Utilisateur:Ombeline : Différence entre versions

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher
m (Pour bien raccorder les pages wikis entre elles)
Ligne 34 : Ligne 34 :
 
|Bâtiment3= La Lys Radieuse
 
|Bâtiment3= La Lys Radieuse
 
|Bâtiment4= La Larme d'Encre
 
|Bâtiment4= La Larme d'Encre
|Bâtiment5=Le Cœurébène
+
|Bâtiment5= Coeur Ebène
 
|LoginMinecraft= Theaventuriere
 
|LoginMinecraft= Theaventuriere
 
|Pseudo=  
 
|Pseudo=  

Version du 31 juillet 2017 à 11:30




Espoirseparateur.png


"C'est de la confiance que naît la trahison."


Espoirseparateur.png





     200.png
Informations RP
Nom
Genre
Femme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Theaventuriere
Âge IRL
22 ans












Identité :
  • Nom : Ombeline
  • Age : Entre la vingtaine et la trentaine.
  • Taille & poids : 1m70 - 60kg. Très grande pour une femme.
  • Corpulence : Mince
  • Cheveux : Noir corbeau
  • Yeux : Azur
  • Religion : Monachiste
Choix :

Grille Bourse Ornée.pngCouturière
Sait coudre tous types de vêtements et accessoires.
Grille Bol.pngCuisinière
Sait cuisinier, mais plus précisément la pâtisserie, les confiseries et le pain.
Grille Selle.pngCavalière
Sait monter à cheval et connait tout le domaine équestre.

OmbelineCali.png
"Dit l'Ombrageuse"



Thème du personnage


SeparateurSerpent.png


Fiche personnelle



Portrait physique

Ombeline est une demoiselle à l'aube d'être une femme, entre la vingtaine et la trentaine. Son âge est ainsi indéfinissable à cause du contraste entre sa manière d'être et son physique : mature mais fébrile. Très grande pour une femme, elle avoisine le mètre soixante dix, dépassant une moitié de ses opposants masculins et s'alignant aux autres. Elle reste néanmoins particulièrement chétive, les bras maigres et le corps élancé, souvent emmitouflée dans des tenues larges pour ne pas dévoiler ses membres squelettiques.

Son visage n'a rien de surprenant dans sa forme, caché de toute façon par de longues mèches sombres et hirsutes. Ces ombres d'ailleurs, ne la quitte presque jamais, sa longue tignasse aussi libre que son esprit, lisse et tombante, se nichant partout où place il y a. Seul son nez et sa bouche s'échappent des zones ombragées de son faciès, l'un camus et l'autre vermeille, le tout donnant au faciès d'Ombeline un air sérieux et renfermé.

Le reste de son corps reste dans cette même lignée, fragile mais fière. La démarche sauvage, elle ne semble jamais prendre le temps de regarder derrière elle, avançant aussi loin que ses jambes la portent, tantôt nonchalante, tantôt chaloupée. Ses épaules, son dos et ses bras – d'ailleurs rarement couverts - ne transpirent d'aucune tâche manuelle très ardue, et seule ses mains aux doigts longs et ridées trahissent son métier de couturière et de cuisinière, les ongles jamais longs et les paumes toujours rigides

Enfin, la jeune femme a pour habitude de porter des tenues légères et colorées, dévoilant peut être là des mœurs caroggiannes. Les bras étreints de bijoux en macramés, de perles ou de franges, elle ne porte jamais d'objets de valeurs, bien que ces derniers aient toujours des histoires à raconter. Le parfum l'accompagne souvent, transportant avec son tempérament de feu, les embruns du sud.

∴ Ombeline aux côté d'un cheval ibérique. La demoiselle est à Caroggia à cette époque et avoisine des 21 ans ∴



Portrait mental

Ombeline est née d'un mélange des plus étrange : d'un père hura et d'une mère caroggiane. Elle gagne de cette union un exotisme rare et liberté de penser volage, habituée aux cultures et aux mœurs changeantes.

Elle a gagné sa fougue et sa fierté de sa mère, toujours désireuse de garder la tête haute malgré les situations, ce trait de caractère la poussant parfois jusqu'à une légère témérité. La demoiselle n'en reste pas moins sage, sachant quand fermer la bouche et s'amusant plutôt à titiller l'interdit vicieusement – pas sans retours de bâtons. Mais rien ne semble la freiner dans ses agissements, tempétueuse quand le défis s'annonce et conquérante face à l'inconnu.

