Langues

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Cette page reprend toutes les informations et liens concernant les langues autant au niveau de leur utilisation en jeu que de leur statut au sein de l’univers d’Esperia. Certains paragraphes sont donc HRP et d’autres RP.

Généralités

Un personnage peut potentiellement parler une ou plusieurs langues mais seulement parmi les langues principales ou particulières du continent. Les autres langues ne sont pas jouables ou utilisables et existent seulement pour l’approfondissement du background.
Le terme de patois est ici utilisé pour référencer les petites variations régionales (exemple IRL: les différences entre français de Belgique, d’île de France et du Québec) au sein d’une même langue qui reste unifiée et compréhensible. Il est possible d’utiliser les mots des lexiques qui sont liés et d’indiquer que votre personnage a un accent mais rien de plus. Le détail de la façon de parler et de l’accent des patois est indiqué sur la page lexique.

Pour des raisons de simplicité, chaque langue est soit un composé de langues réelles ou la reprise libre d’une langue réelle (avec une préférence pour les langues disponibles dans Google traduction). La langue ne signifie cependant pas que le correspondant est l’équivalent esperien des populations parlant cette langue. Certaines bizarreries des lexiques ou des langues sont également dues au fait qu’aux origines, l’univers d’esperia était conçu comme unilingue avec seulement quelques termes ajoutés pour la forme. En conclusion, les langues esperiennes ne sont pas conçues de façon à être cohérente d’un point de vue linguistique à cause de l’immense quantité de travail qui serait nécessaire.

Pour plus d’informations, référez-vous à la page du règlement des langues.
Voir aussi page des pseudonymes.

Langues principales du continent

Ces langues sont parlées couramment, se sont formalisées et sont reconnues sur le continent.

Capitalin

Le capitalin est la langue officielle du Royaume Central, de la République marchande de Caroggia et du Canatan ainsi que la langue principale du continent dont elle est la langue véhiculaire. En outre, le capitalin est la deuxième langue du Monastère Adaarion et de l’Ordre Phalangiste ainsi que la langue première du Tribunal de Roskilde. Elle est de facto la langue majoritaire de l’archipel ocolidien, parlée aussi bien par les ocolidiens que les manarades, ainsi que la deuxième langue parlée de la Grande Huratelon. Juridiquement le capitalin est ainsi la plus importante langue du continent.

En outre, le capitalin est, de facto, la langue de la diplomatie bien qu’elle soit légèrement concurrencé par l’adaarion. Elle est aussi la langue consacrée du commerce continental (le petit commerce local suivant les langues locales), du domaine naval, du domaine militaire mais aussi de l’esclavagisme.

Historiquement, le capitalin s’est imposé sur le continent par la puissance et l’influence naturelle de l’Empire Central lorsqu’il était à son apogée mais aussi par la politique de la capitalinisation mise en place par les Synodes et notamment le Synode des langues par un ensemble de propagande, de mécénat, de réformes et de purges armées. Après la chute de l’Empire, le capitalin a continué de se répandre et de gagner en influence puisqu’aucune langue n’est parvenue à s’imposer comme nouvelle langue véhiculaire, statut qu’elle conserve aujourd’hui.

En tant que langue, le capitalin est de loin la plus diversifiée de toutes les langues du continent. La capitalinisation n’a pas permis d’imposer une forme pure de la langue et a plutôt créé un large ensemble de patois régionaux teintés des vestige des anciennes langues locales. Ces différents patois du capitalin sont tout-à-fait compréhensibles mais l’accent et les termes locaux distinguent les différents locuteurs du capitalin. L’exemple le plus frappant de cette variété est le patois ocolidien, assemblage de nombreuses langues au sein du capitalin apportés là par les colons de l’époque du Thème d’Ocolide.
Dans de nombreuses autres régions, le capitalin ne s’est pas imposé comme la langue dominante et est devenu une langue secondaire apprise pour des raisons de commodité. Ce capitalin est alors souvent simplifié, voire basique.

Les origines du capitalin sont controversées (voir section “vieux capitalin”). De même, la question de savoir quelle est la forme la plus pure du capitalin est une question de politique importante au sein du Royaume Central entre les capitalards, les estallazois et les aonites notamment mais pas seulement.

