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='''Aigle Royal'''=
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[[Fichier:AigleRoyal.jpg|500px|center]]
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<h1>Le Culte des Sept Mers</h1>
{{Fiche Faune
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Le [[Culte des Sept Mers]] est la religion endémique des [[Maahvitts]], le vaste territoire continental du Nord de l’[[Ancien Monde]], occupé par les tribus [[Vaahvas]] qui représentent l’intégralité des croyants de cette Foi.
|Image=AigleRoyal2.jpg
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Le Culte des Sept Mers - ou Culte des Déesses, Culte des Sept Mères - scinde l’humanité en deux : les Sudistes, rassemblant tous les non-vaahvas, peuple créé par leur dieu [[Arbitrio]], et les Vaahvas, créés par les [[Culte_des_Déesses_des_Sept_Mers#Les_Sept_Mers_et_leur_D.C3.A9esse_respective|Sept Déesses]], mères des Vaahvas.
|Milieu de vie=Volant
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|Classe=Ovipare
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Le [[Temple des Sept]] est réparti en plusieurs confréries aux [[Temple_des_Sept#Les_Courants_de_pens.C3.A9es|courants de pensée]] plus ou moins rigoureux, plus ou moins tolérants, formant des [[Thralls]], les chefs religieux, qui sont ensuite envoyés auprès des [[Tribus_Vaahvas#Lois_et_syst.C3.A8me_tribal|tribus]] qui arpentent les [[Maahvitts]]. C’est une religion ancienne, basée sur un rapport profond avec la nature sauvage qui l'entoure, la vie d’un animal valant autant que celle d’un humain et devant être traitée avec le même respect : des considérations qui prennent racine dans la [[Genèse_vaahva|Genèse Vaahva]].
|Domesticité=Difficilement domestique
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|Taille= 1,8 à 2,34 mètres d'envergure
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Convaincus d’être constamment soumis au bon-vouloir des Déesses, les [[Vaahvas]] cherchent activement à se connecter à leurs divinités au travers des thralls et de nombreuses pratiques rituelles, faisant des traditions du Culte des Sept parmi les plus variées : [[Sortilèges_et_signification_des_animaux|esprits, peintures, interprétation des signes]], [[Roeda|divination par les runes]] : les Vaahvas considèrent que les Sept Déesses s’expriment constamment au travers de l’environnement qui les entoure.
|Poids= 4,05 kg pour les mâles et 6,35 kg pour les femelles
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|Régime Alimentaire= Carnivore
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Il s’agit d’une religion repliée sur elle-même, qui ne cherche à convaincre aucun non-vaahva. Les étrangers ne sont pas considérés comme les enfants des Déesses et donc, doivent s’occuper de leurs croyances à eux. Au contact des étrangers, certains Vaahvas se convertissent : une tendance minoritaire que certaines [[Temple_des_Sept#Une_confr.C3.A9rie_de_thralls|confréries de Thralls]] pardonnent, mais que d’[[Temple_des_Sept#La_reconversion|autres punissent aussi brutalement que cruellement]].</div>
|Espérance de vie= 20ans à 30ans voir plus
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|Biome=Montagne
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|Biome2=Steppes
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|Biome3=Falaises désertiques
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|Biome4=Zones rocheuses
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<h1>Histoire</h1>
|Biome5=Forêts
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[[File:terrevaahva2234.jpg|400px|right|link=]]
|Biome6=Toundra
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|Biome7=
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Le culte vaahva s’étend au Nord de l’Ancien Monde, des eaux de la Raakavann tout à l’Est, jusqu’à la mer de Huiskutta et des contrées de la [[Zaraga]] au Sud-Ouest. Le territoire prospère sur des milliers de kilomètres, faisant de lui la plus vaste nation avec le [[Royaume Central]]. A cause de l’esclave, on retrouve plus rarement des vaahvas toujours fidèles à leur foi dans le Sud, ou sur [[l’archipel d’Eyjarfolk]].
  |Région= Alkupera
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  |Région2= Bogen
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Le Culte des Sept mers fait référence aux [[Sept Déesses]] qui sont les reines spirituelles de tous les vaahvas. Elles sont respectées comme des Mères, car elles ont donné le droit de vivre à leurs enfants. En retour, si ces derniers désirent la sérénité, il est dans leur devoir de les aimer, les protéger, leur obéir et les craindre quand il est nécessaire.
|Région3= Dione
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|Région4= Edella
