Utilisateur:Yenova : Différence entre versions

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Version du 28 décembre 2014 à 19:17



     Yenova
Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
YenoTheDwarf
Prénom IRL
Hugo













Fichier:Yenotop.png


"Tu vois ce vide au-dessus de nos têtes ? C'est Arbitrio...Le silence, c'est Arbitrio, l'absence c'est Arbitrio. Arbitrio, c'est la solitude des hommes."

Yenova Viltis

Thème

Caractéristiques

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Prénom :Yenova

Nom : Viltis

Age : 22 ans

Metier : Forgeron

Poids/Taille : 70kilos/1m86

Religion : Phalangiste

Langues Parlées : Hura

Region d'origine : Grande Huratelon

Forge2.jpeg


Description

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Yenova est âgé de 22 ans, a des cheveux bruns et des yeux marrons clairs. Il sait lire et écrire. Il pèse 70 kilos pour 1m86. Il est moyennement musclé,

Yenova est un issu d'une descendance de forgeron et fait partie de la Grande Huratelon. Ayant peu d'amis, il est de nature solitaire et tiens particulièrement à son entourage. Il aime être seul et passe la plupart de son temps à penser à l'avenir. Son activité principale est d'aller à la bibliothèque, pour se divertir et passer le temps. Il n'est pas très courageux, il lui arrive souvent de fuir lors de bagarres, ce qui lui vaut une assez mauvaise réputation dans les alentours. Il respecte énormément sa famille, qui lui a tout appris. Yenova aime beaucoup aider son père en travaillant le fer avec lui. Sa mère ayant été victime d'un accident mortel étant jeune, il connais la douleur mieux que quiconque.

Yenova pratique le Phalangisme, sait lire et écrire. Son père étant forgeron, il en fit son métier et adore forger.


Aptitudes

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Alphabétisation : Acquise en allant régulièrement à la bibliothèque de Huratelon. Yenova aime beaucoup lire, c'est pour lui un passe temps très divertissant. Il sait également écrire, mais ce n'est pas ce qu'il préfère le plus.


Calcul : Acquise grâce à son père qui lui apprenait à compter les pièces d'or.


Qualités

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Social - Amical - Travailleur - Souriant - Présent quand quelque chose ne va pas

Défauts

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Timide - Provocateur - Pense tout haut - Rancunier - Curieux

Cicatrices

Yenova possède une vieille brûlure, du côté droit de la poitrine. La blessure représentant une émeraude, assez reconnaissable, qui a été marqué au fer rouge. Cette blessure symbolise beaucoup de choses pour Yenova. Celui-ci préfère la cacher derrière ses hauts et ne la montre que très rarement.

Façon de penser

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Yenova aime la liberté, il aime avoir le choix et aime penser tout haut comme tout bas. L'exploitation est une des choses qu'il hait le plus, et il le fait souvent savoir. Sa façon de penser à voix haute lui a valu des blessures et des coups. Yenova sait que sa pensée est la bonne, il sait également qu'elle n'est pas partagée par tous. Cette façon de penser, c'est sa mère qui lui a enseignée. Yenova l'ayant perdu dans ses jeunes années, il veut garder la vision du monde de sa mère, et personne ne pourra lui faire changer d'avis.

Possessions

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Grille Laine Marron.png : T-Shirt Marron : Sale, troué, Yenova l'a depuis qu'il est arrivé à Esperia et ne l'a jamais changé.

Grille Laine Gris Clair.png : Pantalon Gris Clair : Sale, usé et percé de toutes part, Yenova l'a depuis qu'il est arrivé et ne l'a jamais changé.

Grille Cuir.png Chaussure en cuir : Sales, usées et trouées, Yenova les a depuis qu'il est arrivé et ne les a jamais changés.

Grille Cuir.png Tablier et gants de Forgeron : Yenova possède cette tenue de Forgeron pour ne pas se brûler lors de son travail.

Connaissances

Positives

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Akiro Blanche-Lame : "Tu es un ami, et je te suis reconnaissant pour ce que tu as fais pour moi jusqu'à aujourd'hui. J'aurais aimé te connaître un peu mieux."


Malbjorn : Maître de Yenova, Il s'est porté volontaire pour le garder au sein de sa famille.


Sybelle Phareste : Sybelle est une des personnes que Yenova aime le plus. Il aime son côté positif et drôle. Il aime également lui faire partager ses pensées et ses idées.