Alphabet et écriture

Le capitalin utilise l’alphabet latin (appelé dans le jeu alphabet capitalin).

Lexique

  • Lexique capitalin général (actuellement non-réalisé).
  • Lexique ocolidien.
  • Lexique canatanais (actuellement non-réalisé).
  • Lexique albunois (actuellement non-réalisé).
  • Lexique caroggian.
  • Lexique galdyri (actuellement non-réalisé).
  • Lexique medevan (actuellement non-réalisé).
  • Lexique romentin (actuellement non-réalisé).

Patois

  • L’ocolidien : l’ocolidien est globalement un capitalin simple dans lequel se sont intégrés de nombreux termes étrangers issus de la grande mixité de l’archipel et d’autres liés à la vie insulaire. Il est considéré comme vulgaire sur le continent.
  • Le canatanais (ou canato-capitalin): le canatanais est un capitalin classique mais qui reprend différents termes ancestraux du canatanais classique
  • Le caroggian (ou caro-capitalin): le caroggian est un capitalin classique. Si les élites tentent de dissimuler toute forme d’accent, la plupart des caroggians possède un fort accent très identifiable en dehors de la Vellabria. Le patois intègre également divers mots issus du caroggian archaïque.
  • L’albunois (ou albuno-capitalin): l’albunois est un capitalin classique et un patois très proche du galdyri. Il est largement composé de termes et prononciations issus de l’abunois classique qui ont survécu à la capitalinisation. Il a une forte connotation provinciale, même si il se parle dans les villes albunoises à l’exception de la Capitale.
  • Le galdyri (ou galdyro-capitalin): le galdyri est un capitalin classique et un patois très proche de l’albunois. Il est largement composé de termes et prononciations issus du galdyri classique qui ont survécu à la capitalinisation. Le galdyri et son accent ont une forte connotation provinciale et “paysanne”.
  • Le medevan (ou medevo-capitalin): le medevan est un capitalin fortement influencé par le medevan classique mais qui présente également des termes de qadjaride moderne et de caroggian archaïque.
  • Le romentin (ou romento-capitalin): le romentin est un capitalin fortement influencé par le romentin classique.

Équivalence IRL

Le capitalin est le français et la langue de base du jeu. L’occitan (langue constituant la base du galdyri et de l’albunois) y a une forte influence.

Adaarion

L’adaarion est la langue officielle et vernaculaire de la Nation adaarionne mais également la langue principale et liturgique du Monastère Adaarion. En outre, la langue adaarionne est devenue avec le temps une langue majeure dans le domaine des sciences, de l’histoire et de la théologie.

L’adaarion, même dans sa forme la plus pure, est largement divisée entre deux façons de parler. La première est l’adaarion populaire, parlé par le commune des mortels. Sa prononciation est souvent moins articulé et rend cette langue difficile à comprendre pour ceux qui manquent de pratique. La seconde est l’adaarion classique tel que parlé par les religieux et les érudits. Celle-ci est beaucoup plus articulée, formelle et relativement guindée. A cause de cela, un adaarion qui n’a connu que les milieux d’élites ou un étrangers formés à l’adaarion par une éducation formelle pourront avoir un mal fou à se faire comprendre du commun des mortels rencontrés dans la rue.

Historiquement, l’adaarion descend directement du suuri mais a connu une évolution lors de l’unification des adaarions et la révolution culturelle que fut l’apparition du Monastère Adaarion au sein de ce peuple. Contrairement à de nombreuses langues du continent, la géographie et le statut particulier de la Nation adaarionne vis-à-vis de l’Empire Central a permis à cette langue d’échapper à la capitalinisation. L’adaarion est donc restée une langue avec très peu d’emprunts étrangers, ce qui complique d’ailleurs son apprentissage.

Lexique

Patois

A venir dans le cadre de la refonte de la nation adaarionne.

Équivalence IRL

L’adaarion est librement basé sur le finnois.

