Instabilité et d'autoritarisme capitaline

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Instabilité et autoritarisme

L'avènement De Fauxvelles

Dès 516, la politique visant à redorer la puissance du Royaume Central prend forme. Le fait que Thybauld de Fauxvelles compte imposer son autorité et son charisme lui fait gagner beaucoup de points. Les premiers à le soutenir sont les partisans depuis sa prise de pouvoir et ses plus proches collaborateurs. Les seconds font partie de la bourgeoisie qui finance sans compter ses entreprises pour se faire remarquer et bien voir. En effet, avec les vagues de massacres, ils ont bien compris qu'énormément de places de nobles sont vacantes et qu’avec de bonnes attentions, il est possible que De Fauxvelles se montre généreux. La noblesse est divisée, entre celle qui accepte le règne de ce nouveau roi et l’autre qui se tait en sachant qu’il ne sort de nul part et que son sang ne vaut pas grand chose.

En avril 517, la Sublime entreprend de financer un soulèvement en Grande Huratelon, opéré par les Dunascu. Le but caché serait de récupérer l’allégeance ou au mieux de voir certaines cités prendre leur indépendance et donc, d’affaiblir le voisin. Seulement, après un mois de soutien, Frédéric de Lalay, un haut noble phalangiste du Royaume Central conseille le roi sur une retraite de ce qu’on appelle encore l’Intervention de Vislav. Le roi écoute alors l’homme qui gagne dans son estime, y retirant ses volontés politiques.

A la fin de cette année 517, les réformes militaires ont permis à Fauxvelles de prendre la main sur la Légion. L’armée l’appuie et de plus en plus, la décision du Sovitelija de ne pas vouloir légitimer le nouveau roi est mal vue. Le souverain, en retour, offre de grandes sommes aux monastères adaarions du Royaume afin de se faire bien voir. Le centre du territoire, autour de la Capitale, donne son soutien public au roi, alors que les périphérie comme Bayens et Larrelier montrent plus de réticence ou le font par la peur.

Le rebelle au Canatan

Adagan est pris en charge par Lysje Cadfan qui souhaite user du nom et des alliés de l’homme pour se mettre en valeur, à défaut de pouvoir obtenir les grâces du roi. Elle demande pardon et offre son hospitalité pour cela. Cédric Adagan accepte et tous les deux, ils préparent un plan pour mettre à mal la légitimité de l'opposition. Ils prennent contact avec Jérôme Laurier, un proche du roi, mais surtout l’amant de Cadfan. Laurier soutenait Fauxvelles à la base, jusqu’à ce qu’il cède pour un pouvoir plus autoritaire et sanglant à sa victoire.

En 518, Adagan demande l’assassinat discret de nobles étant contre Fauxvelles afin de faire croire que le roi est en train de tuer ses opposants et ainsi, d’instaurer une terreur et une impopularité secrète. Le tout fonctionne, puisqu'une dizaine d’opposants de Bayens et de Larrelier se joignent à cette résistance secrète. Lysje Cadfan et d’autres viennent financer la création d’une armée de mercenaires, venant de Grande Huratelon, de Caroggia et du Nord, sur la demande d’Adagan pour préparer un combat. La dirigeante du Canatan se montre suspicieuse, mais fait confiance à Adagan et sur ses plans.