Utilisateur:Irriya : Différence entre versions

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher
Ligne 8 : Ligne 8 :
 
|Nation_Origine= Lig Ocolide
 
|Nation_Origine= Lig Ocolide
 
|Famille=  
 
|Famille=  
|Quartier=  
+
|Quartier= Sans-Fond
 
|Rang_Politique=  
 
|Rang_Politique=  
|Métier=  
+
|Métier= Serveuse
 
|Rang= Esclave
 
|Rang= Esclave
 
|LoginMinecraft= neckochan
 
|LoginMinecraft= neckochan

Version du 11 janvier 2013 à 20:36



     Irriya
Informations RP
Nom
Genre
Femme
Année de naissance
Rang
Esclave de




Quartier




Métier
Métier
Compléments










Origines
Ville d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
neckochan
Pseudo
Necko
Prénom IRL
Robin
Âge IRL
16













Portrait physique

Petite, fine et discrète, on la perd de vue facilement. Les cheveux noir, épais et munis de quelques dreads et tresses. ils sont plutôt long. Des beaux yeux vert clair, rares et intenses rendent son regard perçant. Irriya a un tatouage sur le haut de ses joues. Il représente des branches et des fleurs, le signe de la famille de noble qui l’a fait réduite en servitude il y a longtemps. Elle a aussi quelques cicatrices sur le corps mais surtout sur ses avant-bras. Son caractère est changeant mais la “gentillesse” prédomine.

Personnage Irriya.jpg

Qualités et défauts

  • Intelligente …pour une Ocolidienne.
  • Maître de la débrouillardise ...à force de vivre seule, restant distante de tous.
  • Utilisera tous les moyens disponibles pour arriver à ses fins ...et ce sans aucun scrupule.
  • Sait se faire discrète... quand elle y voit de l’intérêt.
  • Une jeune femme aimable et gentillette ... mais est parfois impulsive.
  • Souvent calme, elle sait garder son sang froid ...
  • Observatrice ...

Compétences

Combat.png- Combat - Irriya a appris à se battre en survivant dans les ruelles de Lig. Un moyen de se défendre des écumeurs avide de chair fraîche et d'argent.

Katars: C'est une arme rare, donc surprenante. Elle déstabilise la plupart de ses adversaires. De plus, elle maîtrise très bien l'art des katars.

Poings: Elle n'a pas toujours eu ses katars, elle a donc eu besoin de se battre avec ses mains.


Agilité.png- Agilité - Fuir, courir, se cacher, esquiver des attaques. Tout un tas d'action qui améliore l'agilité de Irriya


Survie.png- Survie - Vivre à Lig, c'est de la survie.

Cercles de connaissance

Mors Westford: Un écumeur, ça a suffit à Irriya pour le détester. Maintenant, elle commence à l'apprécier. 


Abisse Westford: Une femme gentille et importante, du peu que peut voir Irriya.


Vaea Esperanza: Une amie de longue date, elles font tout ensemble.


Slight Dunmerh Zerua son maître, un homme étrange mais gentil. C'est un des rares hommes qui arrivent à l'approcher de manière plutôt intime. Elle ne sait pas trop comment se comporter avec lui et a du mal à la cerner.


Aelig Déréan Méryanthis:

Une personne bien sympathique et agréable malgré sa difficulté à s'exprimer.



Corvus : Une personne qu'elle trouve étrange mais, elle arrive à le comprendre, parfois. il l'a sortit de prison et elle l'en remercie.


Sheolh :Un colosse, il est immense et fort. Il fait parfois peur, cependant, Irriya l'apprécie pour son étrangeté. Il la change des personnes classiques. Le trouve un peu trop brusquant parfois

Extension:DynamicPageList (DPL), version 3.3.2: AVERTISSEMENT : Aucun résultat !

Davos : Elle ne sait pas trop quoi penser de lui. Elle le trouve sévère mais n'a pas l'air de fondement méchant.