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L’histoire du culte s’étend sur un [[calendrier vaahva]] bien plus long, mais moins précis. Le culte des Sept est le résultat de plusieurs siècles d’organisation, de changements et de perturbations qui ont construit un peuple uni et pieux dans les adversités les plus conséquentes.</div>
|Région5= Evigt Kylma
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  |Région6= Gyllendal
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  |Région7= Kivie
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  |Région8= Maasydan
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  |Région9= Steiertal
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[[File:mondevaahva.jpg|500px|center|link=]]
  |Région10= Îles Sodrarna
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[[File:vaahvatemple.jpg|500px|center|link=]]
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<h1>Le Temple des Sept</h1>
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<h3>Infrastructure</h3>
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Le Temple des Sept n’est plus un monument depuis longtemps. Il représente l’ensemble des prêtres et prêtresses aux services des Sept, nommés “thralls”, ainsi que leurs serviteurs qui ont choisis de dédier leur vie à la piété. Il existe des sanctuaires, qui sont des temples hébergeant des confréries dont l’objectif est de former les futurs thralls à des doctrines qui diffèrent selon la mentalité du temple.
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Ensuite, le long des routes ou dans les endroits les plus stratégiques de l’immense territoire vaahva, on trouve des temples mineurs qui accueillent un nombre plus restreint de thrall qui veillent à la santé religieuse de la région et des tribus. Les vaahvas les plus indécis viennent y quérir des conseils, rédemption ou châtiments, alors que d’autres proposent leur service pour soulager leur conscience ou prouver leur dévotion aux Sept.
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Enfin, les pèlerins vaahvas peuvent s’arrêter à des points clefs de leurs terres. Que ce soit directement devant les mers si emblématiques, les arbres ou les rochers élevés au rang de monuments par les contes et les histoires qui les ont mis en valeur, ou encore les plaines qui ont été le théâtre les champs de bataille dans la reconquête du territoire… A chaque lieu, des serviteurs des Sept, encadrés par un ou plusieurs thralls, encadrent les voyageurs et veillent au respect du paysage et de ses traditions.
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<h3>Religieux</h3>
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Les prêtres et les prêtresses des Sept sont nommés les thralls dans le culte des Sept. Ils sont les interprètes de la parole des déesses et se doivent de faire de leur mieux pour que chaque fidèle soit le plus sérieux dans ses pratiques pieuses. Chaque tribu ; qu’elle soit citadine, campagnarde ou perdue dans une forêt ou une montagne ; possède son thrall qui se range en bras droit du chef local. En plus de soulager les maux d’esprits et les problèmes du commun des vaahvas, il assure les meilleurs conseils à la direction de la tribu afin qu’elle prospère dans l’amour des Sept.
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Pour en savoir plus sur le [[Temple des Sept]]…
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<h1>Théologie et Doctrine</h1>
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<h2>Fondamentaux</h2>
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Tous les récits, mythes, légendes et textes sacrés qui forment l’immensité du savoir et de la culture vaahva sont rassemblés dans le Nemonöricon. Autrefois, il s’agissait de la bibliothèque de Kaary Öbor, un sanctuaire d’une confrérie de thrall en Evigt Kylma. Depuis, les histoires ont été copiées pour appartenir à tous les religieux, avant d’être récitées et apprises par les croyants au cours de leur éducation.
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  |titre= Tableau représentant le Nemonöricon vaahva à Uuroggia
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=Description=
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<h3>Les Lohikarmes</h3>
==Apparence==
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===Apparence de l'adulte===
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Au début du monde, il existait les Lohikarmes. Ce furent des créatures d’une taille indescriptible dont on ne saurait y voir ni la tête, ni les pieds en même temps. Les vaahvas vivent sur le Lohikarme nommé Maahvitt, leur terre. Ainsi, plutôt que de voir le monde comme des régions, des pays, les vaahvas voient cela comme des lohikarmes qui forment des îles au minimum, ou des continents entiers.  
L'Aigle royal adulte est l'un des plus gros rapaces connu du haut de son envergure pouvant s'approcher des 2,5 mètres et de son poids avoisinant les 7 kilos pour une femelle adulte. L'Aigle royal est marqué par un important dimorphisme sexuel faisant que le mâle est presque deux fois plus petit que la femelle.
 
