Utilisateur:Kobalt
Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.
Sommaire
Caractéristiques
Description
Kobalt le moine à toujours vécu avec des voix dans sa tête, et ce depuis qu'il à voué sa vie à Arbitrio suite à la mort et au viol de sa femme sur l'ancien Monde. Arrivé sur Esperia, il passa son temps à tenter de ramener les citoyens vers Arbitrio, et vers ce qu'il croyait alors être l'unique chance de survie face à l'apocalypse décrit dans ses visions par Arbitrio. Lassé du Phalangisme qu'il considérait comme inutile et inefficace, il tenta de créer un nouvel ordre religieux, proche alors du Kaaosisme, tentative qui se solda par un échec cuisant suite à la rencontre avec Kemelvor. En effet, ses voix commençant à avoir une influence néfaste sur son comportement, Kemelvor eu l'idée de lui faire sortir -ce qu'il appelait alors Wilfried- de sa tête, ce qui eu pour conséquence néfaste de laisser une place vacante dans son esprit dérangé. Peu de temps après avoir été libéré de Wilfried, Kobalt parti en pélerinnage pour tenter de remettre de l'ordre parmi les pièces de son esprit brisé, malheureusement, il tomba au fil de ses aventures dans les terres sauvages d'Esperia sur des choses qu'il n'aurait pas du voir, et finit par revenir en Esperia avec un bien étrange compagnon. Une voix, qu'il appelait désormais son maître, lui avait ordonné de revenir en Esperia et d'atteindre les hautes sphères du pouvoir pour permettre à celui qui logeait dans les méandres de son esprit d'envelopper la ville de son influence néfaste. Subissant les pulsions meurtrières de la chose, Kobalt agressa, et manqua de tuer, Arsenius Dominaem - alors l'un des seul à croire en lui - ce qui le conduisit en prison, où il fut mal nourrit pendant plusieurs jours.
Le jeun permettant à Kobalt de reprendre le contrôle de son esprit, il profita de ce moment de liberté pour se suicider en s'étranglant avec ses propres fers. Sa tentative fut heureusement mise en échec par l'intervention miraculeuse d'un garde de passage qui le mis hors de sa cellule, trompé par l'apparence de vieillard qu'arboré alors Kobalt. Ce dernier, alors encore en pleine possession de ses esprits se ligota avec de la corde à une barre dans les égouts du quartier Ouest, où il passa plusieurs mois de lutte mentale et spirituelle avec lui même, afin de faire partir son hôte indésirable, subsistant grâce au déchet amené au fil de l'eau jusqu'à portée de main. Les cordes, rongées par l'eau sale et par les rats finirent finalement par cassé, et Kobalt cru alors en un signe d'Arbitrio qu'il était désormais apte à se mêler de nouveau à la population. Il est désormais sain d'esprit, maitrisant grâce à une vigilance de tout instant, la chose tapie au fond de son âme et voue sa vie au culte d'Arbitrio, mais la chose pourrait revenir, qui sait..
Compétences
Connaissance de la Flore : Des années dans les bois et son pèlerinage lui on appris à reconnaitre les bonnes plantes.
Force : Son passé de bûcheron lui offre une force certaines, même pour son grand age.
Survie : Son pèlerinage dans les Terres sauvages d'Esperia lui on permit d’acquérir un instinct de survie et un sens de l'orientation développé.
Combat : La nécessité de se défendre dans la forêt lui on permit d'apprendre à manier la hache et dans une moindre mesure, une dague.
Alphabétisation et calcul : L'abbaye lui a appris à lire, à compter et à savoir s'exprimer.
Talents
Humble : La nécessité de ce faire oublier après chaque accident dû à sa maladie l'oblige à se faire discret, et quelqu'un qui se vante ne l'est jamais.
Sait manier la hache et le bâton : Le besoin de se défendre dans la forêt et son métier de bucheron lui ont appris à manier la hache, son style alliant une image trompeuse de vieil homme et une force de frappe convenable l'a tiré de nombreux mauvais pas. De plus, son bâton de marche la maintes fois sauvé de situation périlleuse en lui servant de gourdin.
Comédien : Froid et calculateur dans ses moments de folies, Kobalt a toujours su jouer à la perfection le vieillard gâteux, de plus, vivant de la charité des gens, il a vite découvert qu'on donnaient bien plus à un pauvre petit vieux qu'a un fou. Peu de gens se méfie de lui lorsqu'il arrive en tremblant sur sa canne.
Amour propre inexistant: Kobalt veut survivre et rien ne peut l'en empêcher, être humilié, manger une nourriture étrange, périmé ou humaine, dormir dans la sciure et être prit pour un mendiant, rien ne gêne Kobalt si cela peut lui permettre de rester en vie.