Hura

L’hura est la langue vernaculaire parlée au sein de la Grande Huratelon ainsi que sa langue officielle. Elle est également la langue principale de l’Ordre phalangiste et a eu une forte influence avec l’honelingue et le capitalin sur le phalangisme. Elle est ainsi la langue avec l’adaarion qui a le plus résisté à la capitalinisation.

Bien que très ancienne, l’hura a été fortement influencé tout au long de son histoire par d’autres langues à cause de la domination de l’Empire Suuri puis de l’Empire Central sur les terres huraphones. Elle comporte ainsi de nombreux termes étrangers et patois locaux. L’hura est cependant très peu parlé en dehors de la Grande Huratelon et la majeure partie de la population est bilingue. Il est plus que courant pour la noblesse, leur entourage ou les cestovates de parler le capitalin entre eux.

Lexique

Patois

A venir.

Équivalence IRL

L’hura est principalement et librement basé sur le tchèque.

Langues particulières du continent

Ces langues ne sont pas parfaitement unifiées ou reconnues de façon officielle.

Qadjaride moderne et manarade

Le qadjaride “moderne” et le manarade sont deux langues basées sur le qadjaridique mais qui ont évolué de façon différente. Cependant, les deux langues sont restées suffisamment proches pour être compréhensibles malgré des termes, des influences ou des prononciations différentes.

Qadjaride

Le qadjaride moderne est parlé seulement au sein de la diaspora qadjaride. Il s’est enrichi de nombreux termes continentaux et originaux au cours de la formation de la diaspora qadjaride. Il a de particulier qu’il existe un relatif tabou au sein des qadjarides dans le fait de le parler en public de façon ouverte. Les locuteurs kharedjis de cette langue sont fort rares à cause de la difficulté de trouver un enseignant. Certains érudits linguistes et historiens parviennent cependant parfois à trouver des nabkars ou frappés de Hlassem acceptant de leur enseigner la langue mais c’est un cas rare, d’autant plus que parmi ceux-ci, beaucoup n’ont pas les compétences pour enseigner une langue.

Manarade

Le manarade est parlé seulement au sein des manarades et y décline en usage. Il s’est enrichi de nombreux termes continentaux au contact des ocolidiens. Les locuteurs du manarade en dehors des manarades sont extrêmement limités à quelques originaux et érudits ocolidiens ayant suivi un mentorat manarade. La raison principale de cette limitation est que les manarades sont bilingues et parlent l’ocolidien, même entre eux.

Lexique

Équivalence IRL

La construction du qadjaride dans l’univers d’Esperia a une histoire compliquée mais fut au début principalement basée sur le persan et le romani. Il est également basé sur le panjabi tandis que le manarade est principalement basé sur cette langue.
Avec le temps et pour des raisons de simplicité (manque de sources numériques ou difficulté de romanisation de l’alphabet pour le persan), le panjabi est devenu une source majeure d’inspiration. Pour éviter de créer trop de différences dans le lexique, il a été utilisé comme base principale pour le lexique manarade.

Dialectes vaahva

Hors RolePlay :

Les dialectes ne peuvent pas être intégrés en jeu à l’heure actuelle pour des raisons liées au code. Il est donc demander aux joueurs vaahvas de ne pas trouver une méthode pour les jouer sauf autorisation expresse du staff et de l’équipe background.

Les Maahvitts abritent un vaste ensemble de dialectes ayant de nombreuses similitudes mais ne constituant pas une langue commune. Certains dialectes géographiquement proches les uns des autres se ressemblent toutefois suffisamment pour être compréhensibles en parlant lentement et en expliquant des mots différents. Il existe donc des dialectes du Vahnamaa, de l’Evigt Kylma, du Kinemaar et de la Zaraga mais pas un dialecte du Vahnamaa, de l’Evigt Kylma, du Kinemaar et de la Zaraga.

A cause de cela, les tribus vaahvas doivent souvent charger certains de leurs membres de se faire interprètes pour certaines tribus, ce qui complique énormément la diplomatie interne et externe des tribus. Les temples du culte des sept mers sont également mis à profit puisque leurs membres (dont les thrall) connaissent souvent plusieurs dialectes de la région entourant leur temple. Uuroggia est également une grande source d’interprètes, de même que les oberorbaras et les esclaves.