Son allure de chasseur marqué par des serres puissantes aux griffes acérées ainsi que son bec courbé est capable de déchiqueter ses proies. Le plumage de l'adulte est brun aux reflets parfois plus clair, notamment sous les ailes et la queue. Caractérisé par sa tête brune dont le camail (la nuque) porte des reflets dorés, c'est cette dernière caractéristique qui lui a donné son nom.
 
Les rémiges et les rectrices sont grises à leur bases, et parcourues de quelques barres sombres et les plumes usées et décolorées, forment une zone pâle irrégulière sur les ailes.
 
Son bec est principalement noire alors que la base de sa mandibule, aussi appelée plus communément "cire" est jaune vif. Cette cire fait la séparation entre le bec et le plumage. Son regard perçant, capable de détecter une proie à 10km est brun.
 
Contrairement au faucon, l'Aigle royal n'utilise que ses serres pour tuer ses proies.
 
<br>[[Fichier:AigleRoyal4.png|350px|center|vignette|Lexique de l'anatomie d'un Aigle royal]]
 
===Apparence du juvénile===
 
Le jeune Aigle royal aussi appelé "Béjaune" est naturellement plus petit, jusqu'à deux kilos de moins que l'adulte. Cependant, c'est au niveau de son plumage que l'on y reconnaît le plus de différences: La teinte de ce dernier est foncé, comportant des tâches blanches au niveau des ailes et sur la queue qui est par ailleurs plus courte. Le bec, lui est moins crochu et porte un noir moins intense que l'adulte à maturité sexuelle, la cire du bec, elle, est jaune clair et sera destiné à devenir plus vive en grandissant.
 
===Apparence de l'aiglon===
 
L'aiglon de l'Aigle royal ne porte pas de plumages mais un fin duvet blanc. Ils naissent aveugles et ne développent un début de plumage qu'à partir de leur deuxième semaine de vie. Ce récent plumage ne sera pas encore imperméable et gardera un aspect pelucheux jusqu'à tard. La cire présente autours du bec de l'aiglon est grise et ne deviendra jaune clair qu'en grandissant.
 
<br>[[Fichier:AigleRoyal3.png|250px|center|vignette|Différences entre le juvénile et l'adulte en vol]]
 
=Comportement=
 
==Reproduction==
 
Les aigles royaux sont monogames, ils gardent leur partenaire durant des années voir certains pour toute la vie. Dans de très rares cas, des couples à trois comprenant deux femelles peuvent exister.
 
