Utilisateur:Akileos

Hors RolePlay :

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Je mets cette page à jour très régulièrement, ça me sert de pense-bête en fait. Donc attention de ne pas faire du meta avec. Pour la partie connaissances, cela fait partie de ses pensées qu'il a a chaque rencontre avec le dit personnage, elle se rajoute les unes après les autres, certaines s'oublient ou se font remplacées.

Informations RP

Nom

Akileos

Genre

Année de naissance

Rang

Esclave

Esclave de la famille

Dravek

Métier

Métier

Compléments

Origines

Ville d'origine

Caroggia

Région d'origine

Vellabria

Nation d'origine

République Marchande de Caroggia

Informations HRP

Login Minecraft

Akileos

Pseudo

Akileos

Prénom IRL

Martin

Âge IRL

16

Portrait du personnage:

• Nom : Jarlenbërg
• Prénom : Akileos
• Surnom : Aki
• Famille : /
• Âge : 24 ans
• Date de naissance : 22 Juin 491
• Taille : 1,64m
• Poids : 55 Kilos
• Nation : République Marchande de Caroggia
• Région d'origine : Vellabria
• Ville d'origine : Caroggia
• Métier : Libraire
• Autre métier : Ecrivain.
• Religion : Peu pratiquant.
• Arrivée en Esperia : Le 30 Juin 515
• Rang Social : Esclave
• Situation Familiale : Célibataire

Description physique:

Akileos est petit (1m64) et gringalet (55 kilos). Si vous cherchez des muscles, vous pouvez chercher longtemps, ses bras sont fins, ses côtes sont saillantes (de façon inexplicable car Akileos est tout sauf un petit mangeur et a toujours eu une alimentation plus ou moins correcte) et seuls ses jambes laissent apparaître un semblant de musculature qui lui permettent d’avoir une bonne vitesse de course, bien que sa condition physique ne soit pas exceptionnelle. Il ne sait absolument pas manier d’armes, bien qu’il ait fait quelque cours auprès d’un bretteur caroggian, et de toute façon une épée serait trop lourde pour lui. Néanmoins son visage sauve son apparence, fin et bien dessiné, arborant deux yeux bleus profonds. Il a en permanence ses cheveux en bataille, n’ayant jamais pensé à investir dans un peigne. Il est presque imberbe.

Description morale:

Akileos est quelqu’un d’assez sociable en général même s’il apprécie parfois la solitude dans l’écriture. Il est fier d’être Caroggian et a été donc très blessé quand il a été considéré comme un traître à sa République, considérant celle-ci comme le centre du monde. Il apprécie tout particulièrement, outre les carrogians, les capitalins (pour leurs mœurs assez libres) et les huras (l’origine de sa famille). Son attitude avec les Nordiques est mitigée, il les considère comme un peuple arriéré, mais a vécu parmi eux et a été sauvé par eux, il a donc une attitude ambigüe depuis ces évènements. Il considère, en bon caroggian, les qajarides comme des sous-hommes dont les membres masculins devraient être des esclaves de plus bas degré et les membres féminins des hôtesses de lupanars. Depuis son succès en homme de lettres à Caroggia, il tend à considérer les intellectuels (dont il fait, selon lui, parti) comme une élite devant dominer le monde au sein d’un gouvernement plus ou moins démocratique. De par son enfance au côté de son père dans les lupanars, il n’a jamais été attiré par les hommes et a d’ailleurs du mal à considérer l’intérêt de l’homosexualité mais il considère que chacun est libre de faire ce qu’il veut.

Akileos a toujours eu des relations troublées avec les femmes, ayant vécu toute son enfance dans un bordel. Il dit que son seul véritable amour fut Selma et qu’il eut beaucoup de mal à s’en remettre mais il a couché avec beaucoup plus de femmes que la moyenne des caroggians, son physique et sa proximité avec des femmes faciles aidant. Sa relation troublée s’illustre notamment par les nombreuses rumeurs sur ses agissements avec ses esclaves féminins au moment où il écrivait de grands textes de romances.