Logogrammes vaahvas

Les dialectes vaahvas ont une particularité. Au sein de leur langage, le nom des déesses et le nom d’une tribu sont représentés par un logogramme, un symbole constituant à la fois la forme écrite du mot et l’image les représentant. Ces logogrammes et leur prononciation sont communs à l’ensemble des vaahvas et la bonne connaissance de ces logogrammes est considérée comme une tâche sacrée, de même que leur conception. Paradoxalement, il existe beaucoup de vaahvas analphabètes mais connaissant pourtant de nombreux logogrammes.

Lexique

Actuellement non-réalisés.

Équivalence IRL

Les dialectes vaahva reprennent des termes des différentes langues scandinaves: le danois, le suédois, le norvégien, l’islandais et le vieux norrois. Certains termes du finnois sont également repris pour des raisons internes au Background.

Langues minoritaires ou en voie de disparition

Ces langues sont soit non-formalisées, soit parlées ou utilisées dans des contextes bien déterminés et limités.

Caroggian archaïque

Le caroggian archaïque, aussi appelé “Vellidioma” (littéralement “vieille langue”), petit-vellabriais ou dionian est un dialecte descendant du caminaride principalement parlé dans les campagnes de la Vellabria et de la Dione. La campagne de la Jauja, les plus vieilles familles latifundières et les nomades dionians sont parmi les plus importants locuteurs de cette langue (bien que bilingues dans la plupart des cas). Le terme “archaïque” est notamment discuté et principalement utilisé par des linguistes caroggians considérant ce dialecte comme une détestable relique du passé.

Ce dialecte est cependant largement combattu par les autorités de la République marchande de Caroggia, Caroggia étant capitalophone. Historiquement, la Terrenarchia et la Terrenarchia liure se virent imposer la capitalinisation par l’Empire Central mais ce fut surtout à Caroggia que les élites commencèrent à véritablement embrasser la langue impériale, facilitant les échanges. Une autre source de la désuétude du caroggian archaïque est le fait que les moines vaeltas qui ont converti le pays au monachisme n’ont jamais traduit la langue, subissant eux-même le coup de la capitalinisation.

Aujourd’hui, le caroggian archaïque survit principalement par le capitalo-caroggian.

Équivalence IRL

Le caroggian archaïque et le dionian sont principalement basés sur le catalan mais comportement également des termes d’espagnol ou d’italien.

Romentin classique

Le romentin classique (ou “romentiko”) est la langue traditionnelle du Roment. Elle est principalement parlée dans de petits villages isolés ayant échappé à la capitalinisation ou au sein de vieilles familles locales. La plupart des locaux sont généralement bilingues et la langue survit principalement au travers du capitalo-romentin.

Équivalence IRL

Le romentin classique est principalement basé sur le basque.

Canatanais classique

Le canatanais classique (ou “canan”) est la langue traditionnelle du Canatan. Elle fut historiquement abandonnée par ses dirigeants au profit du capitalin afin de maintenir l’autonomie du Canatan durant la capitalinisation. La langue survit aujourd’hui parmi certaines vieilles familles canatanaises vivant dans le massif canatanais, l’Aon ou le Bogen mais c’est une minorité de cas, le canatanais étant véritablement mourant.

Aujourd’hui, le canatanais classique ne survit que par le capitalo-canatanais.

Équivalence IRL

Le canatanais est librement composé du néerlandais, de différentes langues celtiques (le gaélique et l’irlandais principalement) et du frison.

Medevan classique

Le medevan classique est un dialecte encore parlé dans certaines localités de Medeva où la capitalinisation n’a pas eu de succès. Cependant, les medevans contemporains sont toujours bilingues et personne ne parle seulement le medevan classique.

Historiquement, le medevan est une langue parmi les plus anciennes du continent et existait bien avant la formation du Potentat de Medeva. Il a survécu aussi bien à la colonisation qadjaride, aux conquêtes de la Terrenarchia et de l’Empire Central, à la capitalinisation et encore aujourd’hui à la colonisation caroggianne.

