Utilisateur:Ombeline

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Informations RP
Nom
Genre
Femme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Theaventuriere
Âge IRL
22 ans












Identité :
  • Nom : Ombeline
  • Age : Entre la vingtaine et la trentaine.
  • Taille & poids : 1m70 - 57kg. Très grande pour une femme, mais légère.
  • Corpulence : Mince
  • Cheveux : Noir corbeau
  • Yeux : Azur
  • Religion : Monachiste
Choix :

Grille Bourse Ornée.pngCouturière
Sait coudre tous types de vêtements et accessoires.
Grille Bol.pngCuisinière
Sait cuisinier, mais plus précisément la pâtisserie, les confiseries et le pain.
Grille Selle.pngCavalière
Sait monter à cheval et connait tout le domaine équestre.

OmbelineCali.png
"Dit l'Ombrageuse"



Thème du personnage



Fiche personnelle



Portrait physique

Ombeline est une demoiselle à l'aube d'être une femme, entre la vingtaine et la trentaine. Son âge est ainsi indéfinissable à cause du contraste entre sa manière d'être et son physique : mature mais fébrile. Très grande pour une femme, elle avoisine le mètre soixante dix, dépassant une moitié de ses opposants masculins et s'alignant aux autres. Elle reste néanmoins particulièrement chétive, les bras maigres et le corps élancé, souvent emmitouflée dans des tenues larges pour ne pas dévoiler ses membres squelettiques.

Son visage n'a rien de surprenant dans sa forme, caché de toute façon par de longues mèches sombres et hirsutes. Ces ombres d'ailleurs, ne la quitte presque jamais, sa longue tignasse aussi libre que son esprit, lisse et tombante, se nichant partout où place il y a. Seul son nez et sa bouche s'échappent des zones ombragées de son faciès, l'un camus et l'autre vermeille, le tout donnant au faciès d'Ombeline un air sérieux et renfermé.

Le reste de son corps reste dans cette même lignée, fragile mais fière. La démarche sauvage, elle ne semble jamais prendre le temps de regarder derrière elle, avançant aussi loin que ses jambes la portent, tantôt nonchalante, tantôt chaloupée. Ses épaules, son dos et ses bras – d'ailleurs rarement couverts - ne transpirent d'aucune tâche manuelle très ardue, et seule ses mains aux doigts longs et ridées trahissent son métier de couturière et de cuisinière, les ongles jamais longs et les paumes toujours rigides

Enfin, la jeune femme a pour habitude de porter des tenues légères et colorées, dévoilant peut être là des mœurs caroggiannes. Les bras étreints de bijoux en macramés, de perles ou de franges, elle ne porte jamais d'objets de valeurs, bien que ces derniers aient toujours des histoires à raconter. Le parfum l'accompagne souvent, transportant avec son tempérament de feu, les embruns du sud.

∴ Ombeline aux côté d'un cheval ibérique. La demoiselle est à Caroggia à cette époque et avoisine des 21 ans ∴



Portrait mental

Ombeline est née d'un mélange des plus étrange : d'un père hura et d'une mère caroggiane. Elle gagne de cette union un exotisme rare et liberté de penser volage, habituée aux cultures et aux mœurs changeantes.

Elle a gagné sa fougue et sa fierté de sa mère, toujours désireuse de garder la tête haute malgré les situations, ce trait de caractère la poussant parfois jusqu'à une légère témérité. La demoiselle n'en reste pas moins sage, sachant quand fermer la bouche et s'amusant plutôt à titiller l'interdit vicieusement – pas sans retours de bâtons. Mais rien ne semble la freiner dans ses agissements, tempétueuse quand le défis s'annonce et conquérante face à l'inconnu.

De son père, elle a gagné le mystère. Plutôt renfermée, il est difficile d'approcher la demoiselle ou de la comprendre. Elle harponne les rencontres avec sécheresse et ne concède qu'une cordialité fausse, pour ne pas perdre son temps avec des accrochages inutiles. Seuls les inquisiteurs réfléchis auront le droit à leur moment.

Ombeline aime avoir un œil et une oreille partout. Elle étudie et sonde chacun de ses interlocuteurs sans gène, et ne semble avoir aucun mal à les cerner. Il suffit de quelques mots, quelques gestes et c'est une multitude de signes que la demoiselle parvient à comprendre et à traduire : Il n'est pas facile en effet de lui mentir. Et pour ceux qui s'y risqueraient... la rancune de l’ombrageuse est sans limites.

Un mauvais caractère en somme, tacheté pourtant de quelques éclaircies... rares, mais d'autant plus précieuses ainsi. Elle gagne enfin de la plus jeune de la famille une douceur profondément enfouie. Mais il semble que cette partie d'elle ait été enfermée pour de bon.