Traits de caractère et aptitudes:

Talents/Qualités:

• Ambitieux

Akileos est terriblement ambitieux. Il souhaite être riche, puissant et aimé et son principal objectif dans la vie est d’entrer dans l’histoire du monde.

• Démagogue

Akileos connaît la rhétorique, couplé au fait qu’il soit extraverti, cela lui permet d’être assez à l’aise à l’oral sans être un excellent politique.

• Sociable / Extraverti

Akileos n’a aucune difficulté à aller vers quelqu’un d’étranger, à moins qu’il soit qajaride, évidemment.

• Séducteur

Akileos aime séduire et jouer avec les femmes, à partir du moment où elles sont jolies, ne comptez pas sur lui pour détourner le chemin.

• Bonne plume

Akileos est un bon écrivain, ses écrits sont soignés (d’un point de vue de l’écriture) et agréables à lire (d’un point de vue de la narration)

• Utopiste

Même s’il est incapable d’être loyal à une personne, Akileos est loyal aux idéaux qu’il défend et les défendra jusqu’au bout.

• Imaginatif

Akileos a toujours une idée derrière la tête, et essaie toujours d’innover, encore une fois dans un essai de laisser une trace de lui.

Défauts:

• Corruptible

Akileos considère que l’argent amène le pouvoir et considère la corruption comme une application normale et un droit pour les personnes réussissant économiquement.

• Vénal

C’est un fait, il a une vénération pour l’argent.

• Mal de mer

Akileos a une horreur sainte de la navigation, un comble pour un caroggian, le voyage de retour de Uuroggia à Caroggia fut un enfer pour lui.

• Sang Chaud

Même s’il a l’art de la parole fausse, Akileos a du mal à se retenir si l’interlocuteur commence à lui faire du rentre-dedans.

• Joueur Invétéré

Akileos aime jouer, adore jouer, jusqu’à la ruine.

• Non-Altruiste

Aider ou donner à un inconnu ? Et puis quoi encore ?

• Peureux

Akileos a peur des armes. Peur des araignées. Peur des brutes. Mais bizarrement n’a pas eu peur lors de la publication de « De la République » le conduisant à l’esclavage. Cela compense son ambition démesurée.

• Préjugés

Akileos a des préjugés sur tout. Une personne qui lui fait mauvaise impression la première fois aura beaucoup de mal à se rattraper dans son estime.

Aptitudes:

• Le Calcul : Akileos a souvent compté les recettes du lupanar de son père quand il était jeune.

• L'Alphabétisation : Akileos a appris auprès de son père et de sa soeur à lire et écrire. Il a également une bonne plume qui lui a permis d'être reconnu à Carrogia.

• Langue : Adaarion : De par sa période dans le Nord, Akileos a quelques rudiments de cette langue. Il la comprend et la lit plus ou moins mais ne l'écrit pas et la parle avec un accent effroyable qui trahit aussitôt ses origines.

Intérêts culturels et goûts:

• Lire et Ecrire  : Akileos adore ça, il pourrait passer ses journées à cela. Il collectionne également les beaux ouvrages.

• Goûts Gastronomiques  : Etrangement pour un caroggien, Akileos n’apprécie pas énormément le poisson, mais il a un faible pour la viande citronnée et tout ce qui est à base d’huiles d’olive. Il adore par-dessus tout tous les desserts d’où qu’il soit et quoi qu’ils contiennent, il pourrait en manger une dizaine par repas si il en avait les moyens. Akileos est également un buveur, principalement de breuvages peu alcoolisés comme l’hydromel ou de boissons non alcolisées (surtout le sirop de fraise avec de l’eau gazeuse) car il supporte très mal l'alcool fort.

• Goûts féminins Akileos aime les filles mignonnes, ils les préfère jeune, il pourra être intéressé par une fille de seize ans mais aura du mal à l'être pour une femme de trente ans. En général il préfère les femmes brunes.

• Nettoyage Akileos déteste la saleté et s'attend a ce que toutes les boutiques et les maisons recevant de la visite doivent être propre. Il hait la poussière sur les livres et considère ceux-ci comme des choses très précieuses à prendre avec soin.

• Goûts généraux Sa couleur préférée est le orange, il déteste le vert. Son chiffre favori est le 4, date de naissance de Luisa. Il apprécie les animaux sans en être un grand amateur.