Son histoire

La jeunesse d’un Jouet

Je suis née dans une grotte. À ce qu’on m’en a dit. Ma mémoire de cette époque est … très floue voir inexistante. Mais comment s’en souvenir ? C’était une petite grotte, en bas de falaises. J’étais enveloppée dans des fripes dont leur aspect laissait deviner leur âge, l’usure d’un temps incertain. Mes cris et mes pleurs se faisaient entendre à très longue distance, heureusement que la petite fille d’un noble passait par là. Ce fut une chance inestimable ... Je crois qu’elle m’a sauvé en me voulant comme jouet, un enfant … objet d’un autre. Je me suis ainsi retrouvée esclave dans un manoir d’un nantis, vieil écumeur n’hésitant pas à exposer ses richesse et dont le seul nom faisait trembler le voisinage entier. Ces riches ... comment un tel écart entre la richesse de cette demeure et les basses rues s’est-il crée ? L’un vit dans un magnifique manoir en bois exotiques, les autres peinent à trouver quelques planches pour réparer leurs toits avant la saison des pluies. Au final, je n’en sais rien et la question m’importe peu … M’enfin, j’ai servi jusqu’à l’âge de 9 ans la petite bourgeoise, Isryl. Je devais nettoyer sa chambre, l’aider à s’habiller, la suivre de partout, jouer avec elle (en servant parfois de jouet, évidement). Tout cela sans jamais me plaindre, même si c’était loin d’être une vie souhaitée, ils m’avaient permis de vivre dans de bonne condition. Au chaud, de la nourriture, une certaine protection et un travail surmontable. En fait, je n’avais vraiment pas à me plaindre.

Les habitudes d’écumeurs ne se perdent jamais:

Isryl avait 14 ans, et moi 10. C’était le début de la matinée. Le soleil n’était pas encore vraiment là mais on pouvait voir les formes des arbres se dessiner à l’horizon. J’étais en train de refaire le lit d’Isryl, je savais les faire à la perfection. Remonter le drap comme ceci, le plier comme cela. Aérer le coussin. Tout un tas de mouvements qui étaient devenus automatiques. Une fois le lit fait, je regardais par la fenêtre, du haut du troisième étage, ce magnifique manoir, trônant fièrement au milieu d’un quartier plutôt tranquille. Il avait la forme d’un “U”. La base des murs était de grosses pierres blanches, envahies par des plantes grimpantes, et le reste du mur était en bois Au milieu de la cour intérieure, un magnifique saule pleureur dont les feuilles tombaient, la température douce, l’odeur de la mer. Tout était si beau. Isryl étudiait dans la “bibliothèque”, sa nature de noble lui devait d’être cultivé, un minimum. Malheureusement, une horde d’écumeurs avait envahi le jardin, ils détruisaient tout, même le saule pleureur. Il était en feu. Je me souviens avoir paniqué et avoir cherché Isryl... Je n’ai pas réussi.. J’ai donc couru pour essayer de fuir, alors que j’entendais des cris de terreur, des gens hurler à la mort. Je descendais à toute vitesse les escaliers, manquant de tomber deux ou trois fois. Je me souviens de gens allongé sur les marches, mort ou pas. des écumeurs aussi étaient allongé … peut être des … non. Arrivée en bas des escaliers, j’avais comme spectacle un combat féroce entre les écumeurs et les mercenaires du manoir. C’était féroce et le sang recouvrait les murs et les sols. Je me suis alors faites discrète et je me suis enfuie, la peur me tenaillait … totalement. Mais je devais partir … et survivre.

L’errance, la brutalité:

Je devais survivre, c’était ma seule occupation. Tout les gens que je connaissais étaient mort, mes amis servant, esclave comme moi de familles de nobles Ocolidiens. Ces nobles aussi sont peut être mort. Après avoir fuis le manoir, je me suis retrouvé dans les mauvaises rue de Lig-Ocolide. J’y ai été violée, tabassée, volée... Alors j’ai appris à faire de même. Je suis devenue forte en crochetage, les coffres et les cadenas n’ont plus aucun secret pour moi. J’ai aussi appris à me défendre, et pour cela, il faut savoir se battre. J’ai pris l’habitude d’utiliser des katars. Je les ai volé il y a longtemps, d’ailleurs, je me souviens de ce vol …

