Utilisateur:Silnoë

Informations RP

Nom

Silnoë

Genre

Année de naissance

Rang

Noble

Famille

Loysto

Quartier

Rivelame

Bâtiment

• Phare d'Esperia

Métier

Métier

Joaillier

Compléments

Origines

Ville d'origine

Indubal

Région d'origine

Medeva

Nation d'origine

République Marchande de Caroggia

Informations HRP

Login Minecraft

Caribou_boiteux

Pseudo

Le boiteux

Âge IRL

17

Silnoë

Description

• Silnoë est un jeunot de 21 ans caroggian. Il est plutôt grand par rapport à la moyenne, a peu près 1 mètre 85. Il est assez élancé mais ne possède pas une forte carrure, pèse une soixantaine de kilos. Il ne semble en effet pas être très puissant, fort ou encore sportif. On peut dire qu'il possède un certain charme, visage agréablement équilibré, cheveux mi-longs brun clair relativement négligés, des yeux noisette pétillant de jeunesse ainsi que joie. Son nez a quelque rougeur, qui semblent indépendant de quelconque boisson, mais entièrement naturel tout comme le bout de ses oreilles lorsqu'elle ne sont pas noyées dans sa chevelure. Ce qui diffère avec son teint le plus souvent bronzé. Il est imberbe laissant libre ses joues et son menton. Il a la plupart du temps un timide sourire aux lèvres et un air gêné, docile, réservé. Il possède un long coup fixé sur des épaules de taille moyenne. Il n'est clairement pas fait pour se battre ni se défendre. S'en suit des bras effilés agrémentés de mains. Ce ne sont clairement pas des mains de gros travailleur. Il semble y prendre soin. Ses gestes sont généralement précis et doux. Il possède de bonnes jambes et un pas assez rapide. Son attitude est presque toujours respectueuse, aimable, ouvert et souriant

• C'est le fils d'une longue lignée de marchands de tous poils. Ainsi il est bon en affaires et adore l'or et l'art. En outre, il peut être vicieux si ses intérêts sont en dangers, mais au fond de lui c'est un gentil garçon très attentionné et cultivé.

• Depuis qu'il est arrivé à Esperia, et son évolution dans cette "foutue ville", Silnoë à profondément changé. Il n'aspire plus qu'au bonheur de sa famille, ses amis. Il à réussi à reconstituer un réseau et souhaite à tout pris le chérir et le garder. Toutes ses ambitions personnel ou presque sont écartées. En outre, il ne fait en ce moment des bijoux plus que par plaisir et aime savoir qui les portent.

Ce qu'il possède sur lui

• Il porte pour la plupart des tenues Caroggiannes, plus élégantes que pratiques mais Silnoë semble parfaitement à l'aise dedans. Il a en revanche clairement un gros faible pour les vêtements complexe et tape à l’œil, ce qui est complètement à l'opposé de son caractère. Même s'il sait qu'on risque de le considérer au dessus de sa condition, il ne peut s'empêcher de les porter. Il possède actuellement :

Silnoë avec son manteau

-Un grand manteau d'hiver a capuche qu'il porte généralement en Nivôse. Celui-ci est d'un bleu foncé uni le drapant entièrement du col jusqu'à ses genoux autant devant que derrière. De longues manches permettent a ses mains de rester dehors sans trop souffrir du froid. Le manteau présente de poche sur les cotés pour y fourrer ses mains, ainsi qu'une poche intérieure spacieuse sur le bas gauche, et enfin une petite poche au niveau de son cœur plus discrète. Il est joliment brodé sur le pourtour d'un bleu plus clair. Sa taille est ceinturée par une large ceinture en tissu directement accrochée au manteau. Ce dernier est également brodé sur le poitrail d'un signe Caroggian en bleu roi. L'imposante capuche le protège chaudement contre tout type d’intempéries. En effet se manteau est très apprécié de Silnoë pour son tissu qui lui procure confort et isolation. Il a été confectionné par Aurèn.

Silnoë dans sa tenue rouge

-Un manteau léger d'un rouge foncé. Richement brodé de tout parts d'un rouge plus clair. Il porte au dos un complexe signe Caroggian. Le manteau lui court tout le long de ses flans et sa bordure est elle aussi rehaussée par une bande de rouge plus clair. Ses épaules ne sont qu'a demis recouvertes. Il porte en dessous de ce manteau une tenue grise avec de longue manche dont le bout possède une bordure en cuire pour éviter qu'elle ne s'effiloche. Le tout est solidement maintenu par une élégante ceinture en cuire noir peu usée. Deux poches sont prévues à l’extérieur pour ses mains. Deux grandes poches qui peuvent être fermée par le dessus sont placées de chaque coté de ses flans. Pour finir une petite poche au niveau de son cœur. Cette tenue le protège aisément contre les petits vents frisquets de Brumaire sans pour autant être trop chaude. C'est la première tenue de Silnoë qu'il s'est offerte après son esclavage. Elle a été confectionnée par Amorce.

Silnoë pendant les grosses chaleurs

-Un ensemble très léger pour les plus grosse chaleur. Un élégant haut rouge foncé avec un col ouvert, manches courtes avec des bordures en rouge plus clair. Des belles broderies qui cascadent au milieu de son torse. Il le porte avec un pantalon simple, harmonieusement usé qui tient grâce a une ceinture simple en cuir avec une imitation or pour la fermeture. Il n'y a de poche extérieur qu'au niveau du pantalon gris. Néanmoins on peut trouver une petite poche au niveau du cœur accessible très difficilement ou lorsque que le haut n'est pas encore enfilé. Silnoë affectionne cette tenue lors des journée de Thermidor pour sortir dehors sans trop étouffer et profiter du soleil. Le tout a été confectionné par Aurèn.

Silnoë, prêt à danser

: Tenue de danse élégante et pratique. Joliment brodée, constituée d'un haut avec dentelles blanches, couvrant le torse. Le tout cousue sur une tunique courte, cintrée à la taille. Boutons simple. Les manches sont bouffantes en chemise blanche. Le pantalon est relativement serré, d'un jaune pâle/crème, assez simple. Enfin, de magnifique chaussures de danse, chef-d'oeuvre faites sur mesure. Silnoë l'utilise pour ses cours de danses. L'ensemble a été constitué par Pépi.

Silnoë, en grands apparats

: Surement la plus belle tenue de Silnoë, il la réserve pour de grandes occasions, et si possible, les moins salissantes. En "Lin blanc de Loghéans", immaculé et soyeux, accompagné de complexes broderies, blanc sur blanc. De l'or blanc a été utilisé pour les boutons, ainsi que pour la boucle de ceinture. Pratique pour danser également. Les chaussures sont des chaussures adaptées à la tenue, d'un propreté remarquable. Elle a été confectionnée par Draixos.

