HRP:Bac à sable2

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Le Culte des Sept Mers

Le Culte des Sept Mers est la religion endémique des Maahvitts, le vaste territoire continental du Nord de l’Ancien Monde, occupé par les tribus Vaahvas qui représentent l’intégralité des croyants de cette Foi.

Le Culte des Sept Mers - ou Culte des Déesses, Culte des Sept Mères - scinde l’humanité en deux : les Sudistes, rassemblant tous les non-vaahvas, peuple créé par leur dieu Arbitrio, et les Vaahvas, créés par les Sept Déesses, mères des Vaahvas.

Le Temple des Sept est réparti en plusieurs confréries aux courants de pensée plus ou moins rigoureux, plus ou moins tolérants, formant des Thralls, les chefs religieux, qui sont ensuite envoyés auprès des tribus qui arpentent les Maahvitts. C’est une religion ancienne, basée sur un rapport profond avec la nature sauvage qui l'entoure, la vie d’un animal valant autant que celle d’un humain et devant être traitée avec le même respect : des considérations qui prennent racine dans la Genèse Vaahva.

Convaincus d’être constamment soumis au bon-vouloir des Déesses, les Vaahvas cherchent activement à se connecter à leurs divinités au travers des thralls et de nombreuses pratiques rituelles, faisant des traditions du Culte des Sept parmi les plus variées : esprits, peintures, interprétation des signes, divination par les runes : les Vaahvas considèrent que les Sept Déesses s’expriment constamment au travers de l’environnement qui les entoure.

Il s’agit d’une religion repliée sur elle-même, qui ne cherche à convaincre aucun non-vaahva. Les étrangers ne sont pas considérés comme les enfants des Déesses et donc, doivent s’occuper de leurs croyances à eux. Au contact des étrangers, certains Vaahvas se convertissent : une tendance minoritaire que certaines confréries de Thralls pardonnent, mais que d’autres punissent aussi brutalement que cruellement.


Histoire

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Le culte vaahva s’étend au Nord de l’Ancien Monde, des eaux de la Raakavann tout à l’Est, jusqu’à la mer de Huiskutta et des contrées de la Zaraga au Sud-Ouest. Le territoire prospère sur des milliers de kilomètres, faisant de lui la plus vaste nation avec le Royaume Central. A cause de l’esclavage, on retrouve plus rarement des vaahvas toujours fidèles à leur foi dans le Sud, ou sur l’archipel d’Eyjarfolk.

Le Culte des Sept mers fait référence aux Sept Déesses qui sont les reines spirituelles de tous les vaahvas. Elles sont respectées comme des Mères, car elles ont donné le droit de vivre à leurs enfants. En retour, si ces derniers désirent la sérénité, il est dans leur devoir de les aimer, les protéger, leur obéir et les craindre quand il est nécessaire.

L’histoire du culte s’étend sur un calendrier vaahva bien plus long, mais moins précis. Le culte des Sept est le résultat de plusieurs siècles d’organisation, de changements et de perturbations qui ont construit un peuple uni et pieux dans les adversités les plus conséquentes.


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Le Temple des Sept

Infrastructure

Le Temple des Sept n’est plus un monument depuis longtemps. Il représente l’ensemble des prêtres et prêtresses aux services des Sept, nommés “thralls”, ainsi que leurs serviteurs qui ont choisis de dédier leur vie à la piété. Il existe des sanctuaires, qui sont des temples hébergeant des confréries dont l’objectif est de former les futurs thralls à des doctrines qui diffèrent selon la mentalité du temple.

Ensuite, le long des routes ou dans les endroits les plus stratégiques de l’immense territoire vaahva, on trouve des temples mineurs qui accueillent un nombre plus restreint de thrall qui veillent à la santé religieuse de la région et des tribus. Les vaahvas les plus indécis viennent y quérir des conseils, rédemption ou châtiments, alors que d’autres proposent leur service pour soulager leur conscience ou prouver leur dévotion aux Sept.

Enfin, les pèlerins vaahvas peuvent s’arrêter à des points clefs de leurs terres. Que ce soit directement devant les mers si emblématiques, les arbres ou les rochers élevés au rang de monuments par les contes et les histoires qui les ont mis en valeur, ou encore les plaines qui ont été le théâtre les champs de bataille dans la reconquête du territoire… A chaque lieu, des serviteurs des Sept, encadrés par un ou plusieurs thralls, encadrent les voyageurs et veillent au respect du paysage et de ses traditions.

Religieux

Les prêtres et les prêtresses des Sept sont nommés les thralls dans le culte des Sept. Ils sont les interprètes de la parole des déesses et se doivent de faire de leur mieux pour que chaque fidèle soit le plus sérieux dans ses pratiques pieuses. Chaque tribu ; qu’elle soit citadine, campagnarde ou perdue dans une forêt ou une montagne ; possède son thrall qui se range en bras droit du chef local. En plus de soulager les maux d’esprits et les problèmes du commun des vaahvas, il assure les meilleurs conseils à la direction de la tribu afin qu’elle prospère dans l’amour des Sept.