Signes distinctifs

∴ La demoiselle possède un accent indéfinissable. Le commun n'est définitivement pas sa langue natale mais son dialecte ne semble appartenir ni au sud ni au nord... Impossible donc de savoir dans quelle langue coulent ses pensées les plus profondes.


∴ Ombeline voit sa peau colorée d'un bronzage timide. Ses cheveux en revanche, ne pourraient pas être plus sombres que l'encre elle même, si bien qu'en temps de pluie, ils se transforment en un voile opaque, tel un châle de jais, coulant sur ses épaules, son buste et le creux de son dos.


∴ Les manières sont présentes chez la jeune femme. On y descelle ainsi un semblant d'éducation. De plus, son corps, chétif, ne semble marqué d'aucune tâche physique habituelle... quoi que des mains rêches et des ongles courts. Si ce n'est pas une artisane manuelle, c'est sans doute une grande bourgeoise.

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Intérêts et goûts


Grille Bougie.png
Le calme : Malgré son tempérament de feu et sa mauvaise habitude à tremper dans les histoires agitées, Ombeline est une amoureuse du silence et des lieux tranquilles. La demoiselle évite les foules et se renferme dès que son entourage devient trop bruyant. Elle alimentera beaucoup plus facilement une conversation en tête à tête et s'ouvrira plus aisément seule.



Grille Plume.png
Les accessoires : Loin de se complaire dans le matériel, Ombeline aime juste orner son corps avec des objets, qu'ils soient riches ou non. Bandeaux, foulards, bracelets, boucles d'oreilles... tout est prétexte à la parade de son physique. La demoiselle a donc l'habitude de cercler ses bras d'or, d'argent, de ficelles, de soie... qu'importe, tant que le tableau qu'est sa personne regorge de couleurs et d'histoires.



Grille Potion de Résistance au Feu.png
Couleurs : La demoiselle a une préférence marquée pour les couleurs chaudes. Le rouge, l'ocre, l'orange, le jaune ou encore le violet colorent bien souvent ses parures. En revanche, quand la palette de ses préférences ne concerne pas ses vêtements, elle tend plutôt vers le bleu ou le vert : des couleurs sereines ou naturelles.



Animaux : L'animal fétiche d'Ombeline est sans hésitation le serpent : plus précisément la couleuvre et la vipère. Sans trop l'expliquer, les écailles brillantes, les yeux reptiliens et les crocs aiguisés et mortels de cette créature fascinent la jeune femme. Elle pourrait rester des heures à observer ces animaux mystérieux dans leur vivarium, les chérissant.



Grille Livre et Plume.png
La littérature : Malgré son manque d'éducation, Ombeline aime lire et écrire quand elle le peut. Les libraires font partis de ses lieux fétiches. Humer le papier, faire couler les pages d'un ouvrage entre ses doigts, lire dans des endroits ou l'ont entend le silence... sont de nombreux plaisirs que la demoiselle chérit et entretient.



Grille Buisson Mort.png
Habitudes : Ombeline semble fumer depuis assez longtemps maintenant, s'y connaissant bien en matière de tabac. Elle possède également la drôle d'habitude d'utiliser un calumet, souvent en os et en bois par défaut. En alcool, la demoiselle ne semble aimer que l'Hydromel et le thé noir. Les liqueurs ne sont pas, et de loin, ses mets favoris.




Possessions


Tenues
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Tunique : La tunique est teintée d'un rouge simple, rosé sur les motifs. La matière principale et le lin, permettant ainsi une bonne isolation thermique et n'étouffant pas pendant les grosses chaleurs. La tenue ne possède pas de manches et tombe dans le dos. Un joli décolleté dévoile quelques formes, le tout tenant au corps à l'aide de lacets pourpres qui se nouent sur les épaules et les omoplates. Le tissu tombe en volants jusque sur les jambes, ouverts sur les flancs pour une grande liberté de mouvements.
Un corset décoratif maintiens la poitrine, d'un brun foncé en cuir de daim, solide et décoré d'arabesques qui rappelles les fleurs du sud. Pour recouvrir le tout, un châle jaune/orangé s'enroule autour de la taille, couvrant le derrière et cascadant sur le devant de la tenue.
Pantalon : Le Pantalon est une pièce particulièrement simple, sans ornements ni poches, entourant la taille avec une ceinture en corde sur-mesure, dissimulée sous un ourlet. Les pattes sont bouffantes aux genoux et se plies juste avant de s'engouffrer dans les bottes. Le tout est en coton, particulièrement léger et souple.
Bottes : Des bottes en cuir de cerf, teinté d'un gris pauvre. Elle n'ont aucune originalité, si ce n'est des semelles légèrement plus hautes sur le talon, augmentant la taille de la jeune femme de deux ou trois centimètres.
Accessoires : Pour habiller les bras, deux bracelets très épais en macramés couvrent les poignets de la demoiselle, lacés de rouge, ocre, brun et jaunes : couleurs de Caroggia. Des bandes de cuir très sombres s'attachent plus haut, sous les épaules, à titre purement décoratif, comme des bracelets de force.






