Sexualité

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Rapport général à la sexualité

Le rapport à la sexualité sur le continent varie fortement selon les peuples, la localité, la religion (et les religieux locaux) et le niveau social.

Nation adaarionne

Extrêmement religieuse, la société adaarionne possède une attitude très prude autour de la sexualité. Elle est considérée comme prenant place entre époux uniquement et constitue un sujet presque tabou. Les adaarions mettent la sexualité au service total de l’amour matrimonial et mettent beaucoup d’emphase sur cette idée. Le plaisir “sans attache” est inconcevable.
Au sein d’un couple légitime, il n’existe pas de condamnation des plaisirs charnels. Dans la vision adaarionne de la sexualité, le plaisir n’est pas un problème: c’est la personne avec qui on le prend qui peut poser problème.

Grande Huratelon

Les huras ne se situent dans aucun extrême culturel en matière de sexualité. Il existe cependant une règle très stricte sur le sujet: la sexualité est une affaire intime. Pour les huras, les démonstrations publiques d’affection sont à proscrire et les actes ou paroles à caractère sexuelles sont lourdement condamnés en public. Exposer de la débauche ou y inciter est considéré comme grave.
La discrétion est donc la règle. Cependant, les huras n’ont pas d’avis spécifique concernant comment la sexualité doit se vivre. Le phalangisme encourage cependant une conduite stricte dans sa vie sexuelle mais le fidèle en répond seulement devant Arbitrio.

Royaume Central

La population du Royaume Central, du moins dans ses villes, ne connaît que très peu de tabou en matière sexuelle (ce que les membres d’autres peuples n’hésitent pas à attribuer à de la décadence). La sexualité très active (chez les femmes comme les hommes) y est vue comme un signe de puissance, d’aisance sociale et de vigueur. La modération sexuelle ou la pudeur sont considérées comme étant des vertus du bas-peuple. La virginité est associé à l’enfance et la jeunesse.
Dans les campagnes du Royaume Central, cette libération sexuelle est beaucoup moins présente et suit davantage les préceptes religieux.

République marchande de Caroggia

Les caroggians sont relativement ouverts en matière de sexualité mais en ont souvent une vision idéalisée et romantique. Il est parfaitement acceptable pour un caroggian de combiner les deux, même avant le mariage, mais la sexualité sans relation est proscrit. La débauche, les orgies et les comportements sexuels rompant avec la norme sont très condamnée. L’érotisme et la sensualité sont cultivés cependant. Les caroggians ont une belle idée de l’amour sensuel.
D’une manière générale, le nombre de relations d’un caroggian urbain et aisé se situe en moyenne aux alentours d’une demi-douzaine tout au long de sa vie. Ce chiffre décroît si l’on quitte les villes (et tout particulièrement au sein des latifundios, bastion d’un romantisme de fidélité), si l’on est moins aisé ou au contraire si l’on s’approche de l’élite sociale.

Lig Ocolide

Lig Ocolide s’étant fondé sur le rassemblement d’immigrés de toutes les autres populations du continent, il n’y existe pas de norme. Cependant, les mœurs ont tendance à y être plus relâchées en l’absence d’autorité religieuse ou morale. Il n’est toutefois pas plus rare que des malentendus surviennent entre Ocolidiens qui conservent plus ou moins leurs cultures d’origine. Ces malentendus peuvent rapidement mal tourner entre amoureux qui se découvrent des différences ou avec des membres de la famille issue d’une peuplade moins ouverte d’esprit.

Manarades

Les manarades considèrent qu’avoir des relations sexuelles avant le mariage est non seulement souhaitable, mais même nécessaire. Quelqu’un qui ne saurait pas comment se satisfaire, ou qui s’avèrerait incapable de correspondre aux attentes de son partenaire une fois marié, risquerait de s’engager dans une voie de frustration qui mettrait en péril l’équilibre et l’harmonie de leur couple marié.

Les manarades sont relativement pudiques, dans la mesure où leur humour ne tourne pas particulièrement autour du sexe et qu’ils évitent de parler de leur vie sexuelle en public. Cependant, la sexualité n’est pas un sujet tabou envers des partenaires, en concubinage comme en mariage, ni auprès des Artisans, qui vont souvent servir de conseillers de couple si besoin est.