-Une simple paire de botte en cuir très usé qu'il met le plus clair de son temps car se sont ses uniques chaussures. Il les porte avec de simple chaussette grise miteuse pour protéger quelque peu ses pieds de la rudesse du cuir. Elle ne sentent d'ailleurs vraiment pas bon.

La broche d'avouée de Silnoë

• Silnoë porte toujours une broche en or en forme de plume située au niveau de sa poitrine droite bien en évidence. La plume est très élégante et précise et s'ajuste parfaitement sur les vêtements. Elle est finement gravé au dos « Silnoë ». Elle représente beaucoup pour le jeune Caroggian, c'est sa marque d'appartenance à la famille Loysto au titre d'avoué, et il le porte d'autant plus fièrement. Il semble être le seul bijoux, visible, que porte Silnoë ce qui peut sembler étrange pour sa condition de Joaillier.

• Une simple bourse en tissu, pratique pour toujours avoir un peu de monnaie sur soi. Elle se referme avec une lanière de cuir. Peu contenir une vingtaine de pièces mais Silnoë y met tout et n'importe quoi comme de jolis caillou ou autre...

• Une boite en fer polie de 2x6cm. Elle est très légère et discrète. Le contour est travaillé avec précision et l'on peu remarquer quelques gravures joliment executée ainsi qu'un nom finement gravé « Philor ». Silnoë a toujours cette petite boite pour y ranger un fusain ou deux si il a besoin de griffonner quelque chose.

• De la paperasse, encore de la paperasse... Silnoë a toujours un carnet et quelques feuilles sur lui. La plupart pour noter ses idées, ce qu'on lui dit, une histoire, ou alors une commande, ou pour la mairie.

• Un grand mouchoir blanc en tissu. Il le tient au plus propre et l'a toujours dans sa poche. Il semble avoir tout de même bien vécu. Il enveloppe un petite pierre polie avec la propriété de réfléchir. Il s'en sert comme miroir ( fait par Serenna )

Compétences

• Alphabétisation (gratuite) : Silnoë a toujours dût manier la plume. A la fois pour son poste à l'office de Rivelame que pour son plaisir personnel, il écrit tous les jours. Il fait encore des fautes d'inattention. Sa calligraphie est sans conteste celle d'un Caroggian pure souche.

• Calcul : Pour un Caroggian, il serait mal venu de ne pas savoir compter aisément. Silnoë a eu du mal dans son enfance à acquérir l'aisance qu'il a aujourd'hui avec les nombres. Cela n'en fait pas pour autant un bon, et encore moins un mathématicien aguerrit.

• La Danse (art) [Amateur]: Silnoë a prit de nombreux cours de danse en Esperia avec la renommée Sanna. Il est maintenant capable de mener une valse et de suivre sa partenaire. Silnoë peut se venter d'avoir eu une très bonne professeure et son propre naturel élégant aidant, il est assez gracieux dans ses gestes et sa tenue. Loin d'être un professionnel, il se mélange encore au niveau des pieds mais sait comment se rattraper pour que cela ne se voit pas.

• Le dessin (art) [Moyen moins]: Silnoë ne dessine pas bien. Il sait cependant reproduire fidèlement les objets et grossièrement les visages sur papier. Cela lui sert pour shématiser ses créations joaillières. Il est cependant maître dans le gravage sur métaux. Il maîtrise la profondeur et les reflets.

Talents

Si Silnoë se devait de ne garder qu'une seule chose, ce serait la parole. En effet, depuis très jeune, il la pratique comme une nécessité, un jeu, une guerre et une beauté. Il parlera de "L'Art de parler". Courtois, serviable et aimable, cette capacité à s'exprimer avec élégance ne l'a jamais trahi. Ainsi, s'il sait écouter pendant des heures, il est également capable de palabrer deux fois plus. Il cherchera toujours le mot juste.

Le soir quand Silnoë n'avait rien à faire, il aimait bien jongler avec des pièces. A force d’entraînement et d'obstination il réussit aujourd'hui à jongler avec une dizaines de pièces. Même si parfois une pièce lui échappe et il la perd bêtement...

En tant qu'esclave, Silnoë a beaucoup parcourut les égouts. Ces labyrinthes ont non seulement accru sa mémoire, mais aussi développer sa vision dans le noir. Ces expéditions s'estompant de plus en plus, il oublie autant tous ces chemins secrets ainsi que la capacité a se mouvoir et se repérer dans le noir

A force de ne jamais donner son avis si on ne lui demande pas, d'écouter, comparer chaque personne, leurs actes, leurs dires ; Silnoë comprend assez bien les sentiments des gens, leur vision du monde, ou encore une situation, intrigue et semble se plaire dans cette exercice : c'est un jeu de plus que de deviner ce que va répondre quelqu'un ou ce qu'il va faire. On lui a fait beaucoup confiance à Esperia, et cela lui a permit d'aider beaucoup de gens pour sa plus grande fierté personnel de pouvoir se rendre utile.

Silnoë semble s'y connaître un peu en fromage.

Défauts

Silnoë n'a jamais été doué pour le combat. Bien qu'il ne soit pas peureux, il évitera toujours de se mettre dans des situations dangereuses pour lui. Malgré tout, il est aussi sournois et est prêt à tout pour arriver à ses fins ce qui, à Esperia ne lui est jamais arrivé, du moins ce qu'il en dit.

Particulièrement depuis son arrivé à Esperia, Silnoë se confie très peu. D'ailleurs même avec ses airs de gentil habitant, il reste très timide si il ne connaît pas la personne à qui il s'adresse.

Déteste les mouches. Toujours attirées par un bout de fromage que garde le Caroggian. Il peut rapidement s'énerver si l'une d'elle se déclare chez lui.

Intérêts culturels et goûts

Silnoë aime bien écouter et raconter des histoires. Plus particulièrement celles qui se finissent bien avec un gros trésors à la fin. Comme il sait lire et écrire il a pour projet d'écrire ses plus belles créations et qui sait peut être les publiées ? Cette petite passion l'a conduit à Esperia a aimer les livres enjolivés, avec des enluminures dorées, dessins, calligraphie et autre. Il a entendu parler que l'on peut y fixer dans les couverture des joyaux. Détail qui n'a sûrement pas échappé au Joaillier.