Veste : La veste est teintée d'un rouge plutôt délavé, foncé sur les épaules et les poignets. La matière principale est le cuir de daim : solide à l’extérieur et doux à l'intérieur. La tenue possède des manches longues et des renforts, protégeant bien de la pluie et du vent. Elle est néanmoins courte et sans poches. Un col plutôt élevé se rabat contre la nuque et les flancs du cou. Pour finir, les manchettes sont décorées de bouton en fer.
Un corset décoratif maintiens la poitrine, d'un brun foncé en cuir de daim, solide et décoré d'arabesques qui rappelles les fleurs du sud. Au dessus, une ceinture large en cuir également, fermée par une boucle en fer.
Pantalon : Le Pantalon est une pièce particulièrement simple, sans ornements ni poches, entourant la taille avec une ceinture en corde sur-mesure, dissimulée sous un ourlet. Les pattes sont bouffantes aux genoux et s'y arrêtent. Le tout est en cachemire, particulièrement léger et souple. 
Bottes : Des bottes en cuir de daim. Elles sont très hautes, enfournant les genoux. Les talons affinent la taille et les lacets ajoutent à l’accessoire une touche particulièrement féminine. Les chaussures sont également rembourrées de laine de chèvre.
Haut : Une chemise bleu ciel en lin, et donc particulièrement légère. Les manches sont longues, se terminant en ourlets aux poignets. Quelques boutons ferment le décolleté plongeant.












WIP















Bijoux
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Bracelet en macramé très large ◊ Lacé de roge, ocre, brun et orange : couleurs de Caroggia.
Grille Ficelle.pngGrille Verre Gris Clair.png
Ficelle sombre tressée à la main ♦ L'objet forme un collier, idéal pour y mettre un pendentif.
Serpent cendré pour pendentif ♦ Enroulé sur lui même ♦ Tête en bas ♦ Détails précis ♦ ~5cm




Relations

(HRP : Mises à jour le 25/06/17)


Neshan

Lazare

Aymon

Dionis

Melodiaz



Textes libres



Pensées abstraites...

~ Mai 517 ~



Enchaînée par les fers de l'injustice, la panthère attend son heure,
Le goût du blâme dans la bouche et la colère dans le regard.
Seul son sourire se dévoile, préjudice de sa fureur,
Le passant la nourrit comme une bête, d'un geste furibard.
Mais quand la panthère sortira de sa prison,
Sa mémoire ne se sera pas émoussée.
Elle saura alors remercier ceux qui ont tendu la main de la raison,
Et accueillir ceux qui l'ont opprimés.


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~ Juin 517 ~



Comme le temps s'échappe d'un pas précipité,
La nivose s'installe alors que mes pensées,
Restent figées en thermidor.
Cette sensation d'avoir à jamais enfermé,
Toutes les chances de ce nouveau né,
Dans une alliance, un combat, une douleur.

Jamais ses pas, ne fouleront les sentiers de ma déroute.
Toujours mes jambes se figent sur la route,
De cette nuit de thermidor.
Mon masque pourtant fond goutte à goutte,
Et mes sourires fugace doucement se voûtent,
Dans une imitation, une comédie, un effort.

J'ai senti pourtant tes gestes durant ce doux séjour,
Tu m'as accompagné, accusant le compte à rebours,
De ce dernier thermidor.
Tu as finalement accusé mon infortune de toujours,
A croire que tu n'aurais jamais pu voir le jour...
Laissant sur ton sillage, sang, coups et mort.


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Une douce brise pour dompter la chaleur du thermidor. Des rameaux et une prairie sauvage pour caresser le regard... et un bon coup de fouet pour réveiller la sang qui boue sous ma peau. Une discorde à coup d'épée en bois, une chamaille à coup de poings... mieux que des mots.
Ça cogne, ça se jette au sol, et entre deux conseils, les esprits s’échauffent et les préoccupations foutent le camp. C'est ça dont j'ai besoin. Un peu de violence, une pointe de savoir, un regard bienveillant... c'est comme ça qu'on se sent vivant.



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