Procès du Monastère de la Nouvelle-Adaar

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Cet écrit a été rédigé par un auteur inconnu et se trouve sur l'ancienne Esperia, inaccessible pour le moment.

Affiche du souverain Bill Moscaw (12/05/514)

ESPERIA

"La Force c'est la Justice des bêtes, c'est la justice qu'utilisent les chiens pour s'imposer.

La Raison est la Justice des hommes, elle nous distingue de la Bestialité"

Voilà une leçon que vous allez devoir réviser Einog. Vous avez fait couler le sang d'un homme qui a servi Esperia de tout son être. Vous avez dans votre avidité, votre cupidité, dans votre BESTIALITÉ ignoré les Lois Esperiennes que Roskilde respecte. Vous n'êtes pas un homme de foi. Vous pointez du doigt chaque personne s'opposant à votre ambition en criant au Kaaos. Les Kaaosistes se comptent sur les doigts d'une main dans l'Ancien Monde, et vous prétendez qu'Esperia est remplie de cela ? Vous êtes un illuminé voilà ce que vous êtes. Vous avez arrêté le Grand Intendant, un Noble de cette Cité qui ne fait peut-être pas comme moi l'unanimité mais qui n'a à répondre que de la Justice d'Esperia, la Justice d'Arbitrio et en aucun cas la "Justice d'Einog l'Illuminé".

Vous avez montré votre vrai visage. Pas celui d'un homme qui veut juste une Abbaye. Pas celui d'un homme qui veut défendre sa foi. Juste celui d'un ambitieux. Un homme doux comme un agneau quand vous êtes venu me proposer vos services, et agité comme un chien quand votre besoin de mordre un Os se fait sentier. Vous avez imposé une Phalange, imposé sa tyrannie. Imposé sa version des faits.

Joris qui vous seconde le disait de ses mots : "Le Souverain est un homme de parole". Je m'étais engagé à faire du Culte Phalangiste un Ordre légitime en me rendant à Odense et Roskilde. Vous avez agis par peur de la reconnaissance que celle-ci pouvait m'offrir.

Vous êtes un homme du mensonge. Vous finirez comme l'Abbus de Iona, seul car même vos fidèles se rendront compte de votre folie. Vous avez taché l'image de l'Ordre Phalangiste.

Je veux dire aux hommes qui composent la Phalange que j'attends de vous qu'une seule chose. D'être tenu à la Loyauté envers Esperia et à L'Ordre. La Loyauté consiste à servir dignement et de façon réfléchit une cause. Ce que vous fait n'est pas de la Loyauté mais du Loyalisme. Le second signifie qu'on fait la même chose de façon aveugle.

En continuant ces actions l'Ordre sera vu comme un danger pour ces terres, et cette foi que vous prétendez sauvegarder s'éteindra.

Servez vous donc un homme ? Ou votre Cité et votre Ordre ? Vous êtes libres de vos actes. Je suis confiant pour le jugement qu'aura Arbitrio envers moi.

Je m'adresse à présent à cette Cité, à ma Cité. Merci à ceux qui ont tenus bon. Merci à ceux qui ne se sont pas laisser dicter bêtement une tyrannie injustifiée. Merci à ceux qui ont pris des armes dans l'optique non pas d'assassiner mais de faire chuter celles d'en face. Habitants libres, Monachistes, Raev, Qadjarides, Vaahvas... Et même les Phalangistes qui savaient ce qu'est le véritable Ordre. On me dit que ce qui s'opposent à cela sont divisés, mais je ne vois qu'ici une Union. Non la Pointe d'Or n'est pas dissolue et existe encore. Non les Gardes encore fidèles au serment qu'ils ont fait ne sont pas de cette phalange autoproclamée. Esperia est celle qui nous abrite, nous a fait renaître de nos chaines, ne la laissé pas sombrer.

Drehers. Une fois de plus vous avez un premier mauvais pas, pour vous ranger par sagesse ou par crainte. Je ne m'adresserais à vous que par Jibius. Le seul que j’estime et je respecte dans vos rangs après cela.

L'Ordre des Chevaliers va organiser le procès prochain d'Einog et je serais l'un des Juges. Je compte bien rappeler les mots même du Concordat : Le Respect des Lois des Nations.

Une fois le calme revenu je convoquerais tout de suite le Conseil Restreint qui avisera de ma succession. Et si j'ai faillis quelque part, ils me jugeront pas la même occasion publiquement.

J'ai perdu la foi, mais pas celle qu'on prétend. J'ai perdu foi en moi même mais pas en vous.

Moscaw Bill, Souverain d'Esperia

Réponse de l'Apothi Einog (12/05/514)

Cette partie est manquante.