===Parade nuptiale===
 
La parade nuptiale peut durer des semaines et est très impressionnante d'un point de vu extérieur. Principalement basée sur la voltige, elle alterne piqués, acrobaties et jeux aériens. Les rapaces peuvent aussi se prendre serres à serres ou échanger des offrandes de proies. Il y a deux types de parades nuptiales aériennes : un piqué au cours duquel l’oiseau qui vole le plus bas se renverse sur le dos et se défend en tendant les serres, et le vol en « festons », sinusoïdal, pendant lequel l’Aigle royal alterne piquets « ailes au corps » et remontées avec battements d’ailes
 
===Reproduction et aire===
 
Le couple marque fortement son territoire par des vols caractéristiques : simulations d’attaques, vols en festons, poursuites, piqués… Il est peu combatif, même s’il est territorial. Il se limite à de simples manoeuvres d’intimidations, voire à de rares poursuites. Cependant, il arrive que de véritables combats éclatent lorsqu’un oiseau
 
étranger pénètre sur un territoire de nidification. Seuls les environs du nid sont réellement défendus. Ce territoire peut être large de 150km.
 
  
Le couple entame la saison de reproduction avec l’aménagement du nid ou "aire". L’aire, imposante construction, est solidement bâtie dans la partie supérieure d’une falaise, sur une corniche protégée par un surplomb ou située dans une cavité, voire dans un conifère âgé situé en hauteur bien que ce dernier cas soit plus rare. Pour nicher, les couples recherchent préférentiellement des habitats rupestres comportant des espaces ouverts pour la chasse. L'aire est large et sera constamment améliorée jusqu'à ce que l'aiglon puisse voler. A la fin, l'aire est une véritable petite forteresses, surtout qu'il est réutilisé et encore amélioré pour les prochains aiglons. Les aires sont situées entre 200 et 2500 m d’altitude. Ils peuvent atteindre deux 2m de diamètre et 2,5m d’épaisseur.
+
Le soleil (nommé Zon) ou la lune (nommée Lees) ainsi que leurs robes (le ciel d’étoile pour la lune et le ciel bleu pour Zon) sont aussi vus comme des Lohikarmes avec leur propre caractéristiques et pouvoirs. Depuis longtemps, ces titans sont morts et ne bougent plus, mais ils ont laissé leurs enfants : les dieux et les déesses.
Le couple possède deux à huit emplacements différents qu’il utilise à tour de rôle, avec toutefois une préférence pour un seul ou deux d’entre eux qu’il utilisera pendant plusieurs années consécutives. La distance entre les aires d’un même couple est très variable, allant de moins de 100m à plus de 3km.
 
  
Les deux à trois oeufs (parfois quatre), sont pondus à 3-4 jours d’intervalle. La femelle incube seule la nuit et à 85% du temps le jour. C’est alors le mâle qui la nourrit. Les nichées engendrant deux jeunes viables restent tout à fait exceptionnelles. Un seul jeune parvient généralement à l’envol, le phénomène de caïnisme étant très fréquent chez ce rapace. La plupart du temps, la femelle restera au nid pour s'occuper du petit alors que le mâle part chasser. Ce n'est qu'en grandissant que la mère s'absentera de plus en plus de l'aire.
+
En savoir plus sur la [[Genèse]] du monde vaahva…
Les petits ne pouvant pas encore réguler leur température, ne peuvent compter que sur la chaleur de leur mère pour survivre durant les difficiles nivôses ou les brumaires trop pluvieuses.
 
  
Petit à petit, une fois que l'aiglon possède des ailes et un plumage capable de voler, les parents ramènent leur chasse plus loin du nid pour encourager le jeune à s'envoler.
+
<h3>Les Déesses des Sept Mers</h3>
Après l’envol, le ou les jeune(s) séjourne(nt) longuement sur le territoire des parents. Par la suite, ils errent à la périphérie des domaines d’adultes territoriaux jusqu’à trouver un partenaire et un territoire vacant.
+
 
