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== Ceux qu'il aime moins ==
 
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Tous mort...
{{Avatar Page|page=Utilisateur:Elyrïa|taille=24|vueParDefaut=avatar}}{{Nom Personnage|page=Utilisateur:Elyrïa}} Sayanel n'a juste pas DU TOUT apprécié la gifle qu'elle lui a donné, sans vrai raison apparente, en étant particulièrement sadique qui plus est.
 
  
 
== Mort/disparu ==
 
== Mort/disparu ==

Version du 18 juillet 2013 à 16:23


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Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de



Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
idefix11091997














Description

Sayanel est un jeune homme de 21 ans. Il est grand (1,82 mètre), fin, avec une musculature moyenne, ni très faible, ni très forte.Il ne connait pas exactement son poids mais, vu sa morphologie, il doit peser dans les 65 kilo. Il a 2 yeux marrons pailletés de orange foncé, et des cheveux châtain foncé. Il dégage une aura d'assurance, qu'il garde la plupart du temps. Depuis sa capture, il a une légère cicatrice au dessus de l'oeil gauche.

Compétence

  • Sait lire et écrire, et sait relativement bien compter, il tient cela de sa mère, qui travaillait comme trésorière dans une petite auberge
  • Il a un sens certain du gout : Depuis tout petit, il affectionne toutes les saveurs, épicés et sucrées, et maîtrise aujourd'hui l'art du dosage, et de la reconnaissance des produits. Il a une certaine préférence pour le salé, mais aime beaucoup le mélange de saveur.
  • Une créativité qui ne le lâche jamais, son père inventait lui-même ses recettes de thé et d’infusion. Sa première création est une recette de poisson avec les herbes de son père. Ce cabillaud au thé et au fenouil ravit les clients de l’auberge dans laquelle il travaillait.
  • Il a de solide connaissance de la flore, qu'il tient de son père, qui était horticulteur.
  • Il est aussi endurant, ayant souvent dut courir pour faire les courses de son chef cuisinier.
  • Il sait faire preuve d’une grande agilité, acquise durant son enfance à jouer dans les rue d’Indubal


Talent

  • Sayanel ayant vécu à Indubal, il à très rapidement appris à nager, se qui fait de lui un bon nageur.
  • Ayant souvent suivis son père à son travail, ce dernier lui a montré quelques herbes avec lesquelles on peut siffler, et Sayanel est devenue assez bon dans ce domaine.


Qualité

  • Un coeur gros comme ça: Sayanel a toujours eu le coeur sur la main, se qui le mène parfois dans des situation qu'il aurait préféré éviter.
  • Souriant: Sayanel sourit quasiment en permanence, quand il parle il sourit, quand il travail il sourit (à se moment, se sourire se remplace parfois par une grande concentration), avec ses amis, sourit, quand il ne sait pas quoi dire, il sourit...
  • Sens de l'humour: Sayanel adore faire rire les gents. Il est très moqueur, parfois un peu trop.
  • Sens du contact: Il parle très facilement au personne qu'il croise et est très rapidement à l'aise avec elles.
  • Discret: Sayanel ne viendra jamais vous déranger si vous êtes vraiment occupé, et ne divulgue jamais un secret, sauf si c'est absolument nécessaire.

Defaut

  • A du mal à se retenir de parler: il lui arrive parfois de parler quand il ne faut pas, et cela est parfois problématique.
  • Légèrement Hypocondriaque: Sayanel déteste être sale, dès qu'il à une tache sur ses vêtements ou sur sa peau, il va tout de suite l'enlever.
  • Naif: Sayanel a parfois du mal à voir que le monde n'est pas rose. Ça c'est amélioré depuis sa mise en esclavage.


