guerre, de la théologie et de l'administration et se voient aussi inculquer les grandes valeurs du phalangisme : le courage, la détermination, l'honneur, l'intégrité, la fraternité. La discipline imposée est rude (bien que certaines abbayes soient pires que d'autres) mais l'entraînement laisse également volontairement de nombreuses failles étudiées pour que les phalangistes apprennent à se connaître entre eux pour former un véritable groupe. La vitesse de formation dure plusieurs années mais peut varier selon les novices. Les moines formateurs s'assurent que ces derniers répondent bien aux attentes et préfèrent prendre plus de temps sur certains plutôt que de simplement les renvoyer.

Les phalangistes sont plus ou moins liés avec leur communauté selon les missions que se définit l'abbaye locale. Ils ont tendance à décourager leurs moines à gagner l'amitié de leurs ouailles selon leur bon plaisir. L'idée est que l'Ordre se doit de conserver une certaine image auprès de la population pour préserver la pureté du message et l'intégrité de sa mission. L'amitié avec la population est vue dans cette idée comme un danger pour la bonne marche du culte. Cependant, certains Abbus sont plus laxistes sur le sujet et les activités sociales que l'Ordre phalangiste met de plus en plus en place brisent ce mur de verre qui séparait autrefois l'élite religieuse de sa population. Globalement, cet effet se remarque surtout au fait que les phalangistes vont organiser la plupart de leurs actions soit au sein de l'abbaye avec convocation des fidèles locaux, soit dans des installations temporaires en bois et toile au sein de la ville.