<center>{{Reproduction
+
Les Sept filles de Maahvitt qui ont décidé de chérir le corps de leur père à sa mort, puis d’y amener la vie : celle des vaahvas. Par les pouvoirs de chacune, les enfants peuvent prospérer, grandir et vivre dans la foi de leurs Mères. Chaque divinité est associée à une mer bordant les côtes du territoire vaahva.
|Thermidor début =
+
 
|Thermidor milieu =
+
*La Vitjässä : Déesse de la Lumière, du Jour et de la Foi.
|Thermidor fin =  
+
*La Kalafiskur : Déesse de l’Abondance, la Fertilité et la Fécondité.
|Nivôse début = Reproduction
+
*La Sinine : Déesse de l’Amour, la Beauté et du Mariage.
|Nivôse milieu = Reproduction
+
*La Huiskutta : Déesse de la Force, de la Vigueur et du Courage.
|Nivôse fin = Reproduction
+
*La Raakavann : Déesse de la Santé, de la Guérison et de la Médecine.
|Brumaire début =
+
*La Lugnaroa : Déesse du Calme, de la Sagesse et de la Justice
|Brumaire milieu =
+
*La Svartsjö : Déesse de la Mort, la Nuit et la Vengeance.
|Brumaire fin =
+
En savoir plus sur les [https://www.esperia-rp.net/wiki/index.php/Culte_des_Déesses_des_Sept_Mers/ Déesses des Sept Mers]…
|Floréal début = Ponte
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</div>
|Floréal milieu = Ponte
+
 
|Floréal fin =Ponte
+
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}}</center>
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{{Cadre d'Image
<br>[[Fichier:AigleRoyal5.png|350px|center|vignette|l'Aire (ou nid) d'un couple d'Aigles royaux]]
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|1= right
==Chasse==
+
|2= [[File:testdieu.jpg|350px|right|]]
===Territoire de chasse===
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|fond=  
La taille des territoires de chasse est variable. En général, la superficie moyenne est comprise entre 50 et 150 km², pouvant atteindre 200 à 400 km² dans les zones montagneuses. D’une manière générale, ces territoires de chasse sont situés au dessus des sites de nidification, ce qui permet ainsi aux aigles de ramener des proies lourdes et volumineuses par un trajet descendant en vol plané et non en battant des ailes pour remonter vers l’aire. Les grandes plaines et les environnements dégagés offrent un terrain de chasse idéal pour l'Aigle Royal qui peut ainsi utiliser le maximum de sa vitesse sans craindre les obstacles.
+
|largeurbordure= 15px
===Alimentation et proies===
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|couleur= transparent
L’Aigle royal se nourrit en fonction des ressources présentes sur son territoire. De ce fait, son régime est qualifié d’éclectique, allant des petits passereaux aux rongeurs, en passant par des mammifères, tels que les renards ou chevreuils. Mais sa rédation s’exerce en priorité sur l’espèce la plus représentée, montrant une nette préférence pour des animaux pesant entre 0,5 kg et 5 kg. Dans les régions riches en lièvres, lapins ou marmottes, ceux-ci constituent la majorité des prises.
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|titre=  
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|fondtitre=  
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<h2>Héros, mythes et légendes</h2>
  
La recherche de nourriture ne se fait pas avant le lever du soleil et est entrecoupée de longues périodes de repos ou de vol à voile. Il arrive que le mâle et la femelle chassent de concert, l’un derrière l’autre, séparés d’une centaine de mètres. Lorsque les proies vivantes viennent à manquer, l’Aigle royal devient un charognard opportuniste. Il est incapable de transporter une proie plus lourde que lui, c’est à dire dépassant les 4 à 5 kg. C’est pourquoi il dépèce souvent les grosses proies avant de les rapporter à l’aire. L’Aigle royal peut tuer de jeunes ongulés pesant 15 kg au maximum, mais là encore, il les consomme sur place, y revenant à plusieurs reprises. Un gros ongulé (mort dans une avalanche par exemple), peut nourrir plusieurs aigles pendant une période assez longue.
+
L'Histoire vaahva est avant tout forgée sur les histoires et les mythes plutôt que le bien fondé de la réalité. L'objectif est d'enseigner des morales, des attitudes et des valeurs qui doivent inspirer chacun à se dépasser, à être pieux et au service de son peuple. Ainsi, au delà de l'enseignement des Sept Déesses, les thralls racontent mille histoires sur les héros et les dieux venant des autres Lohikarmes pour garnir les soirées d'une bonne ambiance, tout en cultivant les têtes des plus curieux.  
  
