Utilisateur:Ombeline
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Origines
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Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
FantasystRage
Pseudo
Fantasyst
Discord
KyraKitty#8535
Âge IRL
27 ans
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Apothicaire |
Cuisine |
Éthyliste |
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Herpétologie | ||||
 [Parfumeuse] |
 [Tavernière] |
.png) [Tavernière] |
 [Serpents et poisons] | |||||
Ombeline est une femme d’âge mûr, au teint doré par le soleil du sud et parfumé des fleurs de sa demeure d’enfance. Des cheveux aux reflets corbeaux coulent sur son dos en rideau nacré et deviennent tempête d’encre sous sa démarche. Entremêlés, bien que raides à l’origine, ils se battaillent constamment en masse hirsute, rarement peignés.
Sur son visage anguleux se creusent des cernes et d’anciens creux, portés sans doute par des coups. Ces derniers se dispersent sur ses côtes, sur ses membres et plus particulièrement sur ses poignets. Des traces qui semblent indélébiles, rongés par des chaînes, masqués aujourd’hui par des parures colorées.
Mais au-delà des marques d’un ancien temps, sur sa peau hâlée a fleurit un tatouage, symbole de liberté et de force : une couleuvre s'enroulant autour du soleil et de la lune. Le présentant fièrement sur ses bras nus, il lui rappellent les côtes salées de Vellabria et ses marins couverts de tatouages ainsi que les serpents dansant dans les herbes jaunes des collines.
Seules les couleurs chaudes couvrent d’ailleurs la carrogiane, amoureuse de ce qui chatoie, brille et réchauffe les regards. Les parures l’accompagnent comme la cospargia, ainsi que divers accessoires, mêlant bracelets de serpent, de tresses ou boucles d’oreilles en argent. Grande enfin, Ombeline avoisine le mètre soixante dix, concurrencent la plupart des femmes et profitant de cette particularité pour porter de longues robes qui se propage jusqu’à ses chevilles dans des drapés légers.
Lors de sa dernière excursion, loin de du foyer et de sa famille, Ombeline aura attaché une encre à son collier, symbolisant son voyage vers l’île d’Esperia, et ne laissant à ses proches comme ombre de son départ, une plaquette avec son nom à l’autel familial, selon les rites du déracinement.
Le regard toujours porté vers l’horizon, rien ne semble pouvoir faire baisser la tête de cette citoyenne libre, qui de tout temps s’est relevée contre l’adversité. L'œil aiguisé, il semble toujours y regorger une tempête, qu’elle maîtrise bien plus efficacement que dans son adolescence.
Les gestes appuyés et précis, les mots triés sur le volet et la posture droite sont des armes qu’elle a appris à aiguiser avec l’âge et les expériences. Il n’est plus question de plier l’échine face à la malchance et si l’abandon survint, il n’est souvent que façade d’une prochaine attaque plus féroce encore. Alors gare au serpent qui agite tendrement sa sonnette pour vous bercer car la morsure n’est jamais bien loin. Il suffit juste de baisser sa garde un instant...
Ombeline n’a malheureusement pas appris à abandonner dans sa courte vie, têtue comme une mule. Les échecs se succedents, n’ont rendu cette femme que plus hargneuse encore de vaincre.
Mélange du meilleur de l’huratelon et de carrogia pour une travailleuse, la métisse connaît la valeur de l’effort et la férocité pour arriver à ses fins.
Néanmoins, si vos pas traversent la tempête sans encombre, c’est le cœur d’une mère qui couve en son sein. Le foyer d’une ancienne esclave à qui tout a été dérobé. La chaleur d’une femme qui connait la valeur de la vie et du mérite.
∴ La demoiselle possède un accent indéfinissable. Le commun n'est définitivement pas sa langue natale mais son dialecte ne semble appartenir ni au sud ni au nord... Impossible donc de savoir dans quelle langue coulent ses pensées les plus profondes.
∴ Ombeline voit sa peau colorée d'un bronzage de miel. Ses cheveux en revanche, ne pourraient pas être plus sombres que l'encre elle-même, si bien qu'en temps de pluie, ils se transforment en un voile opaque, tel un châle de jais, coulant sur ses épaules, son buste et le creux de son dos.∴ Un serpent géant sommeille sur son bras droit, coloré de tilleul et d’or, en train de dévorer les phases de la lune. Quel que soit sa signification, il est de loin la chose la plus remarquable sur le corps d ela métisse.
∴ ( Dessins réalisés par mes soins ) ∴
Intérêts et goûts
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Animaux : L'animal fétiche d'Ombeline est sans hésitation le serpent : plus précisément la couleuvre et la vipère. Sans trop l'expliquer, les écailles brillantes, les yeux reptiliens et les crocs aiguisés et mortels de cette créature fascinent la jeune femme. Elle pourrait rester des heures à observer ces animaux mystérieux dans leur vivarium, les chérissant.
Habitudes : Ombeline semble fumer depuis assez longtemps maintenant, s'y connaissant bien en matière de tabac. Elle possède également la drôle d'habitude d'utiliser un calumet, souvent en os et en bois par défaut. En alcool, la demoiselle ne semble aimer que l'Hydromel et le thé noir. Les liqueurs ne sont pas, et de loin, ses mets favoris.