Réponse du souverain Bill Moscaw (12/05/514)

Vos mots vous accusent vous même. Aucun ordre prétendus n'a été adressés contre les Moines.

Je vais à l'encontre de la foi ? Je suis légitime car couronné par Golvandaar. Vous un "Apotti" et non un Abbus instaurez une Phalange, et le Phalangisme sur une terre (Le Monastère Indépendant) qui est encore sous la juridiction de Golvandaar. C'est vous qui faite une des plus graves erreurs diplomatique qui a été commise sur ces terres. Le Sovitelija et Le Valtuusto sont à présent prévenus par lettre de votre conduite.

J'ai usurpé mon trône ? J'ai été nommé par un Conseil représentant l'ensemble d'Esperia, et vous par moins d'une dizaine d'hommes. Vous agissez comme-ci vous étiez un Abbus alors que votre Institution est encore Adaarionne. Qui usurpe quoi ?

Vous avec raison de vous poser la question de qui veux bien encore de vous.

Citez Roskilde autant de fois qu'il vous plaira le Concordat demande aux institutions religieuses de respecter les lois locales. Vous avez osez prétendre pouvoir destituer qui vous souhaitiez. Hors seul le Conseil Restreint a ce pouvoir. Quand on use un pouvoir qu'un autre détient c'est soit qu'on l'usurpe, soit qu'on le prend quoi que vous voudriez dire.

L'Autorité de la Phalange ? Mais vous êtes sur un Monastère Adaarion . Voilà la raison de la non-officialisation de votre Ordre. Golvandaar ne pouvait accepter avant même un changement que son institution soit aliéné comme vous l'avez fait. Vous avez pris les devants peu-être parce que persuadé que le Tribunal de Roskilde émanait de vous et non pas des sages ?

Vous m'accusez ensuite d'avoir semé et aidé le Kaaos ? Qui est venu demander au Monastère et à vous même d'agir dans l'urgence après la nuit sombre pour enquêter ? Alors même que vous n'aviez rien prévu. Vous vous êtes volontairement opposé à la Garde et à La Pointe par souhait des tensions.

Ensuite vous osez à demi-mot vous moquer de la plus puissante institution religieuse de notre Monde, Golvandaar ? Oui j'ai leur légitimité et ils nous protègent des armés qui souhaiteraient piller notre Or. Peut-être bien que vous faite partie même de ces hommes.

Quand à mes origines navré qu'elle vous déplaise. Il n'y a cela quelques mois vous portiez des chaines tout comme moi. Dans cette ville tout le monde sait que j'ai toujours tout fais pour arrêter le sang en restant impartial. Vous avez bien moins de légitimité que celle dont vous prétendez que je manque.

Votre erreur sera démasquée et Golvandaar qui est à présent au courant par Lettre prononcera son jugement en même temps que le notre. J'ai confiance en leur jugement car la Jurisprudence de Tankred s’appliquera à vous.

Souverain B.M

Affiche de l'Apothi Joris Tenkor (14/05/514)

Esperiens, Esperiennes, de tous les peuples et toutes les religions,
Le Monastère tient à s'excuser, et à s'expliquer, concernant les récents évènements. Désormais, nous entrons dans une période de Rédemption, et j'espère que vous saurez nous en tenir rigueur, suite à ce qui va suivre.

Il s'est avéré que nous avons été entraîné injustement dans ce conflit. Aron Seppyn, dit Einog, nous a menti concernant les actions du Grand Intendant Luka Lindèn. Ce dernier n'a jamais comploté pour notre mort, et avait prévu de donner à la Phalange son champ d'action légitime, après des pourparlers calmes et utiles. Malheureusement, Einog a trompé tous les moines, même moi, son ami depuis plus de 20 ans. J'étais en désaccord avec lui sur nos actions. J'avais d'ailleurs initié l'élan de pacification avec les Qadjarides, et les Nordiques. La Prêtresse, si elle peut effacer ses rancunes, pourra prouver que j'avais initié cette discussion, contraignant Einog a accepter de se montrer aimable avec le peuple du Nord. Du reste, la mort de Sveik n'est dû qu'à lui, qui a donné l'ordre, alors que les moines présents savaient l'erreur qu'il commettait. Si coupable nous sommes, c'est d'avoir obéi, comme on nous l'a toujours apprit.

J'ai donc décidé de le laisser partir, car je ne pouvais me résoudre à le livrer à la Justice Esperienne. Pas par mépris, mais parce qu'il fut mon ami, mon frère, et qu'on ne livre pas un frère. Je suppose qu'il se tuera lui même, je le laisse aux gardes, si jamais ils réussissent à le trouver. Je deviens donc Apothi, selon la tradition monachiste, et je répondrai des actes d'Einog, face à Esperia, ainsi que ceux qui ont prit part aux évènements.