Il aime aussi les jeux de toute sorte. Il adore se retrouver avec des amis dans une taverne et faire une petite partie. Il n'a malheureusement pas encore eu l'occasion de beaucoup jouer à Esperia, mais il compte bien y parvenir. En effet depuis quelques temps, de nombreux "Jack" sont arrivés sur Esperia, et Silnoë à déjà fait plusieurs parties du jeux des quatres coups. Il a aussi projet de jouer une partie de « bataille navale » qui lui avait beaucoup plus au « Cochon hurlant », une taverne de l'ouest de la ville.

Pour sa plus grande surprise, Silnoë a remarqué le nombre important d'artistes vivant à Esperia. En outre, de faire partager ses points de vues entre eux, Silnoë a eu la chance de pouvoir exposer au Musée d'Adobe. De plus, il participe aussi à des concours de toutes sortes. Il a d'ailleurs gagné, avec l'aide de Louis, le concours de "La Brise de Thermidor". Ainsi, il peut parler et penser Art de temps en temps, pour son plus grand plaisir.

Rumeurs

• Silnoë semblerait tantôt timide, tantôt sans gêne.
• Silnoë ne signerait jamais deux fois de la même façon une oeuvre de Joaillerie.
• Silnoë aurait sa poitrine gauche plus bombée que celle de droite.
• Silnoë ne porterait jamais de bijoux alors qu'il est joaillier.
• Silnoë viendrait d'une famille modeste.
• Silnoë semblerait être désintéressé par l'argent.
• Silnoë ne se promènerait avec une femme que si elle accepte pour la balade son bras.
• Silnoë serait danseur et poète.
• Silnoë semblerait être quelqu'un de toujours conciliant, autant devant les bastonnades que devant des soucis d'argent.
• Silnoë ne fixerait strictement jamais un prix pour une création, et laisserait le client choisir.
• Silnoë semblerait adorer le fromage. Il donnerait sa vie ?

Ami(e)s et connaissances

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Louis Lindén

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Luka Lindén

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Hiiagara S'Jet 

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Gharlok 

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Trapez   

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Lucie d'Arsonval Cadirissa  

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Illina Signaro 

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Edelweiss Menso   

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Nina Gwehl Araïos 

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Walae Keryah

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Kenesha Silmäpyhä

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Anya

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Théodora Mullingar

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Asaorsha Ysis

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Adabroux

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Antoine

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Krister Cuëza-Aballo Larvik Sta-Kirvolak

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Santi De Tito

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Agatha Engelburg

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Jorge Slova

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Sino

Personnes mortes ou parties

-Scholwitz : Son ancien Maitre. Silnoë vous dira sans hésitation que c'est un grand homme. Pense de temps en temps à lui avec amitié et servitude.

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Erwin Wilfred :Garde une affection toute particulière pour ce garçon, surtout depuis la mort de Lily. Silnoë l'a vu récemment et il ne semblait plus aller bien, a cause d'un histoire sordide ou Silnoë est impliqué. Ne le voit plus depuis trop longtemps, il craint le pire.

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Curtis : Il aime bien discuter avec cet homme plein de ressource. Silnoë réfléchit toujours à se proposition de rentrer dans sa famille. Ne le voit plus depuis lontemps, il ne sait pas ce qu'il est advenu de lui.

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Ingvar Chauvin :Silnoë appréciais cette homme, il espérait pouvoir mieux le connaitre.

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Wairn Foreld : Un bon ami, il aime discuter avec lui, même si Silnoë n'a pas l'occasion de le voir aussi souvent qu'il le souhaiterait. A présent mort, un ami d'esclavage de plus mort avec lui. Silnoë l'a longuement pleuré. Il ne s'est jamais prononcé sur la manière dont il est mort mais cela semble particulièrement le troubler. 

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Fardop Reeves : Un bon gars qu'il à rencontré quand Fardop était encore esclave. Avec le temps il s'est attaché à lui. Fardop lui commande souvent des bijoux et Silnoë lui fait toujours avec grand plaisir, même si il sait qu'il ne sera pas forcément payé. Ce qui l'amuse plus qu'autre chose surtout si c'est pour rendre service ! Fardop semble être repartit sur le continent, sans même lui laisser un mot ni rien... Silnoë lui en veut atrocement.

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Dwarnoll : Le frère de Xavier. Il semble sympathique et Silnoë espère qu'à eux deux, ils pourront aider Xavier à être heureux. Ce dernier est partit, Laissant seul Silnoë avec Xavier, ce qui l'inquiet quelque peu.

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Arthurius : un étrange personnage, tellement qu'il ne lui fait que peu confiance. Pourtant leur relation n'est pas en mauvais terme et Silnoë aime parler avec lui. Après un dramatique événement, Silnoë l'évite, il n'a pas beaucoup de mal à ça : Arthurius semble s'être volatilisé. Il l'a néanmoins croisé, complètement détruit, langue tranchée... Silnoë le plaint d'être tombé si bas, et va tenter de l'aider. Mort sur scène, comme ça vie.

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Sammael Arkhan : Un homme droit, sur de lui. Silnoë espère rapidement comprendre ce qu'il attend de lui. En tout cas, Silnoë lui fait complètement confiance. Ne le voit presque plus, et attend la prochaine réunion pour se rapprocher au mieux de lui pour pouvoir l'aider. Il nous a quitté subitement, Silnoë en parle avec un sourire triste: C'était en grand Homme, et même en Droit Homme.

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Eugenouria Murga : Rencontrée la première fois face à l'océan, Silnoë ne pouvait que s'attacher à elle. Trop curieuse, fouineuse, espionne, agitée et mystérieuse, Silnoë a encore beaucoup à apprendre sur elle. Cepedant, elle semble lui faire un peu plus confiance et ils leur arrivent de s’asseoir sur un banc pour discuter, au plus grand bonheur de Silnoë. Elle attendait un enfant, elle s'est sucidée... Je ne t'aurai jamais comprise... Ou si peu.

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Asfir : Un peintre aujourd'hui disparu. Si son être est éphémère, son art est perpétuel. Silnoë pense de temps en temps à lui mais sans peine. 

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Xavier Maltary : Le dernier de mes amis encore en vie alors que Silnoë était encore esclave. Esperia la détruit, Silnoë le sait mais ne pouvait se résoudre à savoir que Xavier est fou. Mais il n'est pas parti complètement... Silnoë garde le coeur de Xavier toujours sur lui, et ne le quittera jamais. C'est la seule chose qu'il possède de son plus passionné ami. 

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Idir : Silnoë, à chaque fois qu'il passe devant son ancienne demeure, se demande où elle peut bien être. Il s'inquiète pour elle et pour son sourire. Il aurait aimé que leur relation amicale dure toujours. La rouquine lui manque beaucoup. 