• Les Peluches Akileos n'a jamais joué à la peluche quand il était petit, il avait des poupées grandeur nature, mais depuis qu'il est revenu du Nord, il aime se blottir contre ses peluches et commençait à avoir une petite collection à Caroggia quand il est parti pour Esperia.

• Cartes à jouer et jeux Akileos adore jouer à tous les jeux de taverne quel-qu’il soit, surtout quand il y a de l'argent en jeu.

• La Politique et les Débats Akileos adore la politique et les débats, il adore confronter ses idées, ce qui lui a valu quelques ennuis sur l'Ancien Continent.

• Les enfants Ils sont tellement choooooouuus ! Akileos les adore et il ferait n'importe quoi pour faire plaisir un enfant, parfois même un peu trop...

• Les Gardes Akileos les a en horreur depuis son arrestation, il les considère comme des attardés et comme des bons à riens corrompus.

• Le Froid Depuis son passage proche de la mort dans le Nord, Akileos déteste le froid, la neige et tout ce qui s'ensuit. La Nivôse est un moment extrêmement éprouvant pour lui.

Ouvrages:

Ecrits dans l'Ancien Monde:

• L'histoire d'une rose : Akileos a écrit énormément de récits de romances, tellement qu'il ne s'en rappelle même pas de tous, ils étaient tous un peu identique, mais l'un sort du lot et a permis à Akileos de se faire connaître, c'est le second livre qu'il a écrit. Le livre retrace l'existence d'une rose, mêlant ainsi plusieurs histoires d'amour tournant autour de cette fleur. C'est l'un des seuls livres encore trouvables à Caroggia depuis l'arrestation d'Akileos, les autres ayant été censurés.

• L'appel du Sud Récit de son voyage dans le Nord. L'un de ses livres les plus vendus à Caroggia. Un extrait en est célèbre :

Cela fait plus de deux semaines que je marche dans ce désert glacé, à force, je risque de bientôt arriver à la limite du monde, je ne sais pas où je suis. Tout se ressemble ici, pas de végétation, pas de villages, non juste de la neige, de la neige et de la neige. Les adaarions ont eu raison en bloquant la route du Sud, ils savaient qu’entre la route du Nord ou la condamnation à mort, il n’y avait pas de différence et que j’allais mourir dans ces bourrasques de neige. Mes vêtements ne sont pas adaptés à cette température, je n’ai qu’une tenue caroggiane surmontée d’un manteau adaarion, je gèle, mon visage est barré de gelures, mes cheveux sont blancs.

Le froid me pénètre par tous mes orifices. Mes oreilles n’entendent plus que le sifflement strident et sans fin du blizzard. Mes yeux ne voient plus que ce blanc immaculé qui recouvre les terres jusqu’à l’horizon. Je ne sais plus où je suis, tout est si identique, tout est si blanc. Les maigres rations que j’avais emportées de Golvandaar sont finies. Cette neige si blanche colle à mes bottes et fait ce grincement si caractéristique de la poudreuse. Blanc, tout est blanc. Je ne m’arrête même plus pour faire mes besoins. A quoi bon ? De toute façon je vais mourir dans cet enfer blanc. Je ne me sens même plus humain à me chier dessus, à me pisser dessus, à marcher sans savoir où je vais ni savoir où je suis. Blanc, ce sera le dernier souvenir que je vais emporter de ce monde, cette blancheur sans fin. Me voici défaillant, mes pas s’embrouillent, ma conscience se perd et toujours ce blanc, partout. C’est fini, je ne tiens plus, je m’écroule dans cette neige blanche, mon tombeau.

Petit à petit mes yeux se rouvrent, mes pensées fusent, ainsi il y a quelque chose après la mort ? Je me maudis de n’avoir jamais prié Arbitrio, mais Arbitrio est une femme ? Une aussi jolie femme ? En effet, mes yeux s’étant réhabitués à la lumière me font découvrir une magnifique femme blonde, du même âge que moi je suppose, aux grands yeux bleus, et aux cheveux tombant sur ma poitrine à la respiration irrégulière. Elle me sourit. Je relève légèrement la tête, ça fait un mal de chien, j’ai l’impression qu’elle va exploser. Mais je suis nu ! Par un réflexe, si l’on peut appeler ça un réflexe, le réveil engourdissant encore mes bras, je place mes mains devant mes parties intimes. Elle étouffe un petit rire. Mais qui cela peut-être ? Et pourquoi me regarde-t-elle comme ça ? Peut-être suis-je encore vivant ? En tout cas, ici il fait chaud.