Si le batifolage pré-marital est totalement accepté, il est solidement proscrit pour un couple en concubinage ou un couple marié. Lorsque des manarades décident de s’unir - ou de vivre ensemble pour voir s’ils s’accordent - il devient inconcevable d’aller voir ailleurs.

La notion de << Ruhalikai >> est extrêmement importante chez les Manarades. À consulter sur la page de ce peuple.

État libre de Mesigios

La culture mésigue en terme de sexualité est un mélange de différentes cultures. Restant tout de même discret, ceux-ci sont assez ouverts dans une généralité. La sexualité sans relation amoureuse reste mal vue. La débauche, les orgies et les comportements sexuels rompant avec la norme sont extrêmement mal vus et peuvent être condamnables. Les mésigues ont une idée de l’amour très romantique et douce. Aussi, ils ont hérités de l’amour sensuel et de l’érotisme de part les autres peuples les entourant, dont les démonstrations publiques sont donc considérées comme un manque notable d'éducation et de savoir vivre ; contrastant nettement avec les jeux intimes que s'inventent les amants mésigues derrière le secret de la porte de leur chambre à coucher. De manière général, les jeux de romantismes sont très bien vu dans la nation ; offrir un cadeau, une fleur, un bijoux… Dans les campagnes, il n’est pas rare de voir plus de liberté sexuelle et moins de préceptes religieux.

Diaspora qadjaride

Les mœurs sont relativement libres au sein d'une communauté qadjaride. Chacun est libre d'entretenir des relations avec qui il le souhaite au sein du clan pour peu que l'autre parti soit consentant et célibataire mais aussi et surtout que la relation ne soit pas consanguine. De plus, il est fortement mal vu d’accumuler les relations en dehors d’un mariage au sein d’un même clan à cause des risques de discorde.
Le Qadjaride est également libre d'entretenir des relations avec des individus n'appartenant pas à son propre-clan et y compris avec des kharedjis. Le premier cas est encouragé puisqu’il permet d’éviter la consanguinité. Le deuxième cas est plus complexe et il est généralement recommandé qu’un amant kharedji potentiel soit reconnu comme un ami du clan si la relation doit être davantage que charnelle.

Tribus vaahvas

Dans la ligne de la culture amenée par l’Empire Suuri, la sexualité est liée à un mode de vie et de survie dans la communauté vaahva. La famille a une valeur particulière puisqu’elle joue un rôle essentiel dans la stabilité de la vie de l’enfant, et donc de sa survie. Si la sexualité chez les vaahvas est plutôt libre à la base, lorsqu’une femme tombe enceinte après un ébat d’un soir, le thrall retrouve le père pour le mettre devant ses responsabilités, obligatoirement. Il existe plusieurs cas particuliers, la solution n’est pas fixe, mais l’objectif du thrall est de préparer une famille pour accueillir l’enfant. Soit le père de l’enfant accepte de se mettre en couple avec la femme enceinte jusqu’à ce que l’enfant atteigne ses cinq ans, soit un autre homme prend cette place selon son affection avec la femme en question et accepte de devenir le père.

Un mariage ne condamne pas à une sexualité fixe, avec son conjoint ou sa conjointe. Avant le serment du mariage, les deux conjoints se mettent d’accord sur leur sexualité future, devant le thrall. Les deux peuvent choisir d’être libres, ou seulement un seul, ou personne. Ils jurent devant les Déesses de s’y tenir. Seulement, une fois la décision prise, il n’y a pas de retour arrière. Si un ou une partenaire vient à coucher ailleurs alors qu’il ou elle avait promis de rester fidèle sexuellement, le thrall lance le Sortilège de Sinine.

Le choix des partenaires est généralement lié à la politique de la tribu mais ne peut jamais se faire entre membres d’un même clan, une telle relation étant considérée comme incestueuse. Il est souvent recommandé de choisir un partenaire d’une autre tribu afin d’éviter la consanguinité et renforcer les liens avec cette tribu, si elle est amie. Les étrangers sont traditionnellement mal vus comme partenaires bien que la chose soit moins rare dans les zones frontalières.

