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==Description== | ==Description== | ||
| − | Romain | + | Romain est un frêle combattant d'un mètre soixante-treize, à la robustesse forgée par l'engagement plutôt que par la nature. Miséreux dès son plus jeune âge dans les rues de [[La Capitale]], la survie dans des conditions terribles et un caractère particulièrement perturbateur achèvent de le marquer durablement, notamment suite à son activité au sein de la [[République de la Fesse]]. De cette période où on le surnommait l'Arcasien en référence à l'argot capitalard, il garde les traces sur son corps d'une vie de pauvreté extrême. Son salut vient de moines [[monachistes]] qui décident de le prendre en charge contre toute attente, Romain se séparant volontiers de son paternel pour qui il voue une haine affirmée. Alors destiné à devenir moine à son tour, il bénéficie d'une éducation convenable, particulièrement dans le domaine littéraire, qui constitue pour lui la meilleure façon de s'extirper autant de sa misère que de l'acharnement des moines à son égard. Ses carnets, qu'il rédige secrètement et où il écrit l'impensable dans un [[monastère]], par esprit de révolte, sont trouvés et intégralement brûlés par le frère chargé de son apprentissage, qui prend la décision de l'exclure. De nouveau confronté à la difficulté de la rue, il profite de ses acquis pour retourner auprès de la [[République de la Fesse]] et y acquérir une place plus convenable, en vain. C'est lors d'un stupide cambriolage d'une riche demeure du quartier de la Petite République qu'il est arrêté. Jeté en geôle, son nom disparaît rapidement des registres de l'[[Ordonnance]] et il semble voué à dépérir définitivement. Mais un de ses camarades détenus lui parle de la possibilité de troquer sa peine contre un service au sein de la [[Légion Royale]]. Alors que ce dernier le lui déconseille, Romain, enivré à l'idée de retrouver sa liberté, s'engage. Il est aussitôt envoyé dans [[Les Marches]] où il se présentera naturellement comme un volontaire. Son combat perpétuel durant la [[Guerre des marches]] contre les [[nordiques]] le détourne de ses aspirations de bandit, qu'il ne tarde pas à mépriser profondément. Il est poussé vers l'impérialisme capitalin, terrifié par les barbares qu'il combat, se sentant le représentant de la civilisation arbitrée. Ses écrits en sont très marqués. Son amour pour sa patrie, le [[Royaume Central]] est croissant et sa rencontre avec [[Utilisateur:De Gaure|Maximilien De Gaure]] et [[Utilisateur:Barbaque|Honoré Frater]] le convaincra de la supériorité du "peuple des rois". Les rejoignant au sein de la [[Famille:De Fauxvelles (Famille Esperienne)|Brigade de Fauxvelles]] en tant qu'un des premiers membres, il poursuivra son engagement de Légionnaire par delà ce que lui avait coûté son crime. Pendant des années, il seconde [[Utilisateur:De Gaure|Maximilien De Gaure]] qui lui inculque ses valeurs tout comme ses méthodes, malgré de nettes différences. Après de longues années, il doit se séparer de ses camarades en raison d'un accident qui le force à rentrer à [[La Capitale |La Sublime Capitale]]. Si c'est un déchirement certain, il se rend compte à quel point la [[Légion Royale]] l'a changé. Reprenant ses activités de poète qui ne le mènent à rien, il est retrouvé par deux anciens amis de la [[République de la Fesse]] qui lui conseillent de les rejoindre à nouveau. Romain se rend responsable de leur exécution en les dénonçant à la [[Garde honnête]], en pleine [[Guerre de succession capitaline]] où l'Arcasien prend dès le début parti pour [[Thybauld de Fauxvelles]] avec enthousiasme. En finissant avec la [[Légion Royale]], [[Utilisateur:De Gaure|Maximilien De Gaure]] et [[Utilisateur:Barbaque|Honoré Frater]] le rejoignent finalement à la [[Capitale]] où ils prennent la décision de se rendre en [[Esperia]]. Suivant aveuglément ses camarades et sa doctrine, Romain découvre l'Archipel et participe à la Révolte d'[[Utilisateur:Aaron | Aaron]] qui permet à [[Utilisateur:De Gaure| Maximilien]] de prendre en main la [[Garde]]. S'adaptant mal à l'île, nostalgique de [[La Capitale|La Sublime]] il fait le choix de rentrer en promettant à ses camarades un retour rapide. Une fois rentré, il tente en vain de rencontrer le succès avec un nouveau recueil qui passe totalement inaperçu. Déçu et accablé de dettes qu'il ne peut se résoudre de payer en commettant certains méfaits, confronté à son erreur, il choisit de retourner en [[Esperia]] pour y trouver le conseil avisé de [[Utilisateur:De Gaure|Maximilien]]. |