De son père, elle a gagné le mystère. Plutôt renfermée, il est difficile d'approcher la demoiselle ou de la comprendre. Elle harponne les rencontres avec sécheresse et ne concède qu'une cordialité fausse, pour ne pas perdre son temps avec des accrochages inutiles. Seuls les inquisiteurs réfléchis auront le droit à leur moment.

Ombeline aime avoir un œil et une oreille partout. Elle étudie et sonde chacun de ses interlocuteurs sans gène, et ne semble avoir aucun mal à les cerner. Il suffit de quelques mots, quelques gestes et c'est une multitude de signes que la demoiselle parvient à comprendre et à traduire : Il n'est pas facile en effet de lui mentir. Et pour ceux qui s'y risqueraient... la rancune de l’ombrageuse est sans limites.

Un mauvais caractère en somme, tacheté pourtant de quelques éclaircies... rares, mais d'autant plus précieuses ainsi. Elle gagne enfin de la plus jeune de la famille une douceur profondément enfouie. Mais il semble que cette partie d'elle ait été enfermée pour de bon.



Signes distinctifs

∴ La demoiselle possède un accent indéfinissable. Le commun n'est définitivement pas sa langue natale mais son dialecte ne semble appartenir ni au sud ni au nord... Impossible donc de savoir dans quelle langue coulent ses pensées les plus profondes.


∴ Ombeline voit sa peau colorée d'un bronzage timide. Ses cheveux en revanche, ne pourraient pas être plus sombres que l'encre elle même, si bien qu'en temps de pluie, ils se transforment en un voile opaque, tel un châle de jais, coulant sur ses épaules, son buste et le creux de son dos.

Symbole Transparent.png


SeparateurSerpent.png


Qualités

Franche

Travailleuse

Endurante

Opiniâtre

Prévoyante

Prudente


Défauts

Avare

Intransigeante

Calculatrice

Pessimiste

Abrupte

Inquisitrice


SeparateurSerpent.png

Intérêts et goûts


Grille Bougie.png
Le calme : Malgré son tempérament de feu et sa mauvaise habitude à tremper dans les histoires agitées, Ombeline est une amoureuse du silence et des lieux tranquilles. La demoiselle évite les foules et se renferme dès que son entourage devient trop bruyant. Elle alimentera beaucoup plus facilement une conversation en tête à tête et s'ouvrira plus aisément seule.



Grille Plume.png
Les accessoires : Loin de se complaire dans le matériel, Ombeline aime juste orner son corps avec des objets, qu'ils soient riches ou non. Bandeaux, foulards, bracelets, boucles d'oreilles... tout est prétexte à la parade de son physique. La demoiselle a donc l'habitude de cercler ses bras d'or, d'argent, de ficelles, de soie... qu'importe, tant que le tableau qu'est sa personne regorge de couleurs et d'histoires.



Grille Potion de Résistance au Feu.png
Couleurs : La demoiselle a une préférence marquée pour les couleurs chaudes. Le rouge, l'ocre, l'orange, le jaune ou encore le violet colorent bien souvent ses parures. En revanche, quand la palette de ses préférences ne concerne pas ses vêtements, elle tend plutôt vers le bleu ou le vert : des couleurs sereines ou naturelles.



Animaux : L'animal fétiche d'Ombeline est sans hésitation le serpent : plus précisément la couleuvre et la vipère. Sans trop l'expliquer, les écailles brillantes, les yeux reptiliens et les crocs aiguisés et mortels de cette créature fascinent la jeune femme. Elle pourrait rester des heures à observer ces animaux mystérieux dans leur vivarium, les chérissant.


Habitudes : Ombeline semble fumer depuis assez longtemps maintenant, s'y connaissant bien en matière de tabac. Elle possède également la drôle d'habitude d'utiliser un calumet, souvent en os et en bois par défaut. En alcool, la demoiselle ne semble aimer que l'Hydromel et le thé noir. Les liqueurs ne sont pas, et de loin, ses mets favoris.











