La révolte du Canatan

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La révolte du Canatan

La mauvaise surprise

En novembre 519, alors que la guerre fait rage dans le Sud, Adagan envoie un courrier aux autorités royales pour faire savoir qu’il est bel et bien en vie dans le Canatan et qu’il compte “danser sur la tombe de Fauxvelles”. Apprenant la nouvelle, le roi est fou de colère et ordonne au gouverneur de l’Aon de s’occuper de la capture du revenant. Une déclaration de guerre est faite, entre le gouverneur de l’Aon, Yvelyne Ohjajani, et l’haadaed du Canatan. En janvier 520, les troupes du gouverneur marchent vers Breithe, mais Adagan, ayant prévu le coup, lance un assaut surprise sur l’armée en route, avec la sienne. Le résultat du combat est sans appel, donnant le nom du Massacre de la route Oltar, amenant les forces du gouverneur à l’anéantissement et leur chef à la mort.

En contre-attaque, Adagan et ses alliés lancent l’assaut sur Larrelier avec la volonté d’honorer sa parole. Il demande la remise en liberté de Rose Hedin, promettant en échange de retirer ses troupes. Les soldats acceptent et libèrent la rebelle, au grand soulagement d’Adagan qui pensait bien avoir davantage de perte à attaquer la cité, plutôt qu’à rester sur la défensive. Une fois Hedin récupérée, les rebelles repartent pour Breithe et s’y barricadent. Le retour et la libération de la Dame du Sud ramène un grand nombre de partisans, des exilés, des réfugiés et des membres proches des Hedin.

La fureur du roi

En avril 520, le conseil du roi prévient Fauxvelles de la catastrophe des finances que la guerre provoque, même si la campagne de Mesigios est un grand succès. De Thybauld de Fauxvelles n’a pas le temps de festoyer que sa réputation est mise à mal dans le Canatan. Ainsi et contre l’avis de ses conseillers, il décide de faire monter ses troupes, avec la volonté de prendre Breithe.

Dès le mois de mai, la Légion d’Or se met en place pour assiéger la ville, mais le roi fait face à une terrible défense, mettant à mal l’organisation capitaline. Le 18 mai 520, une attaque surprise s’amorce contre les assiégeants, avec l’assaut des forces d’Rose Hedin à l’Est et celle d’Enrick Galbon de Dione à l’Ouest, encerclant l’adversaire. La Légion d’Or est brutalement frappée et se replie, en perdant les trois quart de ses troupes. La défaite provoque un repli à Pontanelle, alors que deux armées de renfort comptent prendre le relais contre Breithe.

L’échec saignant

La nouvelle de l’humiliation de la Légion d’Or arrive à la Capitale et provoque l’émeute populaire. Celle-ci est bien vite réprimée sous les ordres du roi, qui cherche à cacher le tout, à mentir et distraire le peuple. Après plusieurs entretiens avec Frédéric de Lalay, le roi réfléchit à se convertir au phalangisme afin de pouvoir être couronné et ainsi, récupérer de la légitimité face aux rebelles et à l’instabilité du peuple. Cependant, en août 520, les défenses de Breithe cède et la ville est prise en septembre de la même année, entraînant un repli d’Cédric Adagan, d’Rose Hedin et de Enrick Galbon, mais coûtant la vie à l’haadaed Lysje Cadfan.