Les besoins estimés quotidiens sont modestes, 250 g pour un mâle et 300 g pour la femelle en moyenne. Ceux d’un aiglon s’élèvent en moyenne entre 150 et 200 g durant le séjour au nid. Il lui est possible de jeûner plus d’une semaine, en nivôse par exemple, quand la nourriture devient plus rare. L'aigle royal est un prédateur dit de "bas vol" : lors de ses chasses, il plane à flanc de coteaux en rasant le sol, masqué par la végétation ou le relief, en effleurant les crêtes et les arbres ou chasse à l’affût du haut d’un perchoir bien en vue. Il base son attaque sur l'effet de surprise. Les proies sont prises à l’issue d’un bref piqué, soit à terre, soit en vol, et juste avant l’impact, il tend ses serres ouvertes vers l'avant, qui lui servent à saisir et tuer sa proie. L’attaque peut ainsi lui faire arracher un écureuil de sa branche, prendre un Grand tétras à l’envol, ou enlever un cabri de chamois dans un vol descendant. Les gros mammifères sont poursuivis en rase-mottes avant d’être capturés. Avec l’âge, l’Aigle royal acquiert de l’expérience et chasse avec de plus en plus d’efficacité. De gros oiseaux peuvent ainsi être capturés en vol (corbeau, buse, grue).
+
En savoir plus sur [[Temps_des_hommes|les mythes et légendes de la culture vaahva]]...
Le rapace peut aussi s'attaquer à d'autres prédateurs comme des loups.
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</div>
<br>[[Fichier:AigleRoyal6.png|350px|center|vignette|Un Aigle royal chassant un renard]]
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</div>
=Représentations culturelles=
 
L'aigle Royal est présent dans de nombreuses contrées dans l'ancien monde. Il est principalement chassé pour ses plumes qui ornent souvent de riches tenues et chapeaux. Il arrive parfois que l'animal soit chassé pour éviter la concurrence qu'il peut faire avec les chasseurs. Cependant, l'animal reste très difficilement accessibles et seuls les plus motivés s'y frottent.
 
==Diaspora Qadjaride==
 
L'aigle Royal ou "Sakâ" en qadjaride est particulièrement représenté, utilisé et respecté par les [[qadjarides]]. L'animal est jugé comme l'être non-humain le plus sensible au [[Souffle]] de l'[[Ertä]]. Il est le symbole et l'animal utilisé dans la fauconnerie par les respectés [[Sakâ'i]] qadjarides. Ces derniers ont développés de nombreuses traditions à mi-chemin entre le dressage et le mysticisme lié au [[culte qadjaride]].
 
Le rapace est souvent associé à ces chasseurs qadjarides, même auprès des yeux des Arbitrés. Certains Arbitrés ironisent de la situation actuelle des qadjarides vis à vis de leur ancien Empire en disant: "Les qadjarides sont des aigles royaux à qui ont a coupés les serres et le bec pour les soumettre à faire des cabrioles lors des foires."
 
{{\Ecrit}}
 

Version du 9 octobre 2023 à 14:51


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Le Culte des Sept Mers

Le Culte des Sept Mers est la religion endémique des Maahvitts, le vaste territoire continental du Nord de l’Ancien Monde, occupé par les tribus Vaahvas qui représentent l’intégralité des croyants de cette Foi.

Le Culte des Sept Mers - ou Culte des Déesses, Culte des Sept Mères - scinde l’humanité en deux : les Sudistes, rassemblant tous les non-vaahvas, peuple créé par leur dieu Arbitrio, et les Vaahvas, créés par les Sept Déesses, mères des Vaahvas.

