Utilisateur:Hector janarus
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L'Albunois : | |
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Sommaire
Description
- Hector est, sur le plan physique, un homme dans la norme : le mètre soixante-quinze pour soixante-treize kilos. Son visage commence à se marquer avec le temps, révélant quelques rides dessinant un visage dur et sévère. Sa pilosité grisonnante et ses yeux brun Bismarck viennent soutenir son caractère prononcé.
- Sur le plan moral, Hector est quelqu’un que l’on peut aisément qualifier de froid et sévère. Peu enclin aux ronds de jambes ou aux discussions interminables, il préfère mettre l’accent sur l’efficacité et la rapidité en toute chose. Il ne se relâche quasiment jamais en publique et fera toujours preuve d’une grande fierté. L'albunois a également une forte tendance conservatrice, considérant que les meilleures méthodes demeurent celles qui ont déjà fait leurs preuves et qu’il serait vraiment trop risqué de s’aventurer dans l’inconnu le plus complet sans assurance. Il fait toujours en sorte d’agir en adéquation avec les principes de sa foi monachiste pour laquelle il éprouve un profond respect.
- Depuis son arrivée dans la cité, son caractère semble s'être quelque peu adouci : il a été très agréablement surpris de l'hospitalité des Esperiens et commence à rapidement prendre de l'aise avec ses congénères. Aussi passe-t-il du plus profond respect envers les puissants à une attitude plus relâchée dans le privé avec ses amis.
Aptitudes
Ses centres d’intérêts
Goûts
Armes & Armures
Hector a toujours été intrigué et passionné par ces objets guerriers. Mais à la différence du commun des mortels, il admire tout particulièrement le travail artistique réalisé par les forgerons ou les armuriers et n'accorde que peu d’intérêt à leurs caractéristiques purement militaires.
La Déférence
Un salut respectueux, un protocole scrupuleux ... Ce genre de principes inculqués par son père sont observés avec beaucoup de rigueur par Hector. Cependant, l'albunois semble avoir tendance à adapter ses convenances à ses interlocuteurs, montrant des visages plus variés les uns que les autres, même si son caractère froid et austère est celui qui transparaît le plus souvent.
L'Art
En tant qu'artiste verrier, Hector ne peut que saluer les chefs d'oeuvre de ses compagnons. Il a un attrait tout particulier pour le théâtre et la musique. Il n'entend pas vraiment grand chose à la peinture cependant qu'il juge trop "plate".
L'Ordre
Au quotidien, Hector fait preuve d'une certaine rigueur et d'une organisation minutieuse et cela peut se constater dans son travail des plus studieux, la tenue de sa demeure, de ses comptes ... Il lutte sans relâche contre l'anarchie et fera tout pour y apporter l'ordre tant estimé.
Les Bâtons
Passion presque sensuelle de l'albunois, les bâtons sont pour lui les meilleurs alliés qui soient dans ce monde : à la fois rigides, utiles, uniques ... Il lui arrive très souvent d'en prendre un dans la nature pour faire de longues ballades.
Le Calme
Selon Hector, le bruit ne fait pas de bien et le bien ... ne fait pas de bruit.
La Neige
Le neige, le froid, le vent de Nivôse ... tout ceci plait beaucoup au verrier qui observe avec beaucoup de sérénité cette saison où tout le monde, même la nature, fait silence et se gèle dans le flot du temps.
Répulsions
Les Enfants
Bruyants, sales, irrespectueux ... Les enfants sont tout ce que déteste Hector.
Le Poisson et les Fruits de Mer
Hector a horreur du poisson Son gout, sa forme, rien n'y fait.
La Pluie
Hector n'aime pas vraiment la pluie. Revenir mouillé, devoir se sécher, l'odeur dans les rues, cela l'agace profondément.
Le Bruit
En toute logique, si Hector apprécie le calme, il déteste le bruit.
Les Mal-Arbitrés
La religion est une composante importante de la vie de l'albunois. Aussi, on lui a enseigné de ne pas attribuer le moindre crédit aux personnes mal-arbitrées.
Les Fainéants
La vie est bien trop courte pour la gâcher en ne s'investissant pas pour la société et pour la communauté. De fait, le maître verrier ne supporte pas de voir quelqu'un lambiner dans son coin.
Les Chiens
Hector n'aime pas les chiens. Pour les mêmes raisons que les enfants, ils sont bruyants, agaçants ... Non, il est clair que l'albunois n'aime pas du tout les chiens.
Les Hypocrites
Hector préfère la franchise à l'hypocrisie. Toutes les personnes qui un jour le sont avec lui ne seront jamais oubliées.
Créations artistiques
A venir ...