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Sayanel Loumina : Cet homme a été détruit pas Esperia. Silnoë le voyait comme invincible, toujours souriant, goguenard. Il l'avait rencontré dans l'ancien monde. C'était le meilleur ami de Silnoë depuis toujours, et ils se sont retrouvés en Esperia. Mélange de joie et de tristesse... Ils auront été le confident de l'autre, le soutient immuable, une amitié inébranlable. Sayanel a beaucoup aidé Silnoë a s'accepter lui même dans l'ancien monde. Il se moquait souvent du rougissement et du bégaiement de Silnoë devant certaine gente féminine. On peut dire qu'il a été un professeur de ce coté là... Mais son ami s'est lui même entraîné dans une aventure qu'il l'a conduise à sa perte : Inseri. Une belle leçon d'amour que Silnoë n'est pas près d'oublier. Le joaillier se lève et se couche en pensant à lui, ainsi que lorsqu'il mange des asperges..    

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Crystal : Si jeune et déjà si alerte. Silnoë y a rencontré une petite fille hors du commun qui n'arrêtait pas de le surprendre. Il a passé de longs moment avec elle, discutant de tout et de rien. Avec un mauvais début, il a l'impression qu'à présent, Crystal lui fait plus confiance et en est heureux. Elle est partie apprendre dans l'ancien monde, mais Silnoë a vraiment hâte de pouvoir de nouveau discuter avec elle et lui faire voir le monde comme il le voit. Elle le surpassera. 

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Aldracha Sydän : J'ai accepté ton amour avec bonheur. Je sais qu'on ne s'oubliera pas. Je regarde encore l’horizon en espérant que tu me reviennes un jour. Prends soin de toi, je t'aime. 

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Aurèn : Nos dernières paroles étaient en désaccord. J'en suis désolé. On aurait pu vivre de belles choses ensemble. Tu restes un noir regrêt, je n'ai pas fais ce qu'il fallait, mais j'étais encore trop timide. 

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Thorgan Ahrondor Tu restes un Loysto. Ce que tu as fais n'est pas acceptable mais tu as toujours été franc avec moi. Merci pour les pierres et la bière. Ta tombe n'est pas digne de toi.

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Leoplodine Eleonore Elisabeth Linden Dewhell: Tu es partie alors qu'on avait tous besoin de toi. La politique t'a tuée. J'espère qu'un jour tu viendras me rendre visite, tu seras fière de moi. Je garde tous tes objets comme des reliques bénies. 

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Estrella-de-nieve : Je crois qu'à la fin je t'ai comprise. Tu me manqueras, prends soin de toi. Je t'aimais beaucoup.

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Nora Mordïn : Les égouts sont bien vides sans toi. Tu étais très belle. Tu m'as donné ta magie des pierres. J'aurais aimé pouvoir chérir un objet de toi, mais tu ne m'a rien laissé sinon la sombre ville. 

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Sanna : La plus impressionnante des femmes. J'espère qu'il y avait autre chose que ton corps qui se mouvait contre moi. Je te suis reconnaissant. 

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Cedrick : Finalement, je t'aimais bien. N'oublie pas que seule la vérité triomphe. Merci de m'avoir protégé. 

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Plume : Garde la couverture comme ton linceuille.. J'aurais aimé faire plus pour toi. Je suis désolé, le coeur ne fait toujours pas ce qu'on souhaite. 

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Antón Kermit : Je t'embrasse grand père. Rejoins avec sérénité Arbitrio. 

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Ambra Evaristo : Nous étions de drôle d'amis, je ne regrête rien je crois. Je t'ai fais accoucher. Mais je ne t'ai pas enterrée. Tu aurais du fuir plus tôt... C'est trop tard à présent. 

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Alice Underson Calmacyl Araïos : Ma douce, non ce n'est pas juste. Je sais que c'est en partie moi qui ai fait tes premiers malheurs.. Pardonne mon indigne coeur. Je t'aime tout de même. Je pense à toi.

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Fredrik Numminen : Je ne te pardonnerais pas. Ton écriture seule mérite un peu d'attention. 

Métier

Silnoë a toujours rêvé de devenir un grand joaillier. Depuis tout petit il aide son grand père dans sa boutique. D'abord en tant « qu’apprentie », en d'autre termes pour ce qui concerne Silnoë a l'époque : gamin a tout faire. Ménage, astiquage, rangement, commission, gifle, chiffon sale a nettoyer.... Et puis vers l'age de 15 ans, il a put commencer a toucher un outil, alimenter le feu. Il ne commenca son apprentissage qu'à 16 ans. Le jeunot se souviendra longtemps de ce jour... Il a failli y perdre un œil et une main, mais s'en est sortit qu'avec des dégâts matériels. Autant dire qu'il s'est prit une bonne raclée. Cependant son apprentissage avançait de bon train, et il put se rendre utile à son grand père, qui d'ailleurs perdait de plus en plus la vue.

Il est donc arrivé à Esperia avec un petit niveau, enfin, a ce qu'il croyait... Il a eu la chance d'être prit sous l'aile de Louis qui lui a permit d'utiliser son atelier personnel. Il a apprit à ses cotés nombres de choses que son grand père ne lui avait même pas mentionné. Silnoë en est bien sur très reconnaissant à son nouveau maître. Puis vinrent les premières commandes Esperienne. Devant l'enthousiasme de la part de ses clients, le jeune Caroggian prit de l'assurance dans son travail même s'il a fait quelques erreur et de mécontenter un client. De fils en aiguilles, Silnoë s'est spécialisé dans le polissage, taillage, raffinage des pierres précieuses. Il considère que c'est ce qu'il sait mieux faire, et c'est aussi ce qu'il préfère. Il s'est aussi un peu détaché de la joaillerie pure, pour dériver vers des compositions autre que des « bijoux » à porter, mais plus des objets décoratifs. Il a aussi essayé les gravures, mais n'est content de lui que lorsque c'est en relief comme sur des montres ou boite par exemple. Ce sont ses petites œuvres qui font le plus de sa fierté. Il est aussi très fier de sa capacité a répondre a l'envie du client. Ce qu'il aime par dessus tout quand il doit faire un bijoux est de savoir qui va le porter. Il lui arrive de discuter longuement avec le client pour savoir à qui ! Qui !

Liste des bijoux créés : Bijoux crées

Principales créations

La clef de chez lui

La clef de chez lui

Une clef ouvragée de bonne facture par Gharlok. Elle a été ensuite finement gravé et enjolivé par Silnoë.