Nous étions trois jeunes, dans mes onze ans. Nous cherchions simplement à avoir de quoi nous nourrir et nous nous préparions à voler un boucher, enfin, plutôt une famille de boucher. Équipés de sacs et de crochets, nous sommes allé à la fameuse boucherie, la nuit, à la haute lune. Nous sommes entrés dans la boutique par la fenêtre, et pendant que nous étions en train de se servir, le père boucher muni de katars tua un de mes amis. La lame planté dans sa petite gorge, il tomba lentement au sol, le sang créant une importante tache sur le sombre plancher. L’homme était grand et à la musculature impressionnante. Mon autre ami et moi avons essayés de fuir mais nous nous sommes retrouvé dans un coin. Alors que l’homme s’approchait dangereusement, mon ami sortit une lame de sa sacoche et planta l’homme dans l’oeil, dans un grand saut. Cet ami fut tout de même coupé par un des katars du géant. Le grand homme était au sol, hurlant de douleur et mes amis étaient mort. Je pris un gros cailloux et l’écrasa sur son crâne. Il s’arrêta de respirer, dans un dernier soupir, je récupéra les armes et partit en courant, terrifiée et en larmes. Ce genre de vol étaient devenue quotidiens et il le restèrent durant longtemps.

L’échappatoire

La vie a Lig-Ocolide était … intenable ?

Je n’en pouvais plus, je devais partir et vite. Je ne sais pas pourquoi je vivais encore, peut être grâce à ma discrétion … Tous les gens qui étaient restés avec moi avaient finis par mourir, peut être étais-je une malédiction ? J’en sais rien … je devais cesser de me poser ces questions, je devais agir et ne plus me tourmenter. Il y avait un grand bateau au port, il semblait vide mais portait un drapeau écumeurs … ces foutus écumeurs, tous des enfoirés. Je suis montée dans le bateau, je devais pas avoir beaucoup réfléchis avant ça. j’avais une chance sur deux de mourir, ou plutôt, une chance sur trois de vivre. J’étais sur le pont du navire et je me souviens avoir vu des gens s’approcher. Sur un coup de peur, j’ai couru vers l’intérieur du bateau. le bois grinçait sous mes pas. Je ne pouvais pas chercher une bonne cachette plus longtemps, les écumeurs allaient arriver et s’ils entendaient le bois crier... Rapidement, j’ai trouvé une cachette de très mauvaise qualité, un tonneau, vide. Une fois que sont passé les écumeurs, J’ai décidé de trouver une cachette plus confortable, même si bouger apportait des risques, mourir de faim et de soif était fatal. Je me suis alors déplacé jusqu’aux cuisine, j’y ai vu une femme travailler. Elle ne m’avait par remarquée alors j’en ai profité pour me cacher derrière le tonneau après avoir chapardé de la nourriture. Je l’observais, cette dame, c’était Vaea.

Une main tendue

Vaea, je ne savais pas comment elle s'appelait à ce moment là et je pensais encore moins qu’elle allait me permettre de me donner un peu de sursis dans cette galère fatale. Le soir où je lui ai parlé... Je m’en souviens très bien, elle m’avait vue, derrière mon tonneau. Je me souviens avoir eu peur qu’elle me dénonce à l’équipage mais elle a été très gentille et m’a permise d’enfin me nourrir et boire, ça faisait bien deux-trois jours que je n’avais rien eu. Nous avons ensuite parlé longuement et elle a finit par me dire qu’elle voulait quitter le navire, fuir pour retourner à Caroggia. Elle me dit alors qu’elle pense être proche de la ville de Indubal, redoutable port et terreur pour les écumeurs. L’idée était alors de se rapprocher de l’endroit. Je cherchais un plan tandis que Vaea cuisinait aux fourneaux, j’étais dans la réserve de nourriture. Un écumeur est soudainement rentré dans la réserve et s’y est laissé tomber. Il était saoul le fourbe ! Après quelques minutes de réflexion et quelques décilitres de rhum en plus pour l’écumeur. Je me suis décidée à aller le … manipuler ? Je me suis glissé derrière lui et lui ais chuchoté à l’oreille

<< Indubal … Il y a un énorme tresor là bas … tu devrais y aller chercher ton or ! >>

Après ça, je suis retournée dans l’ombre me cacher. Bizarrement l’homme s’est levé, difficilement certes, et est sortit de la cale. Je pensais vraiment pas que cela marcherait mais l’homme est allé sur le pont, et a discuté avec les officiers, tout aussi saouls, pour diriger le navire vers Indubal.

Le bateau s’est alors fait attaquer, durant la nuit, par la marine Caroggienne. Réveillée par le bruit des épées et des cris, j’ai guidé Vaea jusqu’au bateau allié, évitant et dansant être les combats qui faisaient rage sur le pont, nous avons nagées, je l’ai empêchée de sombrer plusieurs fois. Jusqu’à atteindre le voilier. Le Capitaine Caroggian nous a recueillies et nous a mises à l’abri dans la cale, encore une autre cale ... Une fois la bataille gagné par les alliés, Vaea est allée parler au cap’taine afin de rentrer. Grace à elle, nous avons pu rejoindre Caroggia sans problèmes.