SeparateurSerpent.png


Possessions


Tenues
-----


Tunique : La tunique est teintée d'un rouge simple, rosé sur les motifs. La matière principale et le lin, permettant ainsi une bonne isolation thermique et n'étouffant pas pendant les grosses chaleurs. La tenue ne possède pas de manches et tombe dans le dos. Un joli décolleté dévoile quelques formes, le tout tenant au corps à l'aide de lacets pourpres qui se nouent sur les épaules et les omoplates. Le tissu tombe en volants jusque sur les jambes, ouverts sur les flancs pour une grande liberté de mouvements.
Un corset décoratif maintiens la poitrine, d'un brun foncé en cuir de daim, solide et décoré d'arabesques qui rappelles les fleurs du sud. Pour recouvrir le tout, un châle jaune/orangé s'enroule autour de la taille, couvrant le derrière et cascadant sur le devant de la tenue.
Pantalon : Le Pantalon est une pièce particulièrement simple, sans ornements ni poches, entourant la taille avec une ceinture en corde sur-mesure, dissimulée sous un ourlet. Les pattes sont bouffantes aux genoux et se plies juste avant de s'engouffrer dans les bottes. Le tout est en coton, particulièrement léger et souple.
Bottes : Des bottes en cuir de cerf, teinté d'un gris pauvre. Elle n'ont aucune originalité, si ce n'est des semelles légèrement plus hautes sur le talon, augmentant la taille de la jeune femme de deux ou trois centimètres.
Accessoires : Pour habiller les bras, deux bracelets très épais en macramés couvrent les poignets de la demoiselle, lacés de rouge, ocre, brun et jaunes : couleurs de Caroggia. Des bandes de cuir très sombres s'attachent plus haut, sous les épaules, à titre purement décoratif, comme des bracelets de force.






Veste : La veste est teintée d'un rouge plutôt délavé, foncé sur les épaules et les poignets. La matière principale est le cuir de daim : solide à l’extérieur et doux à l'intérieur. La tenue possède des manches longues et des renforts, protégeant bien de la pluie et du vent. Elle est néanmoins courte et sans poches. Un col plutôt élevé se rabat contre la nuque et les flancs du cou. Pour finir, les manchettes sont décorées de bouton en fer.
Un corset décoratif maintiens la poitrine, d'un brun foncé en cuir de daim, solide et décoré d'arabesques qui rappelles les fleurs du sud. Au dessus, une ceinture large en cuir également, fermée par une boucle en fer.
Pantalon : Le Pantalon est une pièce particulièrement simple, sans ornements ni poches, entourant la taille avec une ceinture en corde sur-mesure, dissimulée sous un ourlet. Les pattes sont bouffantes aux genoux et s'y arrêtent. Le tout est en cachemire, particulièrement léger et souple. 
Bottes : Des bottes en cuir de daim. Elles sont très hautes, enfournant les genoux. Les talons affinent la taille et les lacets ajoutent à l’accessoire une touche particulièrement féminine. Les chaussures sont également rembourrées de laine de chèvre.
Haut : Une chemise bleu ciel en lin, et donc particulièrement légère. Les manches sont longues, se terminant en ourlets aux poignets. Quelques boutons ferment le décolleté plongeant.






Bijoux et accessoires
-----



Un Bracelet en macramé aux couleurs de caroggia.

OmbelineSerpentpend.jpg

Un collier en ficelle et pendentif de vipère en verre.

Un Calumet en bois, orné d'une plume de faisan et d'une gravure en forme de couleuvre.






Animaux
-----




Une Couleuvre vipérine de 2kg pour 50cm. Elle est brune tachetée de discrètes tâches sombres. Agressive.
  • Nom : ???
  • Type : Serpent.
  • Race : Couleuvre vipérine.
  • Sexe : ???
  • Dressage : Aucun pour le moment.
  • Origine : Capturée par Tiina.
  • Lieu de résidence : Demeure du Cœur Ébène.
  • Reçu le : 27/07/517


SeparateurSerpent.png


Relations

(HRP : Mises à jour le 09/07/17)

Neshan

Le Foyer.

Quand le monde brûle à l’extérieur, que les épreuves sont grandes et que tout fou le camp... je sais que je peux enfin rentrer à la maison. Et malgré les différences et les non-dits, quelque chose se tisse, lentement... dans ce lieu de livres, de calme et de mouvements. Les miens me manquent et ce vide ne sera jamais remplis, mais tu arriveras peut être à le combler... un peu.

Melodiaz

Le Frère.

J'ai encore cette pierre chez moi, une pierre maculée de sang. Elle se soustrait au fardeau qui m’encombre : celui de la honte, des insultes et des regards craintifs. Tu as été l'un des rares à réagir contre l'injustice, toi le « légionnaire parjure ». A croire que si on les écoutait tous, ceux dehors, il faudrait se contenter de tourner notre langue dans notre bouche, baisser les yeux et attendre... j'aurais aimé avoir un frère comme toi. Non. J'aime à avoir un frère comme toi.