Centre d'intérêt

  • Sayanel a une passion pour la cuisine. Quand il était plus jeune, sa mère le voyait souvent dans le cuisine, à étudier des livres de recettes où à réaliser des recettes de sa création, essayant de mettre plus ou moins d'épices et rageant quand sa préparation est trop cuites,pas assez ou trop épicé. Ce qu'il déteste le plus au monde et de voir une des personnes qui mange un de ses plats rajouter du sel, du poivre ou, pire, renvoie son plat en cuisine.
  • Une autre chose qu'il apprécie énormément, c'est de voir les bateaux du port. Quand il habitait à Indubal, il faisait toujours un détour entre sa maison et son travail pour passer par le port et, le matin, voir les pêcheurs qui s'apprêtaient au départ.


Relation

Amour

Inseri Wihelmina Elga Haïka Les premiers mots que lui à dit Sayanel ont été "Venez, vous allez attraper la crève". C'était une nuit neigeuse. Jamais Sayanel n'a établie le contact aussi vite avec une personne, excepté Silnoë. En une nuit, ils ont parlé, sympathisé et, au petit matin, ils étaient sur un belvédère, main dans la main, à contempler les rayons du soleil. Leur relation a ensuite évolué, pour devenir l'amour passionné qui les lie aujourd'hui

Ami proche

Silnoë Iramïs: Sayanel ne peut pas connaitre un ami plus proche que Sil'. Il se sont rencontré à Indubal, bien avant leur arrivé à Esperia. C'est à lui qu'il se confie, avec qui il aime le plus parler, et, surtout, à qui il aime le plus cuisiner! Il essaye de l'ouvrir un peu plus, à grand coup de blague. Cette relation privilégié les unis depuis près de 3 ans. Leur retrouvailles à d'ailleurs été un grand moment d'émotion.

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Connaissance

Mikrakra Erschmitt Les deux hommes était sur le même bateau, celui qui les as amenés sur Esperia. L'homme, couvert de cicatrice avec son capuchon, intrigue fortement Sayanel. Il le trouve sympathique et aimerais en savoir plus sur lui.


Louis Lindén Cet homme est celui qui a acheté Sayanel. Bien qu'il le trouve parfois un peu rustre, il apprécie sa générosité et sa gentillesse (a moins que se ne soit de l'indifférence) à son égard.


Selene jeune femme rencontré très brièvement. Il apprécie sa force de caractère.


Angelo "Angel" Ichiro Ils étaient sur le même bateau, Sayanel l'a vue se faire rouer de coups par son maitre, Silnoë l'empechant d'intervenir.


Les 3 ivrognes

Fredrik Numminen


Wairn Foreld


Uth Franchebrise

Dans son esprit, ils seront toujours "les trois ivrognes". C'est ainsi depuis qu'ils sont venue dans sa taverne et qu'ils ont descendu 4 bouteilles de rhum, en disant qu'elles étaient qu'à moitié-pleine, où qu'elle étaient coupé à l'eau...ça à faillit dégénérer quand un des trois, voulant prouver qu'il y avait de l'eau dans le rhum, à voulue l'envoyer dans le feu... Sayanel a voulu "gentiment" l'empêcher, mais il lui à envoyé le rhum sur sa tunique, pendant que Fredrik, ivre mort, essayait de mettre le feu aux vêtements de Sayanel... Un magnifique souvenir...

Ceux qu'il aime moins

Tous mort...

Mort/disparu

Lyor C'était pourtant bien partit avec lui. Mais ça a dégénéré quand Lyor a menacé un des amis d'un ami de Sayanel. Ce derniers s'est interposé. Lyor, retenue par le serment qu'il avait fait à Luka Lindén, n'as pas tué Sayanel, et a "juste" menacé son ami de lui trancher tout les doigts... Mais après sa mort, Sayanel n'a put s'empêcher d'être triste, car il voyait bien la bravoure et la loyauté du maitre d'arme 


Rencontre avec Silnoë

L’homme tourna à droite. La bourse du noble à la main, il s’enfuyait par les petites ruelles, espérant semer son poursuivant. Mais ce gamin n’allait pas le lâcher? Il le poursuivait depuis la grande place, il allait bien finir par s’épuiser !