• De la République Pamphlet contre la République Marchande de Caroggia, il ne reste plus aucun exemplaire.

Possessions:

Vêtements quotidien:

• Aucun.

Vêtements de travail:

• Aucun.

Vêtements de soirée:

• Aucun.

Vêtements de Nivôse:

• Aucun.

Accessoires:

• Aucun.

Objets qu'il porte en général:

• Aucun.

Immobilier:

• Aucun.

Relations:

Famille à Esperia:

Aucune

Famille hors Esperia:

Luisa Jarlenbërg : Ma soeur de sang, je t'aime. Tu me manques affreusement et j'espère que tu vas bien, que les gardes qui m'ont arrêté ne t'ont pas fait trop de mal et que tu t'en sors sans moi.

Giuseppe Jarlenbërg : Mon frère ainé. Je crois plus jamais te parler, tu m'as déçu.

Proches:

Connaissances amicales/appréciée:

Dunorix : Tu es la première personne à m'avoir fait confiance, plus ça va et plus je crois t'apprécier, j'espère qu'on deviendra ami.

Antön Parkiin : J'apprécie beaucoup cet enfant, et même si j'ai moyennement apprécié de faire le cheval, j'ai été ravi de te faire plaisir. Néanmoins je ne pense pas que ce soit réciproque mais j'aimerai créer une relation de confiance avec cet enfant, surtout que ça pourrait m'aider pour mes contes.

Saïla : Chacune de nos rencontres fut particulière. J'ai du mal avec le fait qu'une illettrée du Nord me parle avec ce ton supérieur, mais je tiens à vouloir croire que nous pouvons être plus proches. Peut être parce que tu es mignonne et que tu me fais penser à Selma. Je commence à t'apprécier... Je t'ai raconté ma vie, tu es la première à l'avoir entendue. Ah tu vas te marier, dommage... Tu n'as pas remarqué mon certain mépris pour la religion des Sept, heureusement, tu as l'air très croyante, je ferai attention. Je suis sûr que tu ne sais pas lire.

Saltan Androix : Mon maître. J'ai beaucoup de respect pour vous et je n'oublierai pas que vous m'avez fait confiance pour les contes. Vous ne m'avez jamais maltraité non plus, au contraire.

Connaissances neutres appréciées:

Ester Vranová : Première dame à qui j'ai adressé la parole à Esperia. Une de mes maîtres. Je la trouve plutôt mignonne.

Daviel : Il m'a l'air étrange mais sympathique.Un autre de mes maîtres.

Kellena Alvaro : Tu es pourchassée apparemment, par des ligs, je ne comprends pas bien tout ce que tu m'as expliqué à propos de la révolte, mais tu m'as l'air d'être dans le bon camp.

Connaissances neutres:

Maxime Darcade : Mon compagnon d'esclavage. J'aurai voulu me lier d'amitié avec toi, mais tu n'as pas l'air de m'apprécier. Tu as l'air de croire tout savoir mieux que tout le monde.

Zark Silmät : Tu m'as adressé la parole, c'est déjà un début, tu m'as l'air sympathique. Il a essayé de me couvrir des coups de bâtons de Baldini, est-ce un ami ?

Ean Taubman : Vous m'avez fait peur avec votre claquement de porte, faudrait vraiment penser à changer cette porte. Un trésorier, intéressant, peut être est-il utile que je me rapproche de vous. 

Céleste Lisaida : Le destin me met souvent sur votre route. Vous n'avez pas l'air mauvaise mais vous me faites affreusement peur. Je vais essayer d'éviter votre chemin maintenant.