Lazare

La Lame.

Nous avons tous deux personnalités. Celle que nous accordons aux proches quand nous sommes seuls, et celle qui se forme autour des autres. Aucune n'est vraiment fausse... et pourtant, la seconde offre bien plus de masques. Que s'est il donc passé pour que tout s'écroule ainsi ? Une traque, des paroles, de la prison, quelques paroles en l'air. Juste assez pour attiser une flamme qui éclaire l'avenir... pas assez pour l'entretenir. J'ai côtoyé un homme si différent de cette silhouette double qui m'esquive et s'enfuit comme une bête désormais. Peut être ai-je encore une fois mal jugé. Peut être ai-je eu tort. Pourtant, ces échanges m'avaient semblé sincères. Tout ce qu'il reste maintenant, c'est cette épée de bois et ce gambison, au fond de ma maison, qui prennent la poussière. Et avec eux, des souvenirs indécis.

Dionis

Les Cendres.

Certaines personnes laissent des traces. Les tiennes sont des marques de sang, de pleurs, de pertes et d'oublis... Et cela contraste tant avec ton être. Nous nous réunirons sans doute devant cet amas de pierre où tout est né et mort en une nuit, nous continuerons sans doute à parler devant le feu de nos vie tumultueuses, à compter nos blessures... mais tout s'est terminé il y a longtemps et tu le sais. Continuons maintenant, Arbitrio attend bien plus de nous.

Cenek

La Voie.





Espoirseparateur.png


Morts ou disparus.

Efkan

La Flamme.


A peine la trinité des saisons passée, la mort refait sont apparition. Fugace et âpre, elle emporte dans son courant invincible une nouvelle âme.
Qui suis-je pour empêcher cette tempête de nuire ? A croire que je ne suis bonne qu'à vous regarder périr, vous les guerriers, les marins, les comploteurs... J'aurais encore en tête cet échange furibond, ponctué de promesses, de mises en garde et de pardons, dans la froideur de ma nouvelle maison. J'ai juré Efkan, de ne pas me gausser de toi si tu revenais blessé. Je l'ai juré. Mais finalement... tu n'es pas rentré du tout.


SeparateurSerpent.png


Textes libres



Pensées abstraites...

~ Mai 517 ~



Enchaînée par les fers de l'injustice, la panthère attend son heure,
Le goût du blâme dans la bouche et la colère dans le regard.
Seul son sourire se dévoile, préjudice de sa fureur,
Le passant la nourrit comme une bête, d'un geste furibard.
Mais quand la panthère sortira de sa prison,
Sa mémoire ne se sera pas émoussée.
Elle saura alors remercier ceux qui ont tendu la main de la raison,
Et accueillir ceux qui l'ont opprimés.


Espoirseparateur.png


~ Juin 517 ~



Comme le temps s'échappe d'un pas précipité,
La nivose s'installe alors que mes pensées,
Restent figées en thermidor.
Cette sensation d'avoir à jamais enfermé,
Toutes les chances de ce nouveau né,
Dans une alliance, un combat, une douleur.

Jamais ses pas, ne fouleront les sentiers de ma déroute.
Toujours mes jambes se figent sur la route,
De cette nuit de thermidor.
Mon masque pourtant fond goutte à goutte,
Et mes sourires fugace doucement se voûtent,
Dans une imitation, une comédie, un effort.

J'ai senti pourtant tes gestes durant ce doux séjour,
Tu m'as accompagné, accusant le compte à rebours,
De ce dernier thermidor.
Tu as finalement accusé mon infortune de toujours,
A croire que tu n'aurais jamais pu voir le jour...
Laissant sur ton sillage, sang, coups et mort.

Une douce brise pour dompter la chaleur du thermidor. Des rameaux et une prairie sauvage comme panorama... et un bon coup de fouet pour réveiller la sang qui boue sous ma peau. Une discorde à coup d'épée en bois, une chamaille à coup de poings... mieux que des mots. 
Ça cogne, ça se jette au sol, et entre deux conseils, les esprits s’échauffent et les préoccupations foutent le camp. C'est ça dont j'ai besoin. Un peu de violence, une pointe de savoir, un regard bienveillant... c'est comme ça qu'on se sent vivant.



Images :