( Fan Art réalisé par Ashera )
Possessions
Relations
La dame et ses serpents
(HRP : Mises à jour le 30/04/23)
La Lame. Nous avons tous deux personnalités. Celle que nous accordons aux proches quand nous sommes seuls, et celle qui se forme autour des autres. Aucune n'est vraiment fausse... et pourtant, la seconde offre bien plus de masques. Que s'est il donc passé pour que tout s'écroule ainsi ? Une traque, des paroles, de la prison, quelques paroles en l'air. Juste assez pour attiser une flamme qui éclaire l'avenir... pas assez pour l'entretenir. J'ai côtoyé un homme si différent de cette silhouette double qui m'esquive et s'enfuit comme une bête désormais. Peut être ai-je encore une fois mal jugé. Peut être ai-je eu tort. Pourtant, ces échanges m'avaient semblé sincères. Tout ce qu'il reste maintenant, c'est cette épée de bois et ce gambison, au fond de ma maison, qui prennent la poussière. Et avec eux, des souvenirs indécis.
Farideh : La chouette libérée, se souviendra de chaque barreau de sa cage soudé.
Daniele : Tu t'élèves dans le ciel sans nuages vers ce soleil éblouissant. Je me demande ce qu'il y a là bas, si haut, de si envoutant.
Silana : La générosité comme atout... consume toujours les plus honnêtes d’entre nous.
Jasper : Un peu de tranquillité dans cette bourgade bruyante. Chassons le passé qui nous hante.
Velkan : Chemin de la rédemption, jonché de promesses. Le bleuet n'est-il pas la fleur de la délicatesse ?
Anokhi : Les plumes chatoyantes et colorées, tu illumines mes journées.
Vallis : Cette statue sévère, jamais, ne laisse voir de tendresse sur son masque. Pourquoi ce besoin de ne pas dévoiler sa bonté, pourtant si vaste ?
Les Morts et Disparus…
Le Foyer. Quand le monde brûle à l’extérieur, que les épreuves sont grandes et que tout fou le camp... je sais que je peux enfin rentrer à la maison. Et malgré les différences et les non-dits, quelque chose se tisse, lentement... dans ce lieu de livres, de calme et de mouvements.
Les miens me manquent et ce vide ne sera jamais remplis, mais tu arriveras peut être à le combler... un peu.
Le Frère. J'ai encore cette pierre chez moi, une pierre maculée de sang. Elle se soustrait au fardeau qui m’encombre : celui de la honte, des insultes et des regards craintifs.
Tu as été l'un des rares à réagir contre l'injustice, toi le « légionnaire parjure ». A croire que si on les écoutait tous, ceux dehors, il faudrait se contenter de tourner notre langue dans notre bouche, baisser les yeux et attendre... j'aurais aimé avoir un frère comme toi. Non. J'aime à avoir un frère comme toi.
Les Cendres. Certaines personnes laissent des traces. Les tiennes sont des marques de sang, de pleurs, de pertes et d'oublis... Et cela contraste tant avec ton être. Nous nous réunirons sans doute devant cet amas de pierre où tout est né et mort en une nuit, nous continuerons sans doute à parler devant le feu de nos vie tumultueuses, à compter nos blessures... mais tout s'est terminé il y a longtemps et tu le sais. Continuons maintenant, Arbitrio attend bien plus de nous.
La Flamme.
A peine la trinité des saisons passée, la mort refait sont apparition. Fugace et âpre, elle emporte dans son courant invincible une nouvelle âme.
Qui suis-je pour empêcher cette tempête de nuire ? A croire que je ne suis bonne qu'à vous regarder périr, vous les guerriers, les marins, les comploteurs... J'aurais encore en tête cet échange furibond, ponctué de promesses, de mises en garde et de pardons, dans la froideur de ma nouvelle maison. J'ai juré Efkan, de ne pas me gausser de toi si tu revenais blessé. Je l'ai juré. Mais finalement... tu n'es pas rentré du tout.
Textes libres
~ Mai 517 ~
Enchaînée par les fers de l'injustice, la panthère attend son heure,
Le goût du blâme dans la bouche et la colère dans le regard.
Seul son sourire se dévoile, préjudice de sa fureur,
Le passant la nourrit comme une bête, d'un geste furibard.
Mais quand la panthère sortira de sa prison,
Sa mémoire ne se sera pas émoussée.
Elle saura alors remercier ceux qui ont tendu la main de la raison,
Et accueillir ceux qui l'ont opprimés.
~ Juin 517 ~
Comme le temps s'échappe d'un pas précipité,
La nivose s'installe alors que mes pensées,
Restent figées en thermidor.
Cette sensation d'avoir à jamais enfermé,
Toutes les chances de ce nouveau né,
Dans une alliance, un combat, une douleur.
Jamais ses pas, ne fouleront les sentiers de ma déroute.
Toujours mes jambes se figent sur la route,
De cette nuit de thermidor.
Mon masque pourtant fond goutte à goutte,
Et mes sourires fugace doucement se voûtent,
Dans une imitation, une comédie, un effort.
J'ai senti pourtant tes gestes durant ce doux séjour,
Tu m'as accompagné, accusant le compte à rebours,
De ce dernier thermidor.
Tu as finalement accusé mon infortune de toujours,
A croire que tu n'aurais jamais pu voir le jour...
Laissant sur ton sillage, sang, coups et mort.
Une douce brise pour dompter la chaleur du thermidor. Des rameaux et une prairie sauvage comme panorama... et un bon coup de fouet pour réveiller la sang qui boue sous ma peau. Une discorde à coup d'épée en bois, une chamaille à coup de poings... mieux que des mots.
Ça cogne, ça se jette au sol, et entre deux conseils, les esprits s’échauffent et les préoccupations foutent le camp. C'est ça dont j'ai besoin. Un peu de violence, une pointe de savoir, un regard bienveillant... c'est comme ça qu'on se sent vivant.
ANCIENS PERSONNAGES :
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Images :
- Photographie : Zhenya Katava | Mannequin biélorusse
- Dessins réalisés par mes soins
- Inconnu
- https://shade-shypervert.tumblr.com/
- https://etapes.com/maintenant-festival-vu-par-katie-scott/