Royaume d'Eyjarfolk

La population eyjarska ne connaît pas beaucoup de tabou au niveau sexuel. Du fait de l'importante mortalité dûe au climat, de la misère sociale ainsi que des ajustements de la foi sur leurs petites îles, la liberté sexuelle favorise une forte natalité indispensable à la survie des eyjarskas. La sexualité très active est vue comme un signe de puissance, en particulier chez les Sjorovares. C'est aussi un moyen pour certains sovsacker de changer de statut pour devenir borgarar en fondant une famille. Cependant, chez les moines et les unligtmunk, les relations sont le plus souvent monogames et ont lieu après le mariage.

Canatan

Bien que faisant partie du Royaume Central, les canatanais ne pratiquent pas une sexualité aussi débridée que les capitalins. Lors de leur conversion, ils se sont également convertis à une vision très adaarionne de la sexualité conçue comme uniquement entre époux mais ne sont pas devenus prudes pour autant. L’érotisme et la sexualité envisagée comme jeu sont un trait communs aux canatanais, réputés amants forts agréables mais hélas moins à cheval sur l’hygiène corporelle.

La sexualité des religieux

Dans la foi arbitrée, les religieux sont membres à part entière de la société. Cette proximité avec le monde extérieur ouvre parfois des opportunités de romances. Le chasteté stricte, que ce soit sous la forme d’une règle d'ordre ou d’un vœux, n’existe pas pour la grande majorité des religieux. Elle ne concerne que les moines des ermitages et les praes mobilisés à la guerre. Pour ces derniers, toute forme de sexualité est interdite et lourdement sanctionnée. Pour le reste des religieux, le climat sexuel varie d’une localité à l’autre par les préceptes religieux.

La discipline religieuse sanctionne sévèrement le recours à la prostitution, la polygamie, l'adultère et les relations avec les esclaves. Pour le reste, elle se montre plus modérée, voir laxiste, bien que des travers trop répétés puissent conduire à une résolution plus sévère.

Les principes fondamentaux de la sexualité des religieux, appliqués aussi bien par Monastére Adaarion que par l’Ordre phalangiste à travers le monde, sont la discrétion et la loi du silence. Le recours au mariage ou à la sanction symbolique sont courants lorsque les deux premiers font défaut.

Depuis longtemps, les deux institutions ont adopté cette tempérance, bien que ces faits divers soient toujours délicats à gérer au sein d’une communauté.

La tribune du Sage Eustache à Roskilde illustre fort bien la situation : “ L’adaar, la famille et la vertu nous imposent le contrôle et non le rejet des pulsions naturelles. Nous ne sommes pas de bons hommes de bois ou de bonnes femmes de pierre. Chacun de nous s’inscrit dans le monde d’Arbitrio et nous devons suivre ses lois.

Nos estomacs ont une pulsion : la faim. La combattre serait une ridicule souffrance. Cette dernière serait même à l’encontre de notre doctrine arbitrée. L’importance ne réside pas dans la résistance aux besoins naturels mais dans les actes qui les satisfont. Si j’ai faim et si j'ai soif, alors je mange un peu de pain et je bois un peu de vin. J’ai plié à une pulsion mais je l’ai résolue par un acte parfaitement bien-arbitré. L'erreur aurait été de m’acharner sans esprit dans un jeun de folie ou de gloutonner tout un banquet. Le même dispositif s’enclenche pour les pulsions sous nos cordelettes.

L'Ordre et le Monastère gagneraient beaucoup à avoir des religieux harmonieux de corps et d’esprit plutôt que des individus crispés et tordus par des besoins impérieux. Ainsi, ne faisons pas de grande affaires des choses d’aussi petite taille.

Homosexualité

L’homosexualité n’est pas moralement condamnée sur le continent et est parfaitement intégrée aux moeurs de bien des gens. La bisexualité est courante mais l’homosexualité est plus rare. Elle est cependant marquée par les mêmes tabous que l’hétérosexualité selon les différents peuples et milieux. Un adaarion sera toujours aussi choqué par le sexe, un hura sera toujours aussi choqué par une indiscrétion sur le sujet et un capitalin aura toujours aussi peu de modération dans son goût pour la chair.