Déterminé: Si Kobalt a un but, il fera tout pour l'atteindre.
Bon orateur: Des années passées à haranguer la foule au nom d'Arbitrio lui ont permis de développer un bagout et un sens du discours satisfaisant.
Conteur: Kobalt est en train de coucher à l'écrit toutes les histoires entendues pendant son voyage.
Charitable : Kobalt sait ce que c'est que d'endurer une épreuve pénible, et il sait la peine que ressentent ceux qui sont dans ce cas et ils les écoutera toujours parler avec attention et tentera de les aider.
Défauts
-Fou, schizophrène: Bien que Kobalt ne soit plus le fou qu'il était avant, sa mauvaise réputation continue de le suivre, et la chose - bien que maitrisée - n'a jamais complétement disparue.
-Boiteux : Ses pérégrinations dans la nature sauvage d'Esperia ne l'on pas laissées indemnes, et depuis son retour, il boite légèrement, ce qui handicape à la course et au marche longue
-Gentil : Kobalt est bon au fond de lui, et à vécu les souffrances que causait la chose comme des sévices personnels. Il est d'un naturel gentil, et ce parfois même au détriment de sa propre personne.
-pessimiste : Kobalt à désormais peu de foi en l'avenir et voit le monde avec l’œil de celui qui n'a plus grand chose à en attendre.
-impulsif : Ce trait de caractère hérité de sa jeunesse fougueuse lui joue parfois bien des tours, et il se dit souvent qu'il devrait prendre son temps avant de foncer tête baissé dans des situations parfois dangereuse, car si il à l'âme d'un jeune homme, son corps lui le laisse parfois tomber.
-Ne sait pas nager : Kobalt n'a jamais cru bon de savoir nager, ce qu'il regrette aujourd'hui et cherche à apprendre.
Histoire
Amis
-Hurri Cartier : Kobalt l'apprécie beaucoup, premier contact sur Esperia, ce fut lui qui l'intégra au sein de l'Abbaye. Au retour de Kobalt de son voyage dans les montagnes, Hurri l'accepta sans faire d'histoire, ce qui renforca encore le sentiment d'amitié dans le coeur de Kobalt.
-Fabhrus De Kraanvik Une des rares personnes à lui témoigner de la sympathie lorsqu'il était habité par la chose, il aurait pu devenir le collègue de Kobalt si ce dernier n'avait pas du s'affamer -et disparaitre- pendant de long mois.
-Tenzo Kemaltar : Comme Fabhrus, Tenzo aurait pu devenir le collègue de Kobalt, de plus Tenzo l'a sauvé de l'inanition lorsqu'il était perdu et affamé au sans-fond.
-Kemelvor Kemaltar Kobalt l'aime bien car c'est lui qui a fait partir Wilfried, et même si il regrette un peu l'état dans lequel il a été après sa disparition, Kobalt apprécie toujours l'homme.
-Falcown,fils de Radown d'Huratelon : Kobalt apprécie cet homme qui à toujours pardonnée ses actes, même lorsque ces derniers étaient horrible sous l'influence de la chose. Il est désormais son tuteur à l'Abbaye.
Connaissances
-Thémis Lunargent Il lui a offert une relique ( mais il ne le croit pas)
--Scholwitz Lui à offert son premier véritable repas contre presque rien
-Lynni Lindén Kobalt l'aime beaucoup car elle est douce est gentille. Au contraire de beaucoup de gens croisés alors qu'il prêchait encore la parole d'Arbitrio.
Ennemis
La chose : La chose vit dans la tête de Kobalt, après avoir tenté de l'éliminer, la chose semble s'être réveillée, mais il ne le sait pas encore...
Avant Esperia
Choc !
Goût de sang ... Odeur de cendre ... Fuir, se cacher. Où ?!
Choc !
Le sol me blesse .... sortir des ronces ... courir. Bruit de métal chuintant ... peur, envie de vomir ...
Choc !
Douleur. Noir ... noir .... noir .... ... Enfin
Finalement, je pense que j'ai bien fait de mourir si vite... Un paysan Haras ne peut pas vraiment aspirer à une plus belle mort, au combat, comme dans les livres ....
Le rire .... ils ont gagnés ... j'ai perdu. Plus de ténèbres ? ..... Non ! Revenez !
J'aurais cru que cela m'infligerais plus de douleur que ça ... Je revois le jour ou le noble est venu, ivre, il puait le vin, il avait éxigé, lui et son odeur infecte, qu'on lui offre le gîte et le couvert. Qui étions nous pour refuser ? Mais il a vue Idrasyl .... Idrasyl ...