Une nouvelle vie ?

Vous vous demandez sûrement pourquoi je n’ai pas l’accent Ocolidien, tout simplement car j’ai pris l’accent Caroggien. C’est tellement plus facile de se faire discret quand on ressemble à tout le monde. Rapidement après être arrivée, Vaea a vite trouvé une taverne pour vendre sa magnifique et délicieuse nourriture. Et, par logique, je l’ai suivie. Je suis alors devenue serveuse. Elle était plutôt sombre mais chaleureuse, au fond d’une ruelle, sombre elle aussi. Peu de gens venaient et la plupart étaient pauvres, déprimés et seuls. Il y avait surtout des travailleurs, des chantiers navals ou des apprentis venant oublier leurs situations misérables autour d’une bonne choppe de bière et de plats merveilleux, je ne comprends pas notre manque de succés …

La taverne en elle même reflétait bien cette réalité. Petite, miteuse, quelques tables et l’atmosphère embrumée par l’herbe à fumer bon marché. J’étais derrière le comptoir, deux bières coulaient doucement dans les choppes en terre cuite que je tenais.

<< Hé, Irriya ! va prendre commande à l’homme qui vient de rentrer ! il est au fond !>>

<< Oui oui>> je me souviens l’avoir dit, je soupirais en allant vers la table. J’avais raison de souffler, l’homme avait une capuche noir et ne semblait vraiment pas net, sans doute à cause des nombreuses choppes vides sur sa table. Alors que tout le monde mangeait a sa faim, tranquillement, il se leva d’un seul coup et se mit à crier une phrase <<C’est le moment >>. À partir de là, environ 5 hommes se sont levés et sortirent des armes, se tournant vers Vaea et moi.

L’argent, ils voulaient la caisse et ils étaient prêts à s’attaquer à deux jeunes femmes sans défenses pour ça. Enfin, sans défenses …

<< Vaea !>>

Je me suis rapidement équipée de mes katars et, en menaçant de quelques mouvements, je leurs ai dis de partir. Bizarrement, ils ne m’ont pas écouté. C’est vrai que deux femmes seule dans une taverne sombre et peu fréquentée ne sont pas très effrayantes. Si mes souvenirs sont bons, les deux plus proche avançaient dangereusement vers moi. Je souriais doucement alors qu’ils arrivaient, ils tenaient très mal leurs armes, de piètres voleurs. Je frappa alors violemment sur leurs armes afin de les désarmer et cela marchait.

Désarmés, ils ont tenté de sauter sur moi. Ils avaient compris que la force physique était leurs point fort, malheureusement pour eux, j’avais appris à contrecarrer cet avantage. J’esquiva en leurs faisant une entaille au niveau de leurs bras au passage et je me tenais maintenant derrière eux. Ces deux la partirent en courant et, en relevant la tête, je remarqua que Vaea avait déjà fait partir les trois autres. Des moments comme ceci étaient rare mais nous avions de la chance de savoir comment réagir... Ou plutôt de savoir comment nous défendre.

<< Pfeuh, ils ont même pas payé ces enfoirés.>>

Dans la cave du bateau aux esclaves

Je sais pas vraiment pourquoi je l’ai suivie mais, je repars avec elle sur un bateau et sa promet d’être … une aventure haute en couleurs.

Un jeune homme était venu, quelques jours plus tôt. De ce que j’ai su, il habitait ici avant. Et il est le frère de la petite Julia. La petite blondinette … elle me manquera d’ailleurs. Maligne comme pas deux et le caractère d’un barbare.

Vaea avait discuté avec lui, tandis que j’écoutais leurs tribulations de la bouche de la jeune femme l’accompagnant. Elle sortit déterminée, un sourire en coin, puis me dit :

<< On part demain, tiens toi prête ! >>

C’était comme ça, l’aventure. Décider la veille d’où on y irait. Curieusement, ça ne m’a pas étonné d’elle. Son plan farfelu de se faire embarquer volontairement sur un bateau d’esclavagiste non plus, d’ailleurs.

Hmpf, je pense avoir un peu trop bu de rhum, j’raconte ma vie à un tonneau ! Au fait, merci d’avoir un trou pour que j’puisse m’abreuver ! >>