[20 minutes plus tôt]

Sayanel regardait le garçon qui lui faisait face. 17 ans environ, au visage agréablement équilibré, brun, les yeux noisette. Il l’amusait, il ne semblait pas remarquer les jeunes filles qui se retournaient derrière lui en riant et en rougissant quand il leur rendait ce regard, et elles ne remarquaient probablement pas qu’il avait la même réaction. Qu’est-ce qu’il semblait timide c’petit gars ! se disait en rigolant Sayanel.

Il semblait boire les paroles de son père, cherchant à les graver dans son cerveau. Son père discutait avec celui de Sayanel, qui, ce dernier, était bien moins intéressé par ce qu’il disait. Il s’intéressait plus à ce jeune garçon devant lui. Il l’observait d’un air moqueur, riant de son air coincé et de l’avidité de son regard. « Cesse de me regarder ainsi Silnoë, lui dit son propre père »

Il s’appelait donc Silnoë ? Beau prénom pour un noble. D’ailleurs sa condition se voyait à des kilomètres à la ronde. Il était bien habillé, propre,… tout le contraire des habitants pauvres du quartier. D’ailleurs, étrange son père ne semblait pas l’apprécier.

Silnoë remarqua Sayanel. Mais qui était donc ce type qui le regardait comme ça ? Ce fichant presque ouvertement de lui ? Timide, celui-ci détourna les yeux. Reportant son attention vers son père.

Ce dernier tendit une bourse en velours cousue à ces initiales à celui de Sayanel qui lui avait donné quelques herbes médicinales pour le mal de gorge et soulager les inflammations. Ça ne dura qu’une demi-seconde…

Un homme arriva en courant, prit la bourse, et s’enfuit dans la rue passant à côté de l’auberge.

Le père de Silnoë hurla : « Gardes !! Gardes !! Rattrapez cet homme ! »

Sayanel fut plus rapide… Il s’élança à la suite de l’homme. À gauche, à droite passa sous un pont. Le voleur se rendit compte qu’il avait un poursuivant. Non… il ne pouvait pas permettre de prendre des risques. Il avait déjà été arrêté une fois, si on le reprenait, il était bon pour rester au cachot un bon bout de temps. Il jeta la bourse en arrière, dépité, qui atterrie sur le genou de Sayanel. Il la ramassa, grimaça en voyant la tache de boue qui s’était mise sur son pantalon. Il allait encore devoir nettoyer ! Mais bon, retournons sur la place.

« Hé, toi, ou a tu trouvé ça ? »

Un garde… Pour le coup, il était dans de beaux draps...

« Un l’homme la volé, je l’ai poursuivi et quand il a vu que je gagnais du terrain, il l’a jeté.

Le garde sourit, l’air goguenard.

-Bien sûr bien sûr, et moi je suis archevêque. Tu vas…

-Il dit vrai ».

Le garde se retourna et reconnut Silnoë, fils du grand marchand . Il se mit inconsciemment à bafouiller.

« Nos… nos pères faisaient une transaction quand un homme à… à surgit et a dérobé la bourse de mon père. Et.. et ce jeune homme s’est élancé à sa suite

-Il dit vrai ? demanda le garde à Sayanel en fronçant les sourcils.

-Et bien sachant que si je réponds non, je me retrouve en prison… oui, il dit vrai, vous pouvez demander à son père, il doit être resté sur la grande place.

Maugréa dans sa barbe avant de lancer :

-Bien… mais que je ne te revois plus !

-Pourquoi ? Vous venez d’avoir la preuve que je suis innocent.

-Et bien… parce que c’est comme ça ! »

Et le garde tourna les talons avec un geste d’impatience et retourna à sa patrouille.

Sayanel se tourna vers Silnoë, en lui faisant un grand sourire.