Le Temple des Sept est réparti en plusieurs confréries aux courants de pensée plus ou moins rigoureux, plus ou moins tolérants, formant des Thralls, les chefs religieux, qui sont ensuite envoyés auprès des tribus qui arpentent les Maahvitts. C’est une religion ancienne, basée sur un rapport profond avec la nature sauvage qui l'entoure, la vie d’un animal valant autant que celle d’un humain et devant être traitée avec le même respect : des considérations qui prennent racine dans la Genèse Vaahva.

Convaincus d’être constamment soumis au bon-vouloir des Déesses, les Vaahvas cherchent activement à se connecter à leurs divinités au travers des thralls et de nombreuses pratiques rituelles, faisant des traditions du Culte des Sept parmi les plus variées : esprits, peintures, interprétation des signes, divination par les runes : les Vaahvas considèrent que les Sept Déesses s’expriment constamment au travers de l’environnement qui les entoure.

Il s’agit d’une religion repliée sur elle-même, qui ne cherche à convaincre aucun non-vaahva. Les étrangers ne sont pas considérés comme les enfants des Déesses et donc, doivent s’occuper de leurs croyances à eux. Au contact des étrangers, certains Vaahvas se convertissent : une tendance minoritaire que certaines confréries de Thralls pardonnent, mais que d’autres punissent aussi brutalement que cruellement.


Histoire

Terrevaahva2234.jpg

Le culte vaahva s’étend au Nord de l’Ancien Monde, des eaux de la Raakavann tout à l’Est, jusqu’à la mer de Huiskutta et des contrées de la Zaraga au Sud-Ouest. Le territoire prospère sur des milliers de kilomètres, faisant de lui la plus vaste nation avec le Royaume Central. A cause de l’esclave, on retrouve plus rarement des vaahvas toujours fidèles à leur foi dans le Sud, ou sur l’archipel d’Eyjarfolk.

Le Culte des Sept mers fait référence aux Sept Déesses qui sont les reines spirituelles de tous les vaahvas. Elles sont respectées comme des Mères, car elles ont donné le droit de vivre à leurs enfants. En retour, si ces derniers désirent la sérénité, il est dans leur devoir de les aimer, les protéger, leur obéir et les craindre quand il est nécessaire.

L’histoire du culte s’étend sur un calendrier vaahva bien plus long, mais moins précis. Le culte des Sept est le résultat de plusieurs siècles d’organisation, de changements et de perturbations qui ont construit un peuple uni et pieux dans les adversités les plus conséquentes.


Mondevaahva.jpg


Vaahvatemple.jpg

Le Temple des Sept

Infrastructure

Le Temple des Sept n’est plus un monument depuis longtemps. Il représente l’ensemble des prêtres et prêtresses aux services des Sept, nommés “thralls”, ainsi que leurs serviteurs qui ont choisis de dédier leur vie à la piété. Il existe des sanctuaires, qui sont des temples hébergeant des confréries dont l’objectif est de former les futurs thralls à des doctrines qui diffèrent selon la mentalité du temple.

Ensuite, le long des routes ou dans les endroits les plus stratégiques de l’immense territoire vaahva, on trouve des temples mineurs qui accueillent un nombre plus restreint de thrall qui veillent à la santé religieuse de la région et des tribus. Les vaahvas les plus indécis viennent y quérir des conseils, rédemption ou châtiments, alors que d’autres proposent leur service pour soulager leur conscience ou prouver leur dévotion aux Sept.

Enfin, les pèlerins vaahvas peuvent s’arrêter à des points clefs de leurs terres. Que ce soit directement devant les mers si emblématiques, les arbres ou les rochers élevés au rang de monuments par les contes et les histoires qui les ont mis en valeur, ou encore les plaines qui ont été le théâtre les champs de bataille dans la reconquête du territoire… A chaque lieu, des serviteurs des Sept, encadrés par un ou plusieurs thralls, encadrent les voyageurs et veillent au respect du paysage et de ses traditions.