Fichier:Clef Ouvragée.jpg

Clef ouvragée

Description:
Clef de taille moyenne, relativement complexe, en or. Elle recèle de fines gravures. Le travail effectué dessus a été très précis et longuement pensé. Au premier coup d’œil on remarque beaucoup de formes, courbes, angles, et petits dessins simples enchevêtrés les uns les autres. Ils parcourent en effet tout le long de la clef créant un effet d'harmonie malgré la disparité des gravures qui la composent. A l'opposé du mécanisme, là ou l'on tient la clef pour ouvrir la porte, se trouve un cercle. Un simple cercle, qui contraste beaucoup par rapport au reste de la clef. Ce cercle ne contient rien sinon une face plane, vierge.

Interprétation:
Cette clef pourrait juste paraître comme étant une clef richement décoré, sans plus. Ce vide que forme le cercle est là ou on pose le pouce lorsqu'on ouvre la porte. C'est donc juste pour que cela soit plus confortable pour le possesseur de la clef pour ouvrir la dite porte. Seulement, quand on sait que cette clef a été faite par l'être aimé, cela change la vision que l'on porte aux gravures. Cette clef ouvre la demeur de deux amoureux, leur lieux d'intimité, leur havre de paix. Ceci intégré, on peut penser que ce cercle, est ce cocon amoureux. Et que toutes ces formes qui se battent pour la place restante de la clef sont le monde exterieur à leur amour. Et que, aussi nombreux, différents, unis, menaçant, étouffant, rien ne peut atteindre la pureté de leur maison, de leur amour. Si par contre, on décide que cette masse grouillante de gravures sont les gens autour du propriétaire de la clef. Ce cercle serait donc aussi une personne. Cette personne paraît alors comme différente, accueillante, mystérieuse, unique. Et que, quelque soit ses relations avec les autres personnes, ce qu'elles pensent, ce qu'elles disent, pour ouvrir ce "havre de paix", il faut pourtant bien poser le pouce à cet endroit précis, pour ouvrir cette porte, il faut passer par ce cercle, cette personne. Il faut utiliser cette personne. C'est grâce à cette personne que l'ouverture de la porte est plausible. Pour finir, on peut dire que le cercle est aussi une vision de "l'infini". Comme la paix qu'il procure. Comme l'amour de la personne.

C'est donc, après réflexion, une clef lourde de passion, d'amour, et de pureté.

L'arbre décoratif

L'arbre décoratif

C'est un arbre décoratif. Il repose sur un socle en or, où plusieurs racines y sont visibles. Le tronc est en or massif, on y remarque plusieurs membrures très fines.
Plusieurs complexes ramification s'y développent, elles sont en argent.
De nombreux détails très précis accompagne les branches ainsi que les feuilles. Plusieurs pierres taillées, à savoir des Lapis Lazuli et émeraudes, y pendent comme des fruits.
Les branches sont assez souples pour permettre aux, lorsqu'il y a du vent, pierres de se balancer, et s'entrechoquer entres elles et ainsi produire un musique discontinue, néanmoins assez harmonieuse.
C'est d'ailleurs le principale lien qu'il y a entre le concours et cette objet. Mais il semble avoir, pour un esprit entraîné ( j'entends ici cultivé ), une relation plus étroite avec Thermidor.
En effet l'oeuvre dégage la même joie et chaleur que la saison. L'arbre semble resplendir au soleil, et qui attirant vivement le regard du spectateur, offre une image synthétique du bonheur, comme semble le voir le créateur de l'objet.

L'arbre décoratif

Iramïs

Iramïs par Silnoë

L'une des créations les plus impressionnantes de Silnoë

L'Oeuvre:

C'est une très imposante pièce richement fournie. Elle fait 45x60x55cm. C'est une sculpture qui comporte de l'Or, argent, lapis, émeraude, Améthyste. C'est un travail de joaillerie particulièrement recherché.

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Description:

C'est un navire, balancé dans une mer déchaînée. Il est en plein mouvement sur une immense vague qui l'enlace. Les voiles sont gonflées très fortement et sont déchirées à certains endroits. Il semblerait que c'est un bateau de guerre. Le navire entier semble en mauvais état.
Pourtant le mât, finement ciselé, tient bon et sur sa vigie, un petit drapeau, avec ce qui semble être une signature (Avec attention vous voyez trois * agencés en triangle). Le bateau est bien détaillé, sur la coque, des gravures imitations bois. Il y a à l'arrière du bateau, gravé dans l'or "Iramïs".
La cabine du capitaine comporte des fenêtres. Et sur le dessus le gouvernail, qui semble avoir été abandonné. Il est représenté par une boussole sans aiguilles.
Sur le pont du bateau, beaucoup d'objets sont disposés. Comme des barriques, des cordes, des boulets...
Mais il y a surtout deux figurines de couleur discrètes mais pas moins impressionnantes. Ce sont deux hommes qui se battent. Ils sont armés d'épées qui semblent usées à force d'avoir été entrechoquées. On y remarque d'ailleurs sur les lames un mot gravés. Sur l'une : "Oui" sur l'autre "Non".
Pourtant, ce qui attire le plus le regard, c'est cette statuette en proue qui se dégage par sa couleur qui est étrangère à la sculpture. Elle représente sans aucun doute une femme. Les bras en avant, vers les vagues. On ne remarque aucun sentiment visible sur son visage qui n'est d'ailleurs pas très détaillé. Contrairement au reste qui semble avoir été le foyer de beaucoup de croquis, d'essais avant d'arriver à ce résultat.

On remarque que les vagues n'ont pas été très soignées. On remarque néanmoins une phrase gravées sur le bas de l'oeuvre "C'est parfois dans un regard, dans un sourire, que sont cachés les mots qu'on a jamais su dire."
C'est enfin signé "Silnoë"

Interprétation:

Iramïs, une grande oeuvre ou ce sont les détails les plus important. Iramïs... Un nom étrange, pas de connotation particulière. C'est le nom du bateau. Un nom au hasard ? Peut-être, ou surement pas. Enfin.. passons. Un bateau donc. Pris dans une tempête. Pourquoi représenter cette scène ? L'auteur l'a-t-il vécu ? Entendu ? Rêvé ? Si oui quand, pourquoi, dans quelles circonstances ? Surement une étape difficile de sa vie. Quoi de plus terrible qu'une mer en furie ?. Mais si au contraire, c'est ses sentiments au moment de la confection de la sculpture. Dans ce cas, que représente cette mer, et ce bateau. Il y a une double bataille. Contre la mer et contre les hommes à l’intérieur de ce rafiot de guerre. Contre la nature dont on est impuissant et une bataille entre homme. On dirait une fatalité, le bateau est déjà usé, les épées aussi. Pourtant ces deux statuettes d'homme sont toujours face à face.
L'ensemble forme un tout. Une vie, une habitude ? Mais, reste la dernière Statuette. Trop étrangère pour ne pas être un point clef importante pour mieux comprendre. Elle a les bras en avant et elle fait figure de proue. Peut-être un guide dans cette tempête. Ou alors, c'est elle qui fait surgir cette immense vague ? Et puis ces mots gravés sur les épées, "Oui", "Non". Les deux personnes se ressemblent presque à l'identique. A part leur épée. Une même personne. Donc, une bataille contre soit même à l’intérieur de la tempête ? Peut-être l'auteur divisé lui même. Quel choix, quelle route doit prendre le bateau ? Quelle est la vie qu'il faut qu'il mène ?