La majorité des continentaux préfèrent cependant s’unir entre hommes et femmes afin de pouvoir concevoir, une nécessité très importante vue la dureté de la vie pour l’immense majorité de la population. De nombreux couples se sont ainsi brisés par pragmatisme. Cependant, il existe des couples qui demeurent unis dans les villes et parmi des corps de métiers qui permettent de vivre jusqu’à un âge honorable sans avoir à s’en remettre à ses enfants pour subvenir à ses besoins. Certains adoptent également des orphelins si ils ne font pas partie d’un groupe où le lignage est important.

Polygamie

La polygamie fut interdite de façon radicale par les religions ainsi que les grands empires qui ont dirigé le continent. Déjà peu pratiquée avant la formation de ces empires, la polygamie a disparu et l’interdit qui entoure ces unions à plusieurs s’est établi de façon très importante dans les esprits.

Adultère

L’adultère est un acte fortement réprouvé, à la fois par les religieux et le peuple. C’est un acte considéré comme immoral et synonyme de faiblesse. Le culte d’Arbitrio est particulièrement virulent sur le sujet car il considère que c’est se laisser dominer par ses pulsions.

Il existe quatre exceptions:

Dans le Royaume Central, les gens aisés et la noblesse ont imaginé au fil des siècles l’idée qu’il existait des degrés d’adultère. Il existe quatre formes d’adultère selon les capitalins.
Premièrement, l’adultère avec un(e) prostitué(e) est considéré comme étant négligeable. Sur ce point, les capitalins modestes rejoignent les plus aisés.
Deuxièmement, l’adultère “de bagatelle” qui est une une histoire sans lendemain mais avec une personne libre est considérée comme un simple moment de faiblesse.
Troisièmement, l’adultère à “deux lits” est une relation extra-conjugale suivie avec une personne libre mais sans romantisme. Elle est aussi considérée comme acceptable mais la sagesse populaire dira tout de même qu’un homme ou une femme qui visite un autre lit pour se satisfaire aurait pu avoir le “bon goût” de s’offrir une prostituée.
Quatrièmement, l’adultère avec une personne libre dont l’adultérin serait amoureux. Dans ce cas-ci, l’adultère est considéré comme complet et devient véritablement réprouvé.

A Lig Ocolide, l’adultère est plus ou moins accepté et n’est de toute façon interdit par aucune loi. Qui plus est, l’absence de monastère ou d’abbaye dans l’archipel fait qu’il y a peu de défenseurs de la morale pour imposer un rejet de l’adultère.

A Caroggia, dans le milieu des oligarques, l’adultère n’est pas bien vu mais il est accepté. En raison de la politique et des affaires dangereuses, les familles oligarques ont depuis longtemps accepté l’idée que parfois, des hommes et des femmes ont besoin d’un écart et que cet écart devient dangereux pour la famille. Plutôt de d’accentuer le rejet et d’encourager le secret, les oligarques se sont mis à présenter leur amant(e) à leur famille. Ceux-ci sont alors intégrés à la famille et entrent sous sa protection. Ces amant(e)s portent le nom d’Oficial et la loi caroggianne a même reconnu, malgré les très vigoureuses protestations du Monastère adaarion, qu’un Oficial était membre d’une famille et bénéficiait des droits inhérents, y compris en matière d’héritage. Il y a par contre un très fort encouragement à ce que ces relations soient platoniques ou que les plus grandes précautions soient prises afin qu’aucun enfant ne naisse de ces unions. Ceci est à ce point entré dans les moeurs qu’il arrive parfois à Caroggia qu’un Oficial s’affiche en public et en tant qu’ami avec le conjoint trompé.

Au sein de la noblesse hura, l’adultère est considéré comme acceptable lorsqu’il est commis avec un non-noble ou un esclave. Cependant, l’acte est tout de même réprouvé et de toute façon condamnée par les phalangistes.

