Gahabni : Différence entre versions

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Gahabni a une forme relativement circulaire. Sa côte se compose de plages de galet et les eaux environnantes sont pleines de récifs à l’exception de l’accès à [[Bakar]]. L’intérieur de l’île alterne entre de petits vallons, des collines boisées et un massif montagneux de rocaille en son centre.
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Gahabni est une île de taille moyenne, se trouvant au Sud de l’[[archipel ocolidien]]. Elle est également l’île la plus au Sud de [[Manarades|l’archipel Manarade]].<br> De forme circulaire, elle est aisément identifiable à ses grandes plages de galets noirs qui deviennent brûlants en Thermidor. Gahabni possède une géographie avantageuse pour l’agriculture, composée de vallons et de collines boisées qui enserrent un imposant massif rocheux en son centre, un volcan éteint depuis des siècles. Parfois, la terre gronde, et le volcan crache des cendres généreuses qui, si elles demandent beaucoup de nettoyage, nourrissent l’île et la rende très fertile. L’île est difficilement atteignable, car entourée de récifs, et il faut être un marin particulièrement aguerri et capable pour pouvoir atteindre le [[Bakar|port de Bakar]], au Nord-Est de l’île. Comme à [[Melihab]], le pourtour de l’île est parsemé de nombreux petits villages de pêcheurs et d’humbles artisans. Cependant, le reste de l'île abrite également des villages d’agriculteurs, qui cultivent de la nourriture, du [[tabac]] et des herbes à fumer, qu’ils exportent et consomment. Le tabac de [[Bakar]] est certainement la denrée la plus connue et prisée produite sur les îles manarades à travers l’archipel Ocolidien, et dans les milieux de la [[contrebande ocolidienne|contrebande continentale]]. Un savoir-faire qui fait leur fierté. Gahabni ne possède cependant aucune mine de fer, les forçant à importer ou à récupérer par les [[épaviste|épavistes]] ce précieux minerai
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On trouve à Bakar plusieurs fumeries dans les bas quartiers, où se pressent une grande quantité d’Ocolidiens et de Manarades miséreux ne parvenant plus à vivre sans l’aide de l’opium. Une masse usée, que les cliques tenant les fumeries n’hésitent pas à instrumentaliser en les envoyant nuire à d’autres cliques rivales contre un peu d’opium. Les échauffourées entre “enfumés” mandatés par les cliques sont souvent d’une grande violence, et causent régulièrement des dégâts collatéraux contre lesquels les miliciens ne peuvent pas faire grand chose.
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La cité de Bakar se voit souvent comme une rivale de Nehevand, autre grande cité produisant des denrées agricoles. Malgré leur misère, les habitants de Bakar n'hésitent pas à prôner la supériorité des denrées de Gahabni sur celles de la [[Nehevand|capitale Manarade]]. Sur les marchés de [[Marata]], plus d’une bagarre a éclaté à cause de cette rivalité. Bakar et son conseil étaient également les plus prompts à critiquer [[Syndic_manarade|l'ancienne Syndic Manarade]], [[Darea Besivi]], et ses décisions.
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Pour survivre un peu mieux dans les villages, les habitants de Gahabni sont souvent assez portés sur la chasse, notamment la chasse au très typique et local bouquetin gahabnite.
  
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Gahabni abrite le petit port de [[Bakar]]. La vie économique de l’île est principalement rythmée par la culture du tabac et des herbes à fumer mais aussi par la chasse du bouquetin et le travail de sa peau et de ses os.
 
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[[Catégorie:Géographie]]
 
[[Catégorie:Îles]]
 
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Version actuelle datée du 16 mars 2022 à 03:01

Gahabni est une île de taille moyenne située dans le sud-ouest de l’archipel ocolidien et constitue l’île la plus au sud des îles manarades et la plus isolée de l’archipel.

Géographie

Gahabni est une île de taille moyenne, se trouvant au Sud de l’archipel ocolidien. Elle est également l’île la plus au Sud de l’archipel Manarade.
De forme circulaire, elle est aisément identifiable à ses grandes plages de galets noirs qui deviennent brûlants en Thermidor. Gahabni possède une géographie avantageuse pour l’agriculture, composée de vallons et de collines boisées qui enserrent un imposant massif rocheux en son centre, un volcan éteint depuis des siècles. Parfois, la terre gronde, et le volcan crache des cendres généreuses qui, si elles demandent beaucoup de nettoyage, nourrissent l’île et la rende très fertile. L’île est difficilement atteignable, car entourée de récifs, et il faut être un marin particulièrement aguerri et capable pour pouvoir atteindre le port de Bakar, au Nord-Est de l’île. Comme à Melihab, le pourtour de l’île est parsemé de nombreux petits villages de pêcheurs et d’humbles artisans. Cependant, le reste de l'île abrite également des villages d’agriculteurs, qui cultivent de la nourriture, du tabac et des herbes à fumer, qu’ils exportent et consomment. Le tabac de Bakar est certainement la denrée la plus connue et prisée produite sur les îles manarades à travers l’archipel Ocolidien, et dans les milieux de la contrebande continentale. Un savoir-faire qui fait leur fierté. Gahabni ne possède cependant aucune mine de fer, les forçant à importer ou à récupérer par les épavistes ce précieux minerai

Vivre à Gahabni

Bakar est certainement l’une des cités Manarades qui brasse le plus d’argent. Paradoxalement, les citadins sont en moyenne plus pauvres qu’à Nehevand ou Marata, l’essentiel de cet argent atterrissant dans les poches des cliques et de leurs alliés.

On trouve à Bakar plusieurs fumeries dans les bas quartiers, où se pressent une grande quantité d’Ocolidiens et de Manarades miséreux ne parvenant plus à vivre sans l’aide de l’opium. Une masse usée, que les cliques tenant les fumeries n’hésitent pas à instrumentaliser en les envoyant nuire à d’autres cliques rivales contre un peu d’opium. Les échauffourées entre “enfumés” mandatés par les cliques sont souvent d’une grande violence, et causent régulièrement des dégâts collatéraux contre lesquels les miliciens ne peuvent pas faire grand chose.

La cité de Bakar se voit souvent comme une rivale de Nehevand, autre grande cité produisant des denrées agricoles. Malgré leur misère, les habitants de Bakar n'hésitent pas à prôner la supériorité des denrées de Gahabni sur celles de la capitale Manarade. Sur les marchés de Marata, plus d’une bagarre a éclaté à cause de cette rivalité. Bakar et son conseil étaient également les plus prompts à critiquer l'ancienne Syndic Manarade, Darea Besivi, et ses décisions.

Les campagnes proches de Bakar sont très fertiles, mais fragilisées par l’influence des cliques. Les campagnes éloignées et les villages côtiers sont, quant à eux, toujours à risque de subir des assauts d’écumeurs, les Francs-marins n’étant présents qu’aux ports de Bakar afin de protéger leurs intérêts.. Hélas, les eaux de Bakar ne sont pas les plus poissonneuses, et les pêcheurs de Gahabni doivent souvent partir plus loin que les autres pour trouver des prises satisfaisantes.

Pour survivre un peu mieux dans les villages, les habitants de Gahabni sont souvent assez portés sur la chasse, notamment la chasse au très typique et local bouquetin gahabnite.


Faune

L’île abrite une espèce unique de bouquetin appelés gahabnite.


Flore

Le tabac et diverses essences d’herbes à fumer sont très présentes.