Pour en savoir plus sur le Temple des Sept


Théologie et Doctrine


Fondamentaux

Tous les récits, mythes, légendes et textes sacrés qui forment l’immensité du savoir et de la culture vaahva sont rassemblés dans le Nemonöricon. Autrefois, il s’agissait de la bibliothèque de Kaary Öbor, un sanctuaire d’une confrérie de thrall en Evigt Kylma. Depuis, les histoires ont été copiées pour appartenir à tous les religieux, avant d’être récitées et apprises par les croyants au cours de leur éducation.

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Tableau représentant le Nemonöricon vaahva à Uuroggia

Les Lohikarmes

Au début du monde, il existait les Lohikarmes. Ce furent des créatures d’une taille indescriptible dont on ne saurait y voir ni la tête, ni les pieds en même temps. Les vaahvas vivent sur le Lohikarme nommé Maahvitt, leur terre. Ainsi, plutôt que de voir le monde comme des régions, des pays, les vaahvas voient cela comme des lohikarmes qui forment des îles au minimum, ou des continents entiers.

Le soleil (nommé Zon) ou la lune (nommée Lees) ainsi que leurs robes (le ciel d’étoiles pour la lune et le ciel bleu pour Zon) sont aussi vus comme des Lohikarmes avec leur propre caractéristiques et pouvoirs. Depuis longtemps, ces titans sont morts et ne bougent plus, mais ils ont laissé leurs enfants : les dieux et les déesses.

En savoir plus sur la Genèse du monde vaahva…

Les Déesses des Sept Mers

Les Sept filles de Maahvitt qui ont décidé de chérir le corps de leur père à sa mort, puis d’y amener la vie : celle des vaahvas. Par les pouvoirs de chacune, les enfants peuvent prospérer, grandir et vivre dans la foi de leurs Mères. Chaque divinité est associée à une mer bordant les côtes du territoire vaahva.

  • La Vitjässä : Déesse de la Lumière, du Jour et de la Foi.
  • La Kalafiskur : Déesse de l’Abondance, la Fertilité et la Fécondité.
  • La Sinine : Déesse de l’Amour, la Beauté et du Mariage.
  • La Huiskutta : Déesse de la Force, de la Vigueur et du Courage.
  • La Raakavann : Déesse de la Santé, de la Guérison et de la Médecine.
  • La Lugnaroa : Déesse du Calme, de la Sagesse et de la Justice
  • La Svartsjö : Déesse de la Mort, la Nuit et la Vengeance.

En savoir plus sur les Déesses des Sept Mers

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Héros, mythes et légendes

L'Histoire vaahva est avant tout forgée sur les légendes et les mythes plutôt que le bien fondé de la réalité. L'objectif est d'enseigner des morales, des attitudes et des valeurs qui doivent inspirer chacun à se dépasser, à être pieux et au service de son peuple. Ainsi, au delà de l'enseignement des Sept Déesses, les thralls racontent mille histoires sur les héros et les dieux venant des autres Lohikarmes pour garnir les soirées d'une bonne ambiance, tout en cultivant les têtes des plus curieux.

En savoir plus sur les mythes et légendes de la culture vaahva...


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Représentation par Cuded Art & Design

Doctrines spécifiques

L'Oykor

[L’Oykor] peut être traduit par “honneur” dans les langages du Sud. Tout vaahva se doit de conserver son honneur en ne manquant jamais à ses paroles. De plus, les attaques fourbes, lâches ou dans le dos sont dénoncées et condamnées par les thralls. Un vaahva qui se montre déshonorable peut être mis à l’écart de sa tribu, ou doit être dans l’obligation de se racheter s’il désire pouvoir être respecté à nouveau.

Doctrines thralliques

Selon les milieux de vie, les thralls ne pensent pas la même chose des sujets de société et cela amènent des débats houleux. De ce fait, un vaahva suivra forcément la façon de penser de son thrall, puisqu’une grande partie de son éducation sera assurée par le religieux. Lorsque des nordiens de tout bord se rencontrent, cela peut à nouveau provoquer des problèmes de points de vue, voire même des guerres entre tribus, notamment au niveau des frontières.

En savoir plus sur les [courants de pensées]...

La conversion

S’il est impossible pour un arbitré de devenir vaahva, l’inverse existe. Néanmoins, la conversion d’un vaahva pour devenir arbitré est considéré comme une honte et un déshonneur dans toutes les régions de Maahvitt. Le traître choisit de répudier ses Mères, mais les thralls interprètent que l’acte néfaste finira par retomber sur le fautif à sa mort, puisqu’il finira tout de même juger par ses Mères et notamment Svartsjö.