Autant dire que beaucoup de questions sont sans réponse. Mais ce n'est surement qu'une part de la vie de l'artiste.

Collection "L"

"L" par Silnoë

Description:

L'ensemble a été fait par Gharlok, puis agrémenté de gravures par Silnoë. Le fourreau fait 80cm et est entièrement en acier. Il est relativement lourd. Les gravures se propagent comme des lianes tout autour du fourreau. Elles se présentent comme une fleur entière. Les racines se trouvent au niveau du bout arrondit et polie de celui-ci. Elles enlaçent le pourtour jusqu'à se rassembler en deux parties symétriques de chaque coté des parties plates pour former le début d'une tige unique. Cette dernière se ramifie par la suite habilement en s'entrecroisant, laissant entrevoir des feuilles simples le long. Une tige, plus conséquentes des autres se démarque et les surplombe. Elle atteint alors le haut du fourreau qui se termine assez simplement par un rebords brillant en argent légèrement cisaillé. Apparaît alors le manche de l'épée en elle-même, telle une fleur, plus précisément un lys. La poignée de l'épée est relevée par un tissu rouge qui y est noué. La garde est gravée en pétale de lys de profil de manière assez réaliste. Le travail est fin et précis. Si on a la chance de tirer l'épée de son cache, on peut admirer l'ovule de la fleur qui se présente comme un petit médaillon simple. A l’intérieur de celui-ci est admirablement gravé un oiseau. Plus précisément une pie aux ailes déployées. Beau jeu d'ombre et lumière. En libérant entièrement la lame du fourreau on peut observer deux fines lignes de chaque cotés de la lame. Elle partent de cette pie et descende le long de la face. Elles se croisent de plus en plus, le rythme s'accélérant jusqu'à la fin, ou elles ne font plus qu'une. A la pointe de la lame, il n'y en a donc plus qu'une et celle-ci dépasse la pointe de la lame pour rejoindre sa symétrique de l'autre coté du plat de l'épée. Si on s'attarde sur les filigranes qui se croisent, on remarques qu'ils sont légèrement teintés de rouge, contrastant avec le brillant argent de la lame. Cette couleur a été permise par l'alliance d'or et de cuivre dans des proportions spécifiques et apparaît comme un rappelle de couleur avec la poignée. Le tout est discrètement signé "Silnoë".

La dague, pour sa part, fait 20cm et pèse moins lourd. Cependant , les gravures qui y progressent sont tout aussi soignées. Sur le fourreau on retrouve exactement le même motif que sur la lame de l'épée. C'est à dire deux filigranes rouges qui s'entre coupent et se rejoignent à la fin. Le ruban rouge n'est cette fois pas accroché sur la poignée mais il est "fourré" dans le fourreau, formant ainsi une sort de coussin coloré à l'intérieur même du fourreau. Puis le ruban ressort de chaque côté des plats de la lame pour venir mourir mollement sur les côtés tout en étant noué sur le haut du fourreau. Si on s'attarde sur la manche de la dague, on remarque en premier le pommeau de celle-ci. Il a été incrusté d'un rubis dense, avec un léger effet marbré. Celui-ci trône au dessus d'une poignée simple, légèrement ciselée et polie. Viennent ensuite deux ailes, faisant office de petite garde pour la dague. Elles ne sont pas très réalistes pour être en accord avec la taille de la dague, mais on peut reconnaître les ailes d'une pie car l'effet d'ombre et de lumière est le même que pour les médaillons de l'épée. Les arrêtes du fourreau ont été légèrement affinées pour qu'elle soit relativement coupante. Lorsqu'on libère la lame de la dague, on découvre un travail de joaillerie assez surprenant. La technique utilisée consiste à graver normalement la surface de manière appuyée , puis de remplir ces fines cavités d'or pour enfin lisser le tout. Cette méthode fragilise considérablement la lame d'acier, mais permet un effet de veines qui progressent dans celle-ci superbe. Les deux faces de la lame ne sont pas identique. Sur l'une, un quadrillage doré à été représenté. Derrière ses barreaux se trouve un cercle doré. Dans ce dernier, des multitudes de petites gravures y sont enfermées. Mais le cercle ne semble pas disposé à les libérer. De l'autre côté, on retrouve le même cercle, sans le quadrillage. Le cercle est alors fendu de part en part et en émerge des centaines de courbes et droite d'or. Elles forment toutes ensemble une valse fantastique de reflets dorés. La lame est très affûtée. Le tout est discrètement signé "Silnoë"

Interprétation:

Le tout a été fait ensemble, on ne peut donc pas les comprendre séparément. De plus, les lames ne sont destinés qu'à une seule personne. Il faut en fait les considérer comme enchevêtrement d'un être. Les significations s’emboîtent, du visible au cœur. Efforçons nous de détailler ses étapes : Tout d'abord une fleur, un lys plus précisément. Dans le langage des fleurs, cela fait référence à quelqu'un de doux, de pur. Lorsque on déracine la fleur de ces racines, c'est pour en voir l’intérieur. Se découvre alors des filigranes rouges. Comment ne pas penser au sang ? Et cette symbolique du sang... Le sang de la mort, celui qui donne vie. Destruction et création. Ces deux filigranes se croisent comme se croisent deux vies justement. Ce qui donne vie à cette fleur serait donc un croisement de deux vies qui ne forme qu'une à la fin.. ou au début. Plus on découvre la lame, lorsqu'on la sort du fourreau, on découvre en réalité l'être intérieur, et ce qu'on pensait former deux fleuves rouges, ne vient que d'un même point... Les deux vies ou les deux morts se retrouvent également sur le fourreau de la lame. Il serait inutile de développer à nouveau la symbolique sinon de dire qu'on peut encore une fois s'introduire un peu plus à l’intérieur de l'être. On tire alors doucement le manche au rubis, rappelle d'un cœur sans aucun doute. Le cœur de l'être. Il est composé de deux parties très différentes. Mais à coups sur, c'est un cœur d'or. La première partie représentent les barreaux d'une prison ou la boule doré, l'essence de l'être, est emprisonnée. L'autre coté, cette boule peut se déchaîner, et tout prend sens. Tout est libre et sans contrainte. C'est cette dualité dans l'être que le joaillier à voulu mettre en évidence. La pie semble être présentée comme un blason et est répété sur les deux lames. Elle fait parti intégrante de l'âme de la personne et semble représenter beaucoup. Pie voleuse, pie noire et blanche... Toujours une dualité apparente. La dernière chose à mettre en évidence sont les affûtages des lames. Du fourreau au bouts arrondies, à la petite lame acérée. Plus on connaît l'être, plus il peut nous blesser. Ces deux lames sont donc avant tout une symbolique d’intérieur et extérieur, combiné avec un travail soigneux et minutieux de joaillerie.