Équivalence IRL

Le romentin classique est principalement basé sur le grec.

Honelingue

L’honelingue, dérivé du Vieil honelingue, est la langue traditionnel de l’Ordre Phalangiste et était la langue de ses théologiens lors de sa fondation.

Avec le temps cependant, l’usage de l’honelingue a décliné au profit de l’hura, langue majeure parmi les croyants phalangistes, et du capitalin, deuxième langue de l’Ordre pour des raisons historiques. L’honelingue n’est ainsi plus aujourd’hui maîtrisé que par certains érudits laïcs ou de l’Ordre Phalangiste ou encore des théologiens.

La principale influence de l’honelingue à ce jour est dans le choix des termes officiels de l’Ordre Phalangiste.

Le terme d’honelingue est en fait le terme capitalin pour la désigner. En honelingue, le terme dédié est “honesta lingua”(littéralement “langue honorable”). En hura, le terme est “phalangaluvit” (littéralement “parler des phalangistes”). En adaarion, le terme est “lahtokohta kieli” ou “lahtokieli” (littéralement “langue des prémisses”). Le terme n’est pas traduisible dans les autres langues.

Équivalence IRL

L’honelingue est principalement basé sur le latin.

Langues mortes

Ces langues ont disparus complètement, ont évolué vers autre chose ou ont donné naissance à un simple patois “rattaché” à une autre langue dominante.

Vieil honelingue

Le vieil honelingue était une langue parlée par les honorables de l’Ancienne Foi et constituait une arcane seulement partagés entre initiés. Elle s’est éteinte avec la disparition effective de l’Ancienne Foi.

Vieux capitalin

Les origines du vieux capitalin sont fortement contestées parmi les linguistes et historiens du Royaume Central. La thèse souvent adoptée est que l’ancêtre de la langue était la langue aonite puisque le nom des villes d’Aon correspondent davantage aux sonorités du capitalin contemporain que les villes d’Albunae, une thèse fortement soutenus par les érudits aonites. Les albunois s’insurgent généralement contre cette idée et encore plus si l’on mentionne la proximité avec les noms de localités galdyris. A la Capitale, une thèse parfois évoquée est que le capitalin est une langue née à Cyvales et devrait donc être appelé cyvalite mais en dehors de la cité, peu d’érudits adhèrent à cette idée.

Le mystère des origines du vieux capitalin est cependant mort avec le Synode des langues et sa propagande ainsi que la disparition de ses archives.

Qadjaridique

Le qadjaridique était la langue parlée au sein de l’Empire qadjaride. Faute de locuteurs, elle a disparu avec celui-ci et ne se retrouve plus qu’à l’écrit dans des ouvrages de l’époque conservés dans de vieilles bibliothèques et archives du continent. La langue a cependant donné naissance au manarade et au qadjaride moderne bien que ces deux langues diffèrent sensiblement du qadjaridique.

Galdyri / albunois classique

Le galdyri et l’albunois classiques étaient selon les historiens soit une même langue (et le choix du nom fait alors débat) ou deux langues bien distinctes parlées au sein du Royaume d’Albunae et du Royaume de Galdyr (ainsi que le Potentat de Galdyr). Ces langues furent cependant largement éradiquées par la capitalinisation du temps de l’Empire Central. Leurs traces se retrouvent cependant dans des termes de différents patois (notamment le galdyri, l’albunois et l’ocolidien).

Suuri

Le Suuri était la langue classique parlée au sein de l’Empire Suuri. La langue a toutefois largement évolué avec le temps et a constitué la base de l’adaarion contemporain. Certains historiens et linguistes adaarions particulièrement chevronnés parviennent encore à le lire sans trop de problèmes mais les documents de cette période sont aujourd’hui soit perdus, soit déjà traduits. Cette compétence est donc largement désuette.

Caminaride

Le caminaride était la langue parlée par les caminarides au sein de la Tribiarcha ligua et de la Terrenarchia. La langue a cependant évolué et est devenue ce que l’on appelle aujourd’hui le caroggian archaïque ou le dionian. Il ne reste aujourd’hui presque aucune sources écrites datant de cette période.