Non ! Non ! Non ! Revenez ! ..... ......... Quelqu'un cri ... des cri de femme ... les soldats on dû la trouver... temps pis pour elle, je prefère attendre les ténébres, les doux et chauds ténébres ...
Je lui demandé de monter dans la chambre, j'ai nourri le noble, il a vidé ma réserve d'hydromel. Mais il ne fallait rien dire, ne pas le contrarier ! Il nous dédommagerais peut-être ?
Les ténébres ne viennent pas, la fille ne crie plus, les soldats rient. Pauvre femme. J'espère qu'elle est morte ..... qu'elle n'a pas eu le temps de souffrir .... ou pire. Les ténébres de reviendront plus .... je n'ai pas la force de bouger ...
Mais dans la nuit, ce porc me demanda de ranimer le feu, je suis sorti il a bloqué la porte et et monté voir Idrasyl ... J'avais des bûches, j'avais une hâche, j'étais en colère.... En tranchant sa tête, la hâche me condamna moi et mon âme. Elle condamna Idrasyl.
Les ténébres ne m'ont pas abandonnés ... La vie non plus, je ne vois plus que de mon oeil gauche, le droit est plongé dans des abysses de fer et de sang... Ou est Idrasyl ? N'osant imaginer le pire, j'avançais dans la cendre .... Arbitros pardonne mes nombreux oublis à tes prières et ne met pas son visage sur ce que je ne dois pas découvrir ! Mais il s'étais vengé de mes années d'infidèle, mon père me l'avait si souvent répété, mon refus d'obéir aux dogmes finiront par m'attirer les foudres d'Arbitros. Elle était si belle, si sereine au milieu des coquelicots, son visage d'une blancheur de nâcre mettait en valeur ses yeux d'un vert profond qu'une étincelle de vitalité n'éclairerais plus jamais. Son cadavre, reposait nue, au milieu de la cendre imbibée de sang. La douleur fut encore plus insuportable que lors de sa chute. Il s'assit, il pleura. Il pria. Il avait travaillé toute la nuit, et avait finalement réussi à creuser une tombe décente. Ses bras, en sang à force d'avoir creuser sans outils, sur le trou fraîchement rebouché, il planta un pépin de pomme qu'il arrosa de ses larmes... Kuberalt, avait tout perdu, sa femme, sa maison, son honneur, sa tranquilité d'esprit, sa vue, il partit dans la forêt, perdant du sang qui coulait de ses nombreuses blessures à chaque pas, il marcha pendant 1 cycle entier jusqu'à une cascade s'écoulant d'un trou dans la falaise à une sorte de vasque, petite mais peu profonde. Il trempa ses pieds qui n'étaient plus qu'une gigantesque plaie dans l'onde et regarda le nuage écarlate de son sang dans le courant. Il songa au suicide. Il pensa à la libération que ce serait, il pensa à la fin de la douleur, de la déception, de la .... Non, si il mourait maintenant, son âme serait perdu. Il consacrerait sa vie à Arbitrio. Pendant une année, sa vie ne fut qu'une longue succession de prière et de méditation. Il n'eu pendant cette année là aucun contact avec des créatures civilisées, ses seules paroles étant des chants sacrés destiné à faire fuir les creepers, les squelettes et autres monstres, en effet, il avait décidé de ne plus faire souffrir la moindre animal ou créature. Sa seule " arme " était sa voix, et parfois, le voyageur solitaire entendait son chant au loin dans la forêt :
Paix du fond des bois Amis, cherche dans la lumière Le divin salut
Pour certains, le plus beau jour de leurs vies, est leurs mariages, pour Kuberalt, c'étais le jour du souffle. Le jour ou un courant d'air, une inspiration divine, le traversa de part en part, guérissant ses blessures, lui rendant une énergie depuis longtemps disparue, le jour ou il entendit la voix, une voix forte comme les clameurs de mille armées et douce comme mille caresses :
Toi ! Soit mon prophète, guide ma lumière à travers le monde ! Sauve leurs âmes de la fin du monde ! Kuberalt était t-il fou ? Ou bien était-il véritablement inspiré par Arbitrio ? Etait t-il devenu fou ? Le Dieu lui avait-il vraiment parlé ? Une chose est sûre, lui le cru et c'est avec une nouvelle énergie et un sentiment de chaleur au creux du ventre que Kuberalt se leva et marcha à travers la forêt, droit devant lui. Il avait enterré Kuberalt le mort, il était devenu Kobalt le moine.
Premier Jour
Lors de son arrivée, il a été vendu comme Esclave à Praefectis Lucio Aperta dit Renault.