Esperia
Son histoire
L'art de souffler la vie
La boutique de la famille Janarus se situait dans une artère marchande très fréquentée de Bayens. Au sous sol se trouvait l'atelier de verrerie du père d'Hector, Louis Janarus. Aujourd'hui, le jeune verrier allait recevoir sa leçon pour, un jour, reprendre la suite de son paternel. Monsieur Janarus attendait son fils sur son banc de verrier, tournant énergiquement son pont devant lui. Hector vint s'asseoir à côté de lui, souriant tel un enfant :
"- Regarde, mon fils. Tu devras apprendre ce geste à la perfection si tu veux, un jour, devenir un grand maître verrier. Peux-tu me rappeler le nom de cet outil ? - Il s'agit d'un pontil, père ! Répondit l'enfant, fier de lui. - Tout à fait, mon fils. Et à quoi sert-il ? - On s'en sert pour ce qui n'a pas besoin d'être soufflé ! - C'est cela, oui. On le prend également pour effectuer l'ouverture du col de l'objet. Et ce grand outil là bas, qu'est-ce donc ? Questionna le père tout en indiquant ledit objet dans le coin de la pièce - Ça, c'est la canne du verrier, père ! On l'utilise pour souffler le verre. - Très bien mon grand. Connaître tes outils sur le bout des doigts est une étape indispensable. Ce seront tes meilleurs amis tout au long de ta vie, ne l'oublie pas ! - Bien sûr, père. Je ne l'oublierai pas ! - Brave petit. Répondit Louis, souriant doucement à son fils."
A cet instant, la clochette de la porte de la boutique se mot à sonner, annonçant l'arrivé d'un client au rez-de-chaussée. Hector sauta sur ses deux jambes, grimpant rapidement les marches du sous-sol. Dans l'entrée, une noble dame admirait les œuvres du maître présentes dans diverses vitrines. Hector grimpa sur un petit marche pied derrière le comptoir, s'adressant tout sourire à la cliente :
"- Bonjour ! Que puis-je pour vous ? - Oh, bonjour mon petit. Je cherche maître Janarus. Est-il présent ? - Oui, mon père est en bas, je vais le chercher ! Répondit poliment le garçon.
Quelques instants plus tard, Louis Janaus émergea du sous-sol, accompagnait par Hector :
- Mes hommages, noble dame. Que puis-je faire pour vous satisfaire aujourd'hui ? Annonça le maître avec déférence - J'aimerais vous commander une sculpture en verre. Votre spécialité, plus précisément : le cygne. - Bien entendu. Souhaitez-vous une couleur particulière ? - Une couleur particulière ... voyons ... oui, j'aimerais que cette petite sculpture soit teintée de violet et que soit gravée en dessous : "Pour toujours et à jamais". Pensez-vous que cela soit réalisable ? - Surement, noble dame. Votre commande sera prête dans deux jours. A quel nom dois-je la noter ? - Dame Thiberius. Je vous remercie grandement. Termina alors la noble dame, sortant rapidement de la boutique."
Le maître verrier hocha la tête tout en notant la commande sur un grand livre posé sur le comptoir. Quelques minutes plus tard, il se rendit de nouveau dans son atelier en compagnie de son fils. Une fois en bas, il le questionna :
"- Dis moi, Hector. Quels outils vais-je devoir utiliser pour réaliser cette commande ?
Le jeune garçon resta un petit moment pensif, avisant chaque recoin de la pièce à la recherche de la réponse. Il dit finalement :
"- Et bien il va falloir un pontil, pour prendre le verre dans le four, et des pinces. C'est quelque chose de simple à faire, un cygne. - Très bien mon fils, mais tu as oublié la lame en diamant, pour la gravure. Et comment vais-je devoir procéder pour le faire ? - Tu vas commencer par faire chauffer ton sable avec le colorant violet. Ensuite, tu vas le prendre dans le four avec le pontil et tu vas te mettre sur ton banc pour commencer à lui donner sa forme de base. Tu vas le remettre rapidement au four et l'aplanir sur le marbre avant de revenir sur ton banc pour poursuivre la création. A l'aide des pinces, tu vas faire deux encoches dans la base, une grande pour la queue du cygne et une autre plus en longueur pour le coup et la tête. Enfin, tu vas étirer la tête et faire un "S" avec le cou. Tu feras aussi la gravure, avec la lame et un peu d'alcool."
Le maître verrier sourit à son fils, très satisfait par sa réponse. Le cygne de verre était le symbole de la famille Janarus depuis sa création. Relativement simple à réaliser, il était très accessible et pouvait faire l'objet de présent pour diverses occasions.
Louis Janarus se rendit vers une autre salle de l'atelier ou trônait une grande table en bois reposant sur divers trépieds. Une autre de ses spécialités était en cours de confection : un vitrail. Mais celui-ci était un peu particulier. Il ne s'agissait en effet pas d'une commande, mais de quelque chose de plus personnel. Depuis des générations, les Janarus élaboraient un grand vitrail familial représentant une magnifique rose blanche surmontée d'un soleil radieux, second symbole de la famille avec le cygne. Aujourd'hui, les derniers morceaux de verre allaient être placés. Avec une grande minutie, il les déposa entre les baguettes métalliques avant d'admirer son oeuvre, non sans une émotion certaine. Il appela alors son fils qui, tout en avisant l'ouvrage considérable, questionnait son père du regard :
"- Vois-tu, mon fils, cette oeuvre remonte à ton arrière grand-père, Edmond Janarus, fondateur de la boutique. C'est lui qui inventa la technique du cygne d'ailleurs. Maintenant, la voilà terminée. Nous allons pouvoir la placer dans notre maison. - Père, est-ce que moi aussi, je ferais une oeuvre comme ça un jour ?