« Merci beaucoup ! Ce garde est le plus borné de la ville, sans toi je me serais retrouvé au cachot !

Silnoë semblait légèrement essoufflé et toujours aussi mal à l’aise : il fuya le regard bienveillant de Sayanel

-Euh… de rien… c’est tout naturel.

-Donc Silnoë c’est ça ? Ravi de te rencontrer, je suis Sayanel. Allons retrouver nos pères.

Ils retournèrent à la grande place, Silnoë commença à se détendre et à parler plus librement. En arrivant Sayanel dit :

« On se revoie demain ? Pour faire plus ample connaissance

-Hum… oui bien sûr, demain ici, même heure ?

-Très bien. A demain ! » Et il partit à la suite de son père.

Depuis ce jour, Silnoë compta dans ses grands amis

Esclavage

Le nom du monde est souffrance. Souffrance du corps. Souffrance de l’esprit.

Le coup à l’arcade, saleté… Et ça n’arrête pas de saigner. ce n’est rien. Mais … Mais, il quitte les siens. Ses amis, son père, sa mère… Mais une chose revient à son esprit.

Souffrance.


C’était pourtant une journée qui commençait bien. Sayanel avait terminé son travail à l’heure, le chef était de bonne humeur, il avait même eu le droit à un compliment sur la cuisson de son cabillaud. Oui, une belle journée. Il devait juste faire une petite course avant de pouvoir rentrer chez lui. Mais où allait-il trouver un boulanger ouvert à cette heure ? Bah, il allait fouiller un peu.

Le soleil déclinait déjà à l’horizon, embrasant le ciel d’une explosion de sang. Sayanel fronça les sourcils. Son père lui avait dit qu’une telle couleur était un mauvais présage. Il haussa les épaules. Il n’était pas le seul à voir cette couleur, il était idiot de s’inquiéter. Il repensa à la disparition de Silnoë et son cœur se serra. Quel idiot, pourquoi avait-il fait le malin avec ce noble ? Ah ! Un boulanger ouvert, c’était son jour de chance. Il se dirigea vers l’entrée, et, au moment de l’ouvrir, une jeune femme en sortit précipitamment. Sa beauté frappa immédiatement le regard de Sayanel. Fine, élancée, les cheveux noirs de jais rattachés en une fine natte dans son dos. Son regard vert se posa sur Sayanel, dont les poumons cessèrent de fonctionner. Elle lui sourit, et s’engouffra dans une ruelle adjacente. Sayanel voulu la suivre, mais se retient.

« Qu’est-ce que tu imagines ? Cette fille doit déjà être en couple, ne vas pas te faire des idées ! »

A contre cœur, il s’apprêta à entrer dans la boulangerie quand il entendit un cri. Un cri d’effroi.

Sayanel s’engouffra en trombe dans la ruelle. Il arriva sur une minuscule place, où il vit la jeune femme se faire emporter par un homme immense, un vrai colosse de plus de 2 mètres. Sayanel se rua sur lui.

Il aurait pu tout aussi bien se cogner la tête contre un mur, cela aurait le même effet.

L’homme se retourna et vit la grande nouille qui courait dans sa direction. Il arrêta sa course d’un coup de genoux dans le ventre. Sayanel se plia en deux, l’air refusant d’entrer dans sa gorge, et l’homme lui envoya son poing sur son front. Sayanel roula au sol. Il tenta de se relever. Le sang qui coulait de son arcade lui troublait la vue. Il… il devait sauver la jeune fille. D’abord se lever… pousser sur les bras…Et…

Il s’effondra, maudissant sa faiblesse.

L’homme approcha. Ce gamin était pas mal. Il sourit. Il pourrait le vendre à bon prix….


Le nom du monde est souffrance. Etre dans une calle de bateau, n’ayant pas la force de se relever, sentir tout ce à quoi on est attaché, partir, lentement,

En silence,

En souffrance.