Couronne d'Esperia

La couronne d'Esperia par Silnoë

Description:

La couronne d'Esperia se présente comme un véritable chef-d'œuvre de joaillerie et comme un symbole de puissance. Elle est imposante et inspire un respect solennel. Elle est entièrement en or de l'île et pèse dans les 0.6kg. D'une forme ovale assez classique, elle est recouverte de gravures et de nombreux joyaux. Un œil attentif distinguera plusieurs parties gravées :
à l'arrière est finement représenté une coupe d'un bâtiment en gradin. La structure de l'édifice semble noble et soigné, d'un style des plus épurés. On peut remarquer quelques personnages, toujours de profil, assis ou debout. Ce qui attire tout de suite l'œil sur cette scène est le diamant taillé en losange incrusté au centre. Il semble rayonner et illumine l'ensemble. Pour ceux qui l'on connu, cette scène représente le Sénat dans toute sa splendeur.
Si on s'intéresse maintenant aux gravures présentent symétriquement sur les côtés de la couronne, c'est une toute autre représentation qui s'offre à nos yeux. Le bâtiment est cette fois gravé de l'extérieur avec juste devant une grande place. Les personnages sont plus nombreux, ils sont représentés par groupe distinct sur la place. Certains portent des emblèmes et des drapeaux, sûrement des familles. Ils semblent se parler, se disputer, et se donner en représentation. Le sujet de leur discutions semble être encore une fois un diamant placé au dessus du tout. Cette fois, il est taillé en octogone régulier. Pur, il reflète admirablement bien la lumière. Cette scène représente l'ère de Consulat.
Enfin, le fronton de la couronne, et sûrement la plus belle des trois scènes, représente sans conteste la Royauté. Les gravures sont très fines et travaillées. Elles s'entremêlent et se complètent comme un réseau de toile d'araignée. Il y a quand même une sorte de logique. En effet, les gravures du bas sont plutôt rectiligne, et plus on monte plus elles se courbent majestueusement. Au centre de ce complexe se trouve une bulle vide. On n'y voit qu'un siège, très simple où trône un magnifique rubis. Il est habilement taillé en cercle parfait. Il est accompagné sur chaque côté de deux diamants taillés respectivement en demi cercle de manière parfaitement symétrique, comme brisés en deux autour du rubis. Aucun personnage n'est visible dans cette scène.
Les trois parties sont séparées par des colonnes gravées et misent en relief sur le dessus formant les « cornes » de la couronne. Le dernier élément notable est l'utilisation de petits peignes tout le long du bas de la couronne qui permettent de fixer au mieux dans la chevelure la couronne, et ainsi, éviter qu'elle ne tombe. Pour finir, il y a deux détails à l’intérieur même de la couronne : un diamant brut, pas taillé, directement incrusté à l’intérieur frontal, et à l'opposé une petite signature « ë ».

Interprétation:

Une couronne est souvent lourde de symboles et de significations. Nous allons proposer quelques questionnements qui peuvent venir à l'esprit d'une personne cultivée et amatrice d'Art. Pour commencer, le sens est sûrement le plus brut dans les gravures.
Celles-ci se présentent comme étant une frise chronologique. Pourtant même si la technique de la gravure est la même pour les trois scènes, l'impression qui en ressort est très différente. Il y a donc du sens à ce niveau. Ces impressions sont peut êtres liées au style des gravures. La scène du Sénat est très épurée et pur alors que celle de la royauté est extrêmement lourde et dense. On peut donc penser que l'auteur glorifie plus les systèmes politiques antérieur ? Mais si on décide que ce style est trop simpliste. La scène de la royauté représente une exaltation du style plutôt qu'une complexité poussée à l'extrême ? Ce style si lourd et dense présente de plus une logique infaillible : du droit jusqu'au courbe et le courbe reposant sur le droit. Et le courbe par excellence atteint par le bulle du trône. On peut aussi commenter ce choix de l'artiste... Le droit, on peut l'associer à un trait de caractère :le juste en bas. Et le menteur, la courbe de plus en plus haut. On peut penser que plus on monte, plus on est corrompu sur cette scène. En outre, le menteur se repose sur le juste. C'est à dire qu'il se sert du droit pour mieux se courber, et donc à gravir les échelons. Mais il est parfois inutile de trop se perdre et de déformer les intentions du joaillier n'est ce pas ?
Retournons donc au concret et ce qu'à en effet produit l'artiste et attachons nous encore une fois aux principales différences des scènes. Par exemple les personnages. Il y en a quelques un dans le Sénat, beaucoup dans le Consulat et strictement aucun dans la scène de la Royauté. Etrange et donc important... Déjà, que pourrait représenter ses personnages ? Dans la première partie, il y en a peu, des gens d’exceptions donc... Sûrement de la noblesse, représentée dans le lieu du pouvoir. Le consulat présente au contraire des groupes de personnages, peut-être des familles ? Ou alors les différentes classes sociales qui gouvernent ensemble ? Ou contre... Cela reste confus, pas très engageant pour un système politique. Mais il y a tout de même des personnages, donc du peuple qui est important pour la politique du Consulat. Si on applique cette pensée à la Royauté, on peut penser qu'il y a une déshumanisation. Plus rien ne gouverne sinon le trône. Certains diront que c'est une avancé, d'autre le contraire. On peut aussi considérer que les gens sont défaits, c'est à dire qu'ils ne forment plus qu'un tout, comme une ficelle déliée. Tout le monde gouverne, ou personne ne gouverne. Encore un choix d'interprétation.
Mais ce n'est pas fini : il reste les joyaux. Le diamant se retrouve dans chaque scène mais taillé différemment. Celui du Sénat, on retrouve l'idée de simplicité, d'épuration. Mais aussi celui de sélection : il n'y a que quatre cotés qui gouvernent. Au contraire, le diamant présente huit face pour la scène du Consulat. Il y a donc plus de face de la société, si on considère que le diamant représente la société, qui gouvernent et ont un poids dans la politique Esperienne. Si on regarde la scène de la Royauté, on peut déjà dire qu'il y a trois joyaux. Ils semblent vouloir se rapprocher du cercle, et donc d'un infini, comme si toute la société gouvernait, ou pas, comme vu plus haut. Commentons maintenant le fait qu'il y ait trois pierre. Si on considère que le diamant représente la société, alors la société est scindée en deux par le rubis. Comme si ce joyaux rouge, comme du sang, siégeant sur le trône du tout et du rien brisait l'ancien infini en deux. On peut aussi penser que c'est le cœur même de la société qui à présent gouverne : le pur qui est au commande. Rouge comme le sang, donc le sang est aussi vie.
Si on essaye de voir tous les joyaux dans leur ensemble, il y en a six à l’extérieur, mais un septième à l’intérieur. Comme les 7 déesses. Mais une des déesses est mise en valeur, celle du rubis, et l'une est dérobée, celle du diamant brut à l’intérieur. Il n'y a aucun signe pour les différencier, c'est sûrement au spectateur de choisir qui est qui. Mais il devra faire attention, car qu'il fasse, le règne sera déséquilibré, car subjectif. Si on peut associer les joyaux aux sept déesses, on peut les associer à Arbitrio, veillant à sur chaque scène sur les système politiques, presque immuable.