Louis resta un moment sans réponse. Pourquoi ne pas en effet commencer un nouveau vitrail ? Après tout, cela ne pourrait être que du positif pour la famille. Il hocha la tête, souriant et répondit :
- Bien sûr, Hector. Nous commencerons tous les deux un nouveau vitrail lorsque celui-ci sera installé. Mais pour le moment vient, je dois te montrer une dernière chose pour terminer ta leçon du jour."
Les deux hommes se dirigèrent vers la salle principale de l'atelier et s’arrêtèrent devant un ensemble de vitres plutôt sales. Le maître verrier se mit alors à genoux, se saisissant d'un chiffon et d'une petite caisse :
"- Regarde bien Hector. Cette technique consiste à faire briller le verre. Tu prends ton chiffon, tu mets de la cendre dessus et tu l'humidifies. Ensuite ..."
Pendant tout le reste de la journée, Louis et son fils restèrent dans l'atelier à travailler, effectuant les diverses commandes des clients de la boutique. Ainsi allait la vie paisible des Janarus.
Ses possessions
Bâtiments
L'Aspic d'Or est une belle demeure située au Quartier Ouest, juste à côté de la taverne du Corsair Nouarr. Elle est le siège de la famille Maillard et est occupée traditionnellement par le Prévôt. Actuellement, le titulaire de la demeure est Hector Janarus.
La Mer Verrière, est un atelier dédié au travail du verre. Actuellement géré par Hector Janarus, l'atelier fournit aux esperiens tout ce qu'ils peuvent avoir besoin dans cette matière.
Garde-Robe
A venir ...
Biens précieux
A venir ...
Ses Relations
Les Partenaires
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Eman : Depuis notre rencontre, je vous trouve de plus en plus sympathique. Je suis persuadé que notre partenariat sera l'occasion de créer une belle amitié.
Amicales
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Neshan : Même si la famille a failli, tu restes un de mes amis proches. Patience et espoir, mon ami. Les lendemains qui chantent ne sont pas loin !
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Arnaud : Ah mon cher Arnaud ! Toutes nos péripéties depuis notre arrivée sur cette île ont créé des liens forts qui j'espère continueront de nous unir pendant longtemps.
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Clodèle : Mon compagnon de voyage, de galère, d'installation ... Nous sommes encore amenés à partager beaucoup de choses. Notre passion commune pour notre Sublime Capitale nous anime et nous pousse aux sommets.
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Zark : Sire Silmät, vous m'avez toujours apporté une aide considérable depuis mon arrivée ici. Notre vision des choses et de la vie est en beaucoup de points similaire. Je pense que nous pourrions aller loin ensemble.
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Justin : L'homme masqué que vous êtes a été pour moi un véritable phare me guidant dans cette cité. Je ne me lasse pas de nos longues conversations devant l'âtre. En espérant qu'elles puissent encore longtemps nous être profitables !
Respectueuses
Danhae : Excellence, mon respect vous est acquis. Je suis tout de même fort attristé de voir que votre confiance ne l'est pas de même.
Mais qu'importe. Je sais qu'un jour, le Très Haut vous apportera la lumière de la vérité.
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Lorenzo : Vous m'avez beaucoup aidé lors de mon arrivée, Excellence et je ne l'oublierai jamais. J'espère que votre famille prospérera longtemps.
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Megara : Intendante, mon estime vous est toute acquise. Depuis quelques semaines, nous entretenons une relation cordiale qui n'est pas pour me déplaire. Je ne désespère pas de vous offrir un jour une tasse de thé.
Connaissances
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Gaston : Je ne sais par quel habile tour du destin vous vous retrouvez toujours à me devancer lors de mes rendez-vous, mais le fait est que vous y arrivez à merveille !
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Tiina : Peut-être nous sommes nous mal jugés dès le départ. Aujourd'hui, le vent a tourné. J'espère que nos routes se croiseront de nouveau sous une lumière bienveillante.
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Eevert : Nous ne nous sommes croisés que trop peu de fois Intendant mais je sens que nos idées se rejoignent en beaucoup de point. Je n'aspire qu'à mieux vous connaître.
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Mila : Petite, tu es surement la seule enfant de ce monde que j'arrive à supporter. Ton calme et ta discrétion me plaisent beaucoup. J'espère que les vents te porteront loin.
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Sèvenn : Damoiselle Virtanen, je suis convaincu que nos métiers respectifs nous amènerons régulièrement à nous rencontrer. Cette relation cordiale et professionnelle n'est pas pour me déplaire.
Dégoût
Partis & Décédés