Lazarchio : Un attardé de garde sans doute. Il a servi de main à Baldini pour me battre sans savoir l'histoire, néanmoins je ne pense pas qu'il soit mauvais, juste qu'il possède une cervelle de mouette comme tous les gardes. Cette impression de con pas méchant, se confirme je crois.

Connaissances négatives:

Dinozzio Baldini : Un connard, tout simplement. Il m'a battu car je l'ai bousculé légèrement malencontreusement. Personnage fier et hautain.

Ennemis:

Défunts/repartis:

Histoire:

Akileos (un prénom medevan, sa mère étant originaire d’Indubal) est né à Caroggia dans le quartier de Puerta del Terra, dernier des enfants de la famille Jarlenbërg (famille ayant sans doute ses racines en Grande Huratelon mais l’arbre généalogique est flou à partir du grand père d’Akileos).

Sa mère étant morte en couches, Akileos grandit avec pour seul repère féminin sa sœur Luisa et les prostituées gérées par son père, la famille Jarlenbërg ayant pour activités ces lupanars de luxe spécifiques à Caroggia et ses alentours où l’on vend de la romance. Même si sa famille ne fut jamais acceptée au sein des grandes familles marchandes, de par ses activités, Akileos ne manqua jamais de rien. Il reçut une éducation correcte sans être particulièrement assidu à ses leçons et se lança dès quinze ans dans des affaires personnelles de paris. Ses activités étaient plutôt florissantes, et il pouvait gagner une dizaine d’Alazàn lors des grandes courses de barques.

Mais son père avait d’autres ambitions pour son fils cadet et décida de l’envoyer en mission officielle de récupérer des jeunes nordiques et adaarionne pour les lupanars à Caroggia(Néanmoins, la raison de ce voyage était surtout d’instruire le jeune Akileos au sein d’un monastère adaarion). Ce voyage fut le premier que Akileos fit (hors les excursions de recrutement qu’ils faisaient en famille à la Capitale) et il le transforma de manière assez importante en plein dans sa période d’adolescence. C’est là qu’Akileos commença à s’intéresser à l’écriture et la lecture et qu’il apprit des rudiments d’adaarion.

Mais son séjour fut brusquement arrêté lorsque les moines apprirent la raison officielle de sa venue, et il dut pour sauver sa vie s’enfuir vers le Nord, se perdant, proche de mourir de froid avant qu’une famille d’une tribu Kylmate le recueille (Un miracle au vu de la xénophobie régnant dans cette région septentrionale) . Assez honteux d’être recueilli par ce peuple, il tomba néanmoins amoureux de la fille de la famille, Selma et vécut sans être très enthousiaste de cela parmi ceux qu’il considérait comme un sous peuple.

Mais Selma mourut, comme la mère d’Akileos en couches et celui-ci décida de rentrer à Carrogia après 4 ans d’absence où il trouva une situation familiale bien différente : son père était mort et c’était son frère Giuseppe qui avait repris les affaires en tournant celle-ci vers le côté obscur de la criminalité en se rapprochant de Tarcilia Quirinalone. Luisa, quant à elle, vivotait en tant que courtisane auprès d’oligarques.

Plutôt que de se rapprocher de son frère, Akileos décida de lancer une libraire, acquérant une certaine célébrité (principalement auprès des grandes familles oligarques) pour ses aventures romantiques, souvent inspirées de son voyage initiatique mais sa vie bascula quand, inspiré par la modèle politique adaarion qu’il appréciait de par son côté plus ou moins démocratique, il écrivit « De la République », un pamphlet dénonçant la République Marchande et ses excès. Il fut arrêté, mis en esclavage, et envoyé à Fort Lointain.

Vie à Esperia:

30/6/515  : Arrivée sur Esperia et achat par la famille Dravek. Début du travail à la librairie de la Larme d'Encre, au côté de Dunorix.

30/6/515-?  : Période d'esclavage. Il est difficile de tomber dans l'esclavage, de se faire mépriser par des gens que j'aurai méprisé sur l'Ancien Continent, je crois qu'il faut que je change, que je perde ma prétention de l'Ancien Continent, je me rabaisse à faire des choses que je n'aurai jamais faite (traverser la ville à quatre pattes, vouvoyer une habitante du Nord).