Cette couronne renferme donc bien des vérités ambiguës et lourdes de conséquence, mais tout le monde y trouve se qu'il recherche.

Couronne d'Esperia d'Illina

La couronne d'Esperia d'Illina par Silnoë

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Description:

Après une longue période de règne, la Souveraine Illina convoque le Maître de Joaillerie Silnoë pour lui faire concevoir sa couronne. Cette couronne est un symbole fort, assurant une autorité légitime de la Souveraine. Silnoë forge alors la deuxième couronne d'Esperia. Cette dernière est en or d'Esperia et pèse dans les 0.8kg. Comme la précédente, c'est un véritable chef-œuvre d'orfèvrerie et présente une certaine unité stylistique mêlant fines gravures et joyaux. On dénombre cinq pierres sur la couronne, toutes extraites des célèbres mines d'Esperia.
Sur la surface courbe et dorée extérieure de la couronne de nombreux graphismes sont représentés. Tout d'abord a l'arrière, un somptueux motif complexe tout en or composé de six branches est gravé. Une branche sur deux, c'est à dire en tout trois branches, symbolise un quartier. La branche supérieure s'est vue doter d'un quai avec de précis pavés d'or, d'un bateau mettant les voiles vers le large ainsi que d'un phare dont la lumière est symbolisée par un petit reflet en étoile : la branche incarne Rive-Lame. En suivant la logique horaire, la branche suivante est minutieusement taillée de fleurs. On y reconnaît d'éclatantes capucines, des fleurs de Hêtre ainsi que des magnolias. La branche suivante est également fleurie. Un grand arbre s'enchevêtre tant bien que mal entre des bâtiments à toit plats. Des commerces sont également esquissés. On reconnaît la place des Arts du Quartier Ouest. La branche suivante est composée d'animaux en mouvement. On y observe un cerf, un renard, un aigle, un ourse et une mouette. La scène est relativement atypique mais chaque bête semble y trouver sa place. Les pelages sont bien détaillés et les reflets d'or de la couronne leur donnent un air vivace. Sur la branche suivante, on peut y observer joliment gravé a nouveau des bâtiments ainsi que des canaux. Les gravures présentent des passages complexes entre les fenêtres, les toits et les portes des maisons digne des ruelles d'Adobe. La dernière branche est remplie de minuscules gravures sans représentations particulières. Les gravures principalement circulaires et en spirales s'enchevêtrent et se complètent dans se heurter. De loin on ne voit que des reliefs brouillons mais si vous avez la chance de pouvoir passer un doigt dessus, la précision des traits vous surprend. L'étoile tout entière est cerclée d'un alliage plus clair d'or, coupé par de l'argent pour la faire ressortir.
Des arabesques partent de chaque pointe de l'étoile et se rejoignent en d'élégantes gravures autours de bouclier avec des armoiries caractéristiques d'Esperia. Le bouclier située au dessus de l'oreille gauche possède en son centre une pierre bleu taillée en princesse et parfaitement incrustée au centre des armoiries de la "Marine d'Esperia" et de la "Pointe d'or" de calligraphie Caroggianne.
De l'autre côté, au dessus de l'oreille droite, se trouve les armoiries personnels de la Reine Illina, c'est a dire un S et un I entremêlés avec une couronne. Au milieu de la petite couronne gravée est incrusté une cornaline rouge marbré taillé en ovale. Tout autour du blason de la Souveraine sont représentés des personnages bien habillés sans visage particulier qui semblent discuter par groupe de trois ou quatre. Ils ont de grands chapeaux à plume très détaillés.
En tournant la couronne et en la mettant de face, les gravures au-dessus du front sont les plus impressionnantes. Elles représentent l’œil d'Arbitrio constellé de trois diamants. Les diamants sont finement taillés en sur-brillance de manière a projeter des reflets selon l'angle perçu. L'iris est la partie diamantée de l'œil. La pupille a simplement été polie. Le reste de l'œil est en relief incurvé part rapport à l'iris. Les cils sont disposés en parabole parfaite au dessus de l'œil. Tous les traits principaux de l'œil sont rehaussés d'or blanc en fins filigranes argenté. Juste en dessous de l'œil qui prend deux tiers du frontal, se trouve une représentation fidèle du buste de la souveraine Illina de face. Son visage y est sérieux et déterminé. Les cheveux bouclés gravés dans l'or en relief se confondent avec les cils de l'œil. Le tout véhicule une impression de maîtrise et de puissance.
L’œuvre est composée de plusieurs pointes sur les dessus, caractéristiques des couronnes. Elles sont au nombre de huit, équitablement réparties sur l'ensemble de la circonférence. Elles sont toutes gravées de la même manière, leurs deux bords supérieur est composé d'une lisière très précise de petits ronds jointif comme un collier de perle. Juste en dessous se trouves de somptueuses arabesques qui progresse comme du lierre vers le bas.
L'intérieur de la couronne est polie et douce au toucher. Les rares personnes qui puissent la regarder de l'intérieur y trouverons inscrit d'une calligraphie caroggianne "Pour Esperia" ainsi que juste en dessous le nom de la Souveraine "Illina Signaro". À l'opposé et plus humblement l'artiste a signé l'ouvrage "Silnoë".