La guerre du Sud

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La guerre du Sud

La paix du Nord

En février 519, le roi lance des négociations avec la yarl de Baenum Sigur pour renforcer la sécurité de la frontière. Des accords sont passés afin que la Zaraga augmente son contrôle sur les tribus de raideurs. La nouvelle est amplifiée par la volonté de Thybauld de Fauxvelles afin que la paix soit célébrée, autant dans le Royaume Central que dans la nation Adaarionne. Le but est avant tout politique, puisque le roi cherche toujours à être couronné et à asseoir définitivement sa légitimité, mais le plan ne fonctionne pas, ce qui aura le don d’énerver le souverain, lui donnant l’impression que la manœuvre n’était qu’une perte de temps. Ainsi, en mai, la planification de l’invasion de Mesigios commence, avec la mise en place de campements à la frontière, et le déplacement de milliers de troupes. De Fauxvelles nomme un nouveau corps d’élite, la Légion d’Or, rassemblant la partie la plus talentueuse de l’armée.

En juillet 519, une grande réunion a lieu dans le Canatan, rassemblant Adagan, Cadfan et divers seigneurs rebelles. Adagan demande à inviter Armand Hedin, membre de la famille de la Dame du Sud, retenue prisonnière par le gouverneur de l’Aon. Il souhaite passer un marché, à savoir le ralliement des révoltés proches des Hedin avec les siens afin de ne former qu’une seule armée. En échange, Adagan s’engage à préparer des plans visant à la libération de Rose Hedin. Caroggia envoie Enrick Galbon de Dione, un militaire servant de mercenaire, avec un régiment composé d’un bon millier de soldats. L’invitation de Fauxvelles à Cadfan de se joindre à la guerre contre Mesigios permet à Adagan de connaître le plan du roi et ainsi, il désire mettre en marche la rébellion au début de la campagne de Mesigios.

L’invasion de Mesigios

En octobre 519, l’armée capitaline lance l’assaut sur Mesigios. La première cible est Lampekastro, atteinte et prise en un temps rapide puisque la ville décide de se rendre sans grabuge. Elias Guillaumin est mis aux arrêts, renvoyé à la Capitale en attente de son procès. La guerre se poursuit vers le Sud, le plan de Fauxvelles étant d’empêcher les rebelles de se regrouper pour contre-attaquer et renforcer leur défense. La deuxième cible est la ville fortifiée de Thorikos qui tombe encore sans mal, par manque de défense face à une armée composée de milliers de troupes et d’armes de siège. Ainsi, les troupes de la Sublime possèdent la position la plus stratégique de Medeva, les collines de Thorikos, qui leur donnent la capacité de résister à une contre-attaque. En troisième, une partie de l’armée fond sur Indubal afin d’être certain que la colonie n’intervienne pas dans la guerre. Après la confirmation de Vasco li Amarrès que Caroggia ne se joindra pas à la guerre, il était temps pour Fauxvelles de s’attaquer au cœur de la rébellion, à savoir Branne. Les troupes remontent l’Alcontin et c’est ici que les révoltés tentent une contre-attaque, lors de la Bataille de la Remontée, préparée comme une embuscade. Elle ne viendra pas à bout des Capitalins qui réussissent à poursuivre et à repousser l’envahisseur, jusqu’à lancer l’attaque de Branne en février 520, puis à prendre les lieux. Nicodème Makrolettis est arrêté avec sa famille qui sera mise en esclavage, alors que le chef sera décapité publiquement en mars 520 à la Capitale.