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Version du 12 juillet 2016 à 04:37
Description
Romain est un frêle combattant d'un mètre soixante-treize, à la robustesse forgée par l'engagement plutôt que par la nature. Miséreux dès son plus jeune âge dans les rues de La Capitale, la survie dans des conditions terribles et un caractère particulièrement perturbateur achèvent de le marquer durablement, notamment suite à son activité au sein de la République de la Fesse. De cette période où on le surnommait l'Arcasien en référence à l'argot capitalard, il garde les traces sur son corps d'une vie de pauvreté extrême. Son salut vient de moines monachistes qui décident de le prendre en charge contre toute attente, Romain se séparant volontiers de son paternel pour qui il voue une haine affirmée. Alors destiné à devenir moine à son tour, il bénéficie d'une éducation convenable, particulièrement dans le domaine littéraire, qui constitue pour lui la meilleure façon de s'extirper autant de sa misère que de l'acharnement des moines à son égard. Ses carnets, qu'il rédige secrètement et où il écrit l'impensable dans un monastère, par esprit de révolte, sont trouvés et intégralement brûlés par le frère chargé de son apprentissage, qui prend la décision de l'exclure. De nouveau confronté à la difficulté de la rue, il profite de ses acquis pour retourner auprès de la République de la Fesse et y acquérir une place plus convenable, en vain. C'est lors d'un stupide cambriolage d'une riche demeure du quartier de la Petite République qu'il est arrêté. Jeté en geôle, son nom disparaît rapidement des registres de l'Ordonnance et il semble voué à dépérir définitivement. Mais un de ses camarades détenus lui parle de la possibilité de troquer sa peine contre un service au sein de la Légion Royale. Alors que ce dernier le lui déconseille, Romain, enivré à l'idée de retrouver sa liberté, s'engage. Il est aussitôt envoyé dans Les Marches où il se présentera naturellement comme un volontaire. Son combat perpétuel durant la Guerre des marches contre les nordiques le détourne de ses aspirations de bandit, qu'il ne tarde pas à mépriser profondément. Il est poussé vers l'impérialisme capitalin, terrifié par les barbares qu'il combat, se sentant le représentant de la civilisation arbitrée. Ses écrits en sont très marqués. Son amour pour sa patrie, le Royaume Central est croissant et sa rencontre avec Maximilien De Gaure et Honoré Frater le convaincra de la supériorité du "peuple des rois". Les rejoignant au sein de la Brigade de Fauxvelles en tant qu'un des premiers membres, il poursuivra son engagement de Légionnaire par delà ce que lui avait coûté son crime. Pendant des années, il seconde Maximilien De Gaure qui lui inculque ses valeurs tout comme ses méthodes, malgré de nettes différences. Après de longues années, il doit se séparer de ses camarades en raison d'un accident qui le force à rentrer à La Sublime Capitale. Si c'est un déchirement certain, il se rend compte à quel point la Légion Royale l'a changé. Reprenant ses activités de poète qui ne le mènent à rien, il est retrouvé par deux anciens amis de la République de la Fesse qui lui conseillent de les rejoindre à nouveau. Romain se rend responsable de leur exécution en les dénonçant à la Garde honnête, en pleine Guerre de succession capitaline où l'Arcasien prend dès le début parti pour Thybauld de Fauxvelles avec enthousiasme. En finissant avec la Légion Royale, Maximilien De Gaure et Honoré Frater le rejoignent finalement à la Capitale où ils prennent la décision de se rendre en Esperia. Suivant aveuglément ses camarades et sa doctrine, Romain découvre l'Archipel et participe à la Révolte d' Aaron qui permet à Maximilien de prendre en main la Garde. S'adaptant mal à l'île, nostalgique de La Sublime il fait le choix de rentrer en promettant à ses camarades un retour rapide. Une fois rentré, il tente en vain de rencontrer le succès avec un nouveau recueil qui passe totalement inaperçu. Déçu et accablé de dettes qu'il ne peut se résoudre de payer en commettant certains méfaits, confronté à son erreur, il choisit de retourner en Esperia pour y trouver le conseil avisé de Maximilien.
Aptitudes
• Combat
Mains nues : Amateur
Épée: Normal
• Alphabétisation
Littérature. Écriture.
• Escalade
En expédition.