Mais, à partir de maintenant, le Monastère connaît une restructuration totale, contraire à l'impulsion d'Einog le Diffamateur. Le Monastère se durcit, nous nous reformerons dans la rigueur et la droiture. Ne nous voyez plus comme vos amis proches, nous serons désormais vos protecteurs face à votre Jugement. Nous serons irréprochables, nous montrerons l'exemple, afin de vous aider à ne pas avoir de mauvaise surprise à votre mort. Car Arbitrio reste le seul juge, impartial et incontestable.

Pour ce faire, le moine Anthony Elderman, coupable d'insulte envers un nordique, et de mauvaise conduite envers ses supérieurs hiérarchiques, est renvoyé du corps monastique, où il agissait en tant que novice. Le moine Martin Vilister est nommé Apothi Second, il saura restructurer le Monastère. Les négociations pour les droits et devoirs de la Phalange reprennent, dans le calme et plus dans l'imposition, afin d'obtenir un corps légitime, qui saura garantir les bonnes moeurs de la société des croyants, et non pas imposer la pensée phalangiste comme Einog le laissait entendre. Les lettres préparées pour Odense et Golvandaar afin de dénoncer ces évènements ont été brûlées et ne seront donc pas envoyées, afin de garantir la reconnaissance du Roi Bill Moscaw sur l'Ancien Monde. Nous invitons également les monachistes désireux d'être moines de se faire entendre. Il n'y a pas que des bures phalangistes au Monastère, nous n'imposeront rien aux monachistes, tant qu'ils sauront obéir à leurs supérieurs. Nous abandonnons enfin la traque aux kaaosistes tant que notre phalange n'y est pas habilitée, mais je peux cependant vous assurer qu'ils agiront de nouveau sitôt que le Monastère ne veillera pas, ne rejetez pas la faute sur nous à cet instant. Telle sera la forme de notre Rédemption, dure, juste, et respectueuse d'Esperia et de ses lois.

Nous condamnerons cependant toute forme de bestialisme et de non-respect des préceptes d'Arbitrio, et d'extrémisme religieux.

Apothi Joris Tenkor, et non pas Préverien, pour le Monastère Renaissant d'Esperia.

PS: Nordiques, nous vous avons arrachés injustement la vie de Sveik, il est en votre droit de faire de même avec cette affiche.

Annotation de la Souveraine Pépi du Clan Skÿrn (14/05/514)

Arracher une affiche ne nous rendra rien, et n'apaisera pas la colère.
De plus, nous préférons laisser bien visible la reconnaissance de vos actes contre la ville, et votre volonté de "rédemption".
Quand à cette volonté de paix, je peux en effet affirmer que vous avez essayé de tendre la main pour la tranquillité de tous, et que j'y ai répondu. Mais souvenez vous bien de mes premières paroles.

Pépi Moscaw Skÿrn, Pretresse des Sept Déesses et Souveraine de la ville

Annonce de la tenue d'un procès (26/05/514)

Procès

Avis à l'ensemble des Esperiens,

Il y a de ça quelques semaines, le monastère prenait des décisions qui ne lui incombaient pas.
D'un commun accord, une séance de justice a été convenue.

Ce tribunal se déroulera au gouvernement, ce samedi, dans la soirée.

Les juges sont les suivants :
- Chevalier Mata Hamune
- Chevalier Zehyrr
- Chevalier Barboto
- Un représentant choisi par les Esperiens
- Un autre représentant choisi par les Esperiens

Rappel : Le peuple Esperien a manifesté son envie de participer à ce procès, nous lui rappelons qu'il a deux représentants à choisir, et ce dans un court délai.

Les partis seront les suivants :

- Deux représentants désignés par le monastère
- Deux représentants désignés par la famille Skÿrn
- Deux représentants désignés par la famille Dreher

Cette séance est ouverte au public, aucune interférence ne sera tolérée.
Elle pourra être rendue inaccessible en cas de débordements.

L'Ordre

Candidature du chevalier Eldingar (28/05/514)

Esperiennes, Esperiens.

Vous savez tous qui je suis. Chasseur explorateur puis garde, sergent et enfin commandeur de notre belle citée avant d'en redevenir un simple citoyen.

Vous savez ce que j'ai fais dans le passé, le bon comme le mauvais. Mais vous savez tous que je n'ai jamais œuvré que dans le but de faire avancer Esperia.

Certains m'ont fait confiance dès le début et continue aujourd'hui, d'autres ne m'ont fait confiance qu'après que j'eus fais mes preuves. Aujourd'hui, je vous demande de nouveau votre confiance. Samedi se tiendra un procès important, un procès contre le monastère. L'Ordre de la Chevalerie d'Esperia a demandé au peuple d'élire deux représentants. Et je me propose d'être l'un des deux.