Religieux

Les prêtres et les prêtresses des Sept sont nommés les thralls dans le culte des Sept. Ils sont les interprètes de la parole des déesses et se doivent de faire de leur mieux pour que chaque fidèle soit le plus sérieux dans ses pratiques pieuses. Chaque tribu ; qu’elle soit citadine, campagnarde ou perdue dans une forêt ou une montagne ; possède son thrall qui se range en bras droit du chef local. En plus de soulager les maux d’esprits et les problèmes du commun des vaahvas, il assure les meilleurs conseils à la direction de la tribu afin qu’elle prospère dans l’amour des Sept.

Pour en savoir plus sur le Temple des Sept


Théologie et Doctrine


Fondamentaux

Tous les récits, mythes, légendes et textes sacrés qui forment l’immensité du savoir et de la culture vaahva sont rassemblés dans le Nemonöricon. Autrefois, il s’agissait de la bibliothèque de Kaary Öbor, un sanctuaire d’une confrérie de thrall en Evigt Kylma. Depuis, les histoires ont été copiées pour appartenir à tous les religieux, avant d’être récitées et apprises par les croyants au cours de leur éducation.

C40a4e6ba1f5108f794adb85140b85ce.jpg
Tableau représentant le Nemonöricon vaahva à Uuroggia

Les Lohikarmes

Au début du monde, il existait les Lohikarmes. Ce furent des créatures d’une taille indescriptible dont on ne saurait y voir ni la tête, ni les pieds en même temps. Les vaahvas vivent sur le Lohikarme nommé Maahvitt, leur terre. Ainsi, plutôt que de voir le monde comme des régions, des pays, les vaahvas voient cela comme des lohikarmes qui forment des îles au minimum, ou des continents entiers.

Le soleil (nommé Zon) ou la lune (nommée Lees) ainsi que leurs robes (le ciel d’étoile pour la lune et le ciel bleu pour Zon) sont aussi vus comme des Lohikarmes avec leur propre caractéristiques et pouvoirs. Depuis longtemps, ces titans sont morts et ne bougent plus, mais ils ont laissé leurs enfants : les dieux et les déesses.

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Les Déesses des Sept Mers

Les Sept filles de Maahvitt qui ont décidé de chérir le corps de leur père à sa mort, puis d’y amener la vie : celle des vaahvas. Par les pouvoirs de chacune, les enfants peuvent prospérer, grandir et vivre dans la foi de leurs Mères. Chaque divinité est associée à une mer bordant les côtes du territoire vaahva.

  • La Vitjässä : Déesse de la Lumière, du Jour et de la Foi.
  • La Kalafiskur : Déesse de l’Abondance, la Fertilité et la Fécondité.
  • La Sinine : Déesse de l’Amour, la Beauté et du Mariage.
  • La Huiskutta : Déesse de la Force, de la Vigueur et du Courage.
  • La Raakavann : Déesse de la Santé, de la Guérison et de la Médecine.
  • La Lugnaroa : Déesse du Calme, de la Sagesse et de la Justice
  • La Svartsjö : Déesse de la Mort, la Nuit et la Vengeance.

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Héros, mythes et légendes

L'Histoire vaahva est avant tout forgée sur les histoires et les mythes plutôt que le bien fondé de la réalité. L'objectif est d'enseigner des morales, des attitudes et des valeurs qui doivent inspirer chacun à se dépasser, à être pieux et au service de son peuple. Ainsi, au delà de l'enseignement des Sept Déesses, les thralls racontent mille histoires sur les héros et les dieux venant des autres Lohikarmes pour garnir les soirées d'une bonne ambiance, tout en cultivant les têtes des plus curieux.

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