Prostitution

La prostitution est un phénomène très courant sur le continent mais possède un statut plus ou moins particulier. Le “plus vieux métier du monde” y survit cependant toujours malgré les règles culturelles, religieuses ou légales imposée contre elle.

La prostitution est légale et particulièrement répandue dans le Royaume Central. Il existe même à la Capitale une véritable tradition des lupanars avec une éducation très sophistiquée de courtisans et courtisanes, experts dans l'art de plaire et charmer. De même, au sein de Lig Ocolide et des manarades, la prostitution fait partie d’un lucratif commerce portuaire, tout particulièrement dans les ports hautement fréquentés par les marins comme Jable, Fiera, Bakar, Ocolide, Marata, Sorab ou Sohdes. Il n’y qu’à Gastaphedes qu’elle est plus rare et mal vue.
Dans les trois cas, la prostitution diminue dans les villes mineures où les gens de passage sont moins nombreux ainsi qu’à la campagne où la prostitution est quasiment absente.

Au sein de la Nation adaarionne, la prostitution est très fortement condamné à cause de la conception adaarionne de la famille. La prostitution y est vu comme un monstrueux encouragement à l'adultère et à la naissance d'orphelins. Toutes les cités adaarionnes interdisent la prostitution et les rares maisons closes y sont extrêmement discrètes. Clients comme prostitués sont pourchassés comme les pires débauchés tandis que le proxénétisme est puni de mort.
De nombreux moines s'émeuvent cependant de la condition des prostitué(e)s et se dédient à leur recherche et leur émancipation. Cela a donné lieu à de nombreux récits de prostitué(e)s devenus moines et moniales. Ce qui n'est pas sans provoquer parfois quelques rumeurs dans les monastères et quelques conflits avec des moines moins compréhensifs…

Au Sein de la Grande Huratelon, la prostitution est fermement condamnée par les phalangistes et la plupart des villes les limitent aux Ostats, ce qui n'est pas sans rendre la chose populaire parmi les jeunes aventureux ayant beaucoup de goût pour l'interdit. Le sujet est cependant peu abordé en raison de la pudeur hura.

Au sein de la République marchande de Caroggia, la prostitution est légale et relativement répandue. L’oligarchie, cependant, la fréquente assez peu. Il existe à Caroggia, Tenence et Garildi des lupanars spéciaux, davantage axés sur des relations plus personnelles. En fait, ces lupanars vendent davantage une romance que du sexe. Ils ont un succès tout particulier auprès des jeunes gens et des gens plus âgés. Au sein des colonies, la pratique est nettement plus courante, notamment à Iona où le passage constant de marins en fait un commerce lucratif.

Au sein des Tribus Vaahvas, la prostitution est absente dans les plus petites tribus où la rumeur, le poids de la tradition et les liens du sang rendent la chose impossible. Dans les quelques villes, la pratique est cependant rendues possibles par le relatif anonymat de la masse mais reste une pratique culturellement mal vue.

Au sein de la diaspora qadjaride, la pratique est absente au sein des clans et entre qadjarides mais les foires qadjarides sont parfois l’occasion de telles pratiques à destination des kharedjis. De même, certains qadjarides s’éclipsent parfois pour profiter de tels services auprès de kharedjis. Pour autant, il s’agit d’un sujet tabou au sein des clans.

Esclavage et sexualité

Les esclaves étant des objets, leur sexualité fut un problème depuis la nuit des temps. Au sein de la Nation adaarionne, les différentes cités en interdisent largement l’usage sexuel. Les huras vont aussi en ce sens mais n’ont pas édicté de loi en la matière, l’interdit étant coutumier. Les caroggians, eux, interdisent l’usage d’esclaves dans les lupanars. Dans le reste du monde, il n’existe pas de législation en la matière mais la pratique demeure réprouvée.

Le culte d’Arbitrio s’oppose largement à un usage sexuel de l’esclave pour de nombreuses raisons, notamment leur éthique de l’esclavage qui considère l’esclave comme un être en pénitence et non un objet éternellement. De même, les autres religions n’approuvent pas l’acte sexuel non-consenti et certainement pas en dehors d’un mariage.