J'ai toujours fais en sorte de faire preuve d'impartialité lorsque j'étais Commandeur et je vous assure que cela sera de même lors de ce procès.

Si vous m'acceptez, je vous demande d'ajouter à la suite de ce message une simple signature et vous invite, en passant, a faire connaitre le nom de la seconde personne que vous voulez élire.

Justice sera rendu.
Eldingar Den-Hvitr Bjönar Sta-Ulfurfang, Citoyen d'Esperia.

Candidature de Ludwig (28/05/514)

Chers Dame, Sires et Messires d'Espéria,

Beaucoup ne doivent guère me connaître, et davantage de vous ne connaissent mon nom.
Toutefois, j'aimerais vous représenter lors de ce Procès.

Je fus témoin direct des événements, tout comme Messire Eldingar ci-dessus. Nous n'étions pas, disons-le, dans le "même camp", certes. Et c'est pourquoi je pense que cela soit intéressant, aussi les actes commis par le Monastère et son Apothi de ce temps doivent être jugés.

Étant homme de lois avant d'être musicien aux yeux de la plupart, je sais et saurai me montrer impartial, aussi ne souhaité-je représenter le peuple non pas pour avantager le Monastère ou quelque autre parti, mais bien pour représenter les croyants monachistes et phalangistes d'Esperia.

Que Justice soit rendue tout comme soit l'injustice révélée et effacée,

Cordialement vôtre,

Ludwig-Diogène Henry Albrecht Eishfevog-Garrett d'Anthalys de Goltz d'Anderlacht, habitant d'Esperia.

Candidature de Kenesha (28/05/514)

Résidents, résidentes d'Esperia,

Nul besoin de décrire ma personne ici, vous savez tous que trop bien qui je suis.
Ainsi je vous fais part de mon désir à représenter le peuple d'Esperia pour le procès à venir.
Tout comme mes deux prédécesseurs, j'eus le déplaisir d'assister à ces regrettables événements.

J'aimerai alors, et de part ma neutralité, juger en votre nom et en votre bon vouloir les différents parties lors de ce procès.

Je tiens à préciser qu'aucun lien ne m'attache à ceux-ci, étant plus qu’extérieur à toutes ces sérénades politiques et religieuses.

Je vous serai alors gré, habitants, citoyens et nobles, de me faire parvenir vos soutiens via une simple signature apposée au bas de cette affiche.

Dame Ahrondor.

Abandon de Ludwig (31/05/514)

Chers Esperiens,

Quoiqu'il advienne à la fin des votes, je donnerai mes voix à messire Eldingar.
Car point ne veux-je prendre la place de celui qui s'est présenté avant moi, un de mes quelques principes (pourtant si peu nombreux).

Je suis grandement navré, mais je pense que ce messire doit déclamer ce qu'il a à dire au devant de ce Procès, pour la Justice Esperienne.

Veuillez, à tous ceux qui voulaient me voir vous représenter, pardonner cet acte, qui pourra, je le conçois, être pris pour pure lâcheté par certains.

Mais j'ai des raisons, et je préférerais ne pas toutes les énumérer, ou ce Procès n'aura jamais lieu.

Esperia sera fièrement et grandement représentée par Dame Ahrondor et Messire Eldingar,

Merci à tous toutefois,
Ludwig-Diogène Garrett,
Navré malgré tout.

Apostille : Montrez-vous clément envers le Monastère, ils n'ont fait que suivre leur Foi, celle reçue et perpétuée dès leur plus jeune âge ! Point n'auraient-ils voulu tourner le dos à Arbitrio, et à leur Monastère, quoiqu'ils aient été induits dans l'erreur par le dernier Apothi, Einog.

Apostille (seconde) : Il semblerait que mon abstinence déplaise à certains, j'ai donc décidé de transférer mes voix à Sire Boubek, s'il l'accepte, ou Messire Astalmo, qui sont tous deux de ma Famille, et l'un est également homme de lois. Si l'envie ne prend à ni l'un ni l'autre, ces voix iront au premier monachiste qui se présentera, car il faut tout de même, ni avais-je pas pensé, un représentant du peuple croyant en l'Arbitrio !

Annonce de la deuxième session (04/06/514)

Procès

La deuxième séance du procès extraordinaire Esperien, concernant les actions du Monastère, se tiendra ce dimanche dans la soirée, au gouvernement.

Convoqués :
- Les représentants Dreher
- Les représentants Skÿrn
- Les représentants du Monastère
- La Garde
- Messer Chester
- Messer Stelio
- Messer Eldermann

Cette séance est ouverte au public, soumise aux mêmes exigences que la précédente.
L'Ordre

Jugement du procès

Cette partie est manquante.