"C'est en s'attachant à quelqu'un que l'on finira un jour par perdre la foi et l'envie de vivre."


Gharlok : Il est l'employeur de Yenova. Celui-ci l'a accueillit dans sa forge ou il y travaille tous les jours. Yenova lui est reconnaissant de tous ce qu'il a fait pour lui.


Elyo : Personne avec qui Yenova aime parler, Elyo est une connaissance agréable et sympathique.


Zelkiar Halmenor : C'est une personne discrète, avec qui Yenova a plusieurs fois sympathisé. C'est en sa compagnie que Yenova a découvert les profondeurs des mines.


Natalya : Rivaux au début, Yenova a sympathisé avec elle et essaie de maintenir le contact avec elle.

"Je ne vous laisserai pas tomber, je vous le promet."


Seth Nessgui : "Heureux de voir qu'il n'est pas aussi stupide que son frère !"


Wyrfa : Arrivé le même jour que Yenova, Wyrfa est un bon ami et Yenova l'apprécie beaucoup. Il éprouve une certaine empathie pour lui qui est resté longtemps esclave.


Eija : Jeune femme, elle est sympathique, elle symbolise beaucoup de choses pour Yenova. Elle semble penser comme lui, c'est une chose qui compte beaucoup dans l'esprit de celui-ci.

Négatives

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Caterina : Garde cruelle et sans pitié, Yenova a déjà eu à faire à elle. Il n'oubli pas ce genre de personne.


Olrick : "Tu l'a insultée, tu mourra pour ce que tu m'as fait subir !".


Rorgue : Complice de Olrick, Yenova le déteste au plus haut point.


Edouard : "Toi, tu as de la chance, c'est tout ce qu'il te reste ! Misérable !"


Aaron : "trop de rumeurs négatives à ton sujet.. Je suis malheureusement d'accord avec elles"


Histoire

Vie Quotidienne

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Je m'appelle Yenova, nom étrange qui m'a été donné par mon père et qui m'a valu des moqueries de la part d'enfants ayant perdu la notion de respect. Je suis né dans la ville d'Huratelon. J'ai grandi dans la forge de mon père.

J'ai malheureusement hérité d'une famille assez Pauvre. Je suis forgeron de profession, mon père m'ayant appris ce métier. Ce qui me passionne dans le fait de forger, c'est que je me sens utile pour certains, le fait de me dire que je ne suis pas un misérable qui a perdu tous les bonheurs de la vie. Ma vie, d'ailleurs, parlons-en ! Je suis âgé de 22 ans, je n'ai que peu d'amis qui ne m'aiment probablement pas exactement comme je le pense et qui d'ailleurs me charrient à chaque fois qu'ils en ont l'occasion. J'ai un énorme respect envers mon père qui m'a tout appris, comme lire, écrire, .. et qui m'a éduqué comme il se doit. Ma famille pratique le Phalangisme et prend cette religion très au sérieux, mon père ayant été un Falangraf et ayant fait parti de l'Ordre Phalangiste dans sa jeunesse. Je vais souvent à la bibliothèque, j'adore lire, quel que soit le livre, c'est pour moi une passion dévorante. J'aime être seul, les gens à Huratelon me répugnent, je ne généralise pas, mais une grande partie m’insupporte. J'ai perdu ma mère il y a de cela 10 ans, elle fut victime d'un éboulement lors d'un voyage en montagne, personne ne l'a retrouvée. Parfois, je me dis qu'elle est encore là, et que je le reverrai un jour. C'est ma raison de vivre.

Yeno2.jpg

Théon

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Thème de l'histoire


Je me baladais un jour de fête dans le marché de Huratelon accompagné de mon seul vrai ami, Théon. Je trouve que le marché est un passe-temps très sympathique, outre le fait qu'il y ai beaucoup trop de monde. Théon était un ami respectable. Affectueux, généreux, sympathique, il avait tout de l'ami parfait. Nous nous ressemblions comme 2 gouttes d'eaux, la magie du hasard ! Pourquoi je parles de lui au passé ? Hé bien c'est une longue histoire. C'était en fin de journée. Le marché était bondé. C'était à peine si on pouvait faire un pas dans la foulée. Théon et moi étions serrés, de peur de se perdre dans la foule. C'était presque un jeu pour nous ! Nous nous amusions à nous cacher derrière les gens et nous jouions à cache-cache - Ce qui avait plus tendance à énerver les habitants qu'autre chose -. Théon et moi étions tous deux issus de familles pauvres. Nous connaissions donc la misère. Son père étant soldat, il avait eu recours à mon père pour se faire forger une épée. C'est comme ça que j'ai connu Théon. C'était celui à qui je disais tout et vice versa. Mais reprenons là où j'en étais resté : La nuit commençait à tomber sur la ville, les feux des lampadaires étaient les seuls éclairages que nous avions et la température baissait à vue d’œil. C'était à mon tour de trouver Théon parmi la foule. je le cherchais partout, sans le trouver. Soudain, un cri de femme m'alarma. S’ensuivit alors d'autre cris d'épouvante, tous venant de la même direction. On entendait des "Mon dieu ! Il est mort !" ou encore des "Qu'est-ce qu'il lui est arrivé ?". Curieux, je m'avançais - que dis-je - j'essayais d'avancer parmi cette foule immense qui se rassemblait à l'endroit d'ou venait les cris. Je fus soudainement poussé, peut-être par un brute, en plein dans le tas. Je me relevais, abasourdi, insultant de tous les noms celui qui m'avait brutalement poussé. C'est alors que je découvris que j'étais au cœur de la foule, l'endroit qui attirait l'attention de tout le monde. Je découvris avec horreur un cadavre étendu par terre, tué de plusieurs coups de couteaux portés au cœur. Je reconnaissait, horrifié, le corps de Théon. On l'avait assassiné. Je commençais à avoir des larmes qui coulaient sur mes joues, je venais de perdre mon seul ami. Tout se passait beaucoup trop vite pour moi. D'abord les pleurs, la rage, puis vint la nausée. Je vomi de dégoût. Je m'écroula par terre, les yeux remplis d'effrois.

Je me réveilla dans mon lit il faisait encore nuit. Mon père et un homme que je ne connaissais pas étaient à mon chevet. J'avais une migraine horrible et la tête qui tournait. Mon père me présenta le mystérieux homme. Je ne comprenais pas bien ce qu'il disait, ma tête tournait de trop. C'était apparemment l'homme qui m'avait ramené chez moi alors que j'étais évanoui. C'était un ami de mon père. Tous deux me parlèrent pour s'assurer que j'aille bien. J'avais un trou de mémoire. Que s'était-il passé ? Ma mémoire réapparu soudainement. Le corps de Théon gisant par terre recouvrit toutes mes pensées. Je vomi une seconde fois. Mon père pris soin de moi, me rassura, me dit que tout était terminé, que ce que j'avais vu n'était qu'un rêve. Je lui demandais donc ou était Théon. Il ne pouvait alors plus me cacher la verité. Je pleurais, en tapant contre le mur, couvrant d'injures le tueur de mon défunt ami. On me laissa seul dans ma chambre pendant plusieurs heures. Ayant retrouvé mes esprits, mon père et l'homme qui m'avais sauvé revinrent et m'apprirent que le tueur a été reconnu et vu dans une certaine partie de la ville, mais n'avais pas été capturé.

N'écoutant que mon cœur, je me levais soudainement de mon lit et courrait hors de chez moi pour venger mon ami. Je fonçais droit dans un gouffre.
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L'enlèvement

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Mon père a essayé de me retenir en vain. Je courrais donc vers la partie de la ville ou il avait été aperçu le clair de lune éclairait la ville. On pouvait voir des soldats patrouillant dans les rues, cherchant désespérément le tueur de Théon. Au fond, je ne savais pas ce que je faisais, voir même pas du tout. Les larmes continuaient de couler sur mes joues. Ce scénario me rappelait ma mère. Le jour ou j'ai appris sa mort, je me suis effondré. Ce jour-ci, je n'apprends pas une mort : Je la découvre. Le fait de voir son meilleur ami mort sous ses yeux était la pire chose que je n'avais jamais vécue.

Je m'en allais vers les quartiers sombres, là ou les soldats n'allaient pas. J'apercevais le marché au loin, il était maintenant vide. Je me retrouvais bientôt seul, dans les rues les plus dangereuses de Huratelon. Soudain, j'entendis des hurlement des soldats tels que "Arrêtez-vous !" ou bien "Attrapez-le !". Finalement, les soldats l'avaient trouvé avant moi. Je savais que c'était le tueur. C'était juste une question d'intuition et de logique. Le tueur arrivait vers moi. N'étant pas très courageux, je fus rapidement pris de peur. Mon corps commença à trembler et je ne pouvais plus bouger. Je ne savais plus quoi faire Le tueur se trouva soudainement devant-moi. Il me pris par le dos, un couteau près de ma gorge. Il demanda aux soldats de s'arrêter, sans quoi il me tuerais sans aucune pitié. Je fus terrorisé. J'avais d'un côté mon esprit qui me disait de venger Théon, et d'un autre mon corps refusant de bouger. Avant même que je puisse prendre une décision, le tueur me porta et s'enfuya avec moi sur le dos. Et tout cela sans que les soldats ne réagissent. Il m'enlevait de la façon la plus humiliante du monde, sans que personne ne puisse me venir en aide. Je me dis que tout était fini. J'allais mourir à 22 ans, la vie me crachant à la figure. J'allais être poignardé puis mourir lentement. Ma triste vie commença à me passer devant les yeux. Je repensais à mon père, ma mère, à Théon. Le tueur tarda à me tuer. Il sortait de la ville. Les soldats ne nous suivaient plus, de toute manière, ils ne nous avaient jamais suivis. J'avais perdu tout espoir de survie et de bonheur à présent. Je criais pour que l'on vienne à mon aide. Le tueur, en ayant marre de mes gémissements, me donna un violent coup sur la tête. Je fus assommé. Je me réveilla, ligoté, sur un bateau. Des hommes m'entouraient, parlant de moi d'une façon vulgaire comme si je n'était pas à coté d'eux. Nous étions dans la Tiefersee, je connaissais cette mer comme ma poche, ayant fais quelques voyages avec ma mère autrefois. Je criais, horrifié, me demandant ou est-ce que j'étais. On me donna un coup de pied dans les côtes, ce qui me fis taire.

J'aperçu l'assassin de Théon parlant à l'oreille d'un inconnu, puis il repartit aussitôt. Le bateau commençait alors à partir en direction de la mer. Ou ? Je ne savais pas. On parlait d'un certain "Esperia". Perdu, je ne savais qu'une chose : Mon bonheur allait disparaître à tout jamais.


"Les blessures peuvent parfois cicatriser, mais elles souillent à jamais les âmes de ceux qui les subissent", Yenova.

Le Bateau

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Je me réveille dans une cale, j'ai du mal à respirer. J'ai mal aux côtes, c'est insupportable..

J'étais avec un homme, plus jeune que moi. Son nom est Akiro, la 20aine. Il est forgeron, comme moi. On parlait, beaucoup, et on se taisait quand on nous le demandais. Je me sentais mal, mais il était là pour m'accompagner. Il devait surement avoir un lourd passé, lui aussi. On venait régulièrement nous demander de nous taire, et on nous donnais des coups de pieds si on ne le faisait pas.

Qu'on soit clair, je n'aimais pas ça. La soumission était l'unes des choses pour lesquelles j'étais prêt à mourir. Mais il fallait se taire, maman aurait été d'accord avec moi. Et ça se répétait, le même scénario pendant plusieurs heures, l'ennui qui faisait ravage dans la cale. Soudain, on criait que le bateau allait chavirer, ou qu'il allait couler.. Il ne manquait plus que ça..

On s'était arrêté, le bateau n'avançait plus. Akiro et moi ne savions rien de ce qui se passait, on était dans un endroit isolé, et ou il faisait horriblement froid. Mes chaines tintaient lorsque je frissonnais, et je n'avais sur moi qu'un vieux T-shirt et un vieux pantalon, tous deux déchirés. Le Thermidor peut apporter la chaleur le jour, mais la nuit, il peut devenir aussi froid que la Nivôse. Le bateau redémarra après plusieurs heures, on était toujours aussi seuls, et on ne savait toujours pas ou on allait. Je ne me rappelle que du froid, et des coups des esclavagistes, de plus en plus forts. D'après les conversations des marins, on allait arriver plus tard que prévu. Ca voulait dire qu'on était attendu quelque part, et que Akiro et moi n'étions pas les seuls esclaves qui allaient être exploités.

On allait droit sur une île, Fort Lointain, Cette